Ce serait une hypocrisie infernale, une apostasie honteuse !
C’est pourquoi nous prenons la plume, non sans amertume, pour condamner avec vigueur les propos malencontreux et inadmissibles d’un frère de parti, probablement grisé et fourvoyé par les effluves enivrants du pouvoir !
Au risque de vous ennuyer, voire même de vous rebuter, je suis dans l’obligation de reprendre ici certains de ses propos qui ont outré plus d’une âme républicaine. C’est barbant mais c’est important, pour mettre en relief ce qui a déclenché notre révolte! Retenez le souffle ! Républicains du Sénégal !
« Il faut que l’engagement de Youssou Ndour dans le Gouvernement se reflète également sur la ligne éditoriale de son groupe de presse. C’est s’aligner ou se démettre. »
« Il est incompréhensible de voir un groupe comme Futurs médias dont le patron a été bombardé ministre des Arts, de la Culture et du Tourisme, attaquer le président Macky Sall. »
« Que pèserait l’absence de Youssou Ndour sur l’élection de Macky Sall ? »
« Ce n’est ni le peuple des Assises nationales, ni le mouvement Fékké maci Bollé ou encore nos alliés de Benno Bokk Yaakaar qui ont élu Macky Sall. On ne pouvait pas arrêter la mer avec ses bras.»
« On devait demander aux futurs députés de Benno Bokk Yaakaar de faire une déclaration sur l’honneur pour nous dire quelle posture ils vont adopter. »
« Je profite de l’occasion pour dire également que cette loi qui avait ramené le mandat du président de l’Assemblée nationale à un an est toujours d’actualité. Donc il faut qu’on applique le principe de la rotation. Etant donné que les députés élisent chaque année un nouveau président de l’hémicycle, les choses deviendront plus faciles à gérer. Ce n’est pas l’Apr qui a été à l’origine de cette loi. Donc elle n’est pas négociable, il faut bien qu’on l’applique. »
« De la même manière j’invite Macky Sall à réfléchir sur le mandat de 7 ans. Je trouve que 5 ans, c’est insuffisant. Et le président Wade avait bien raison d’avoir ramené le mandat à 7 ans. » Et last but not least,
« Quand Wade avait intégré le gouvernement de Diouf, Cheikh Khoureïssi Bâ avait fait un éditorial dans le Sopi pour brocarder Diouf et son régime. Me Wade est venu lui demander d’enlever le papier pour être conséquent avec lui-même. Et c’était tout à fait normal. »
Tout cela dans la bouche de « Mister War! »
Nous étoffons d’indignation !
Ces salves embarrassantes qui ont déchiré le ciel du landerneau politique sénégalais, viennent hélas de la famille républicaine !
Nous ne pouvons pas feindre de pas avoir entendu.
Quel républicain, quel observateur averti de l’histoire politique de ce pays, quel acteur des péripéties tumultueuses ayant précédé l’élection présidentielle de Février-Mars 2012, aurait la folie de cautionner les propos de ce vaillant petit soldat qui défend si maladroitement son camp politique ?
« Une gouvernance sobre et vertueuse, une gouvernance exemplaire de rassemblement, une gouvernance qui place l’éthique au coeur du pacte républicain, une gouvernance qui fait dans la transparence, privilégie la concertation et la participation citoyenne pour rénover la démocratie. » Macky SALL !
Une telle gouvernance a-t-elle vraiment besoin d’entretenir accointances et copinage avec la presse? Des médias qui doivent accomplir librement leur mission citoyenne de vecteur du débat démocratique, de la libre expression des opinions divergentes, d’éducation et d’éclairage des citoyens sans compromission d’aucune sorte avec les pouvoirs établis ? Nous doutons profondément de la bonne sagesse d’une telle idylle!
« Sur proposition du Premier ministre, le Président de la République nomme les membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions. »
Youssou Ndour a été nommé, il n’a pas été bombardé !
Le goût prononcé de « Mister War » pour les armes à feu l’incite, probablement à user de ce langage guerrier. En court d’arguments dans une réunion politique houleuse, Il a sorti le pétard pour mettre un terme à une algarade qui l’opposait à un éminent membre du Directoire de campagne de Macky 2012 !
Dés sa nomination dans le Gouvernement de Monsieur Abdoul Mbaye, Youssou Ndour a officiellement démissionné de la direction du groupe : futurs Médias. Il est remplacé par un certain Mamoudou Ibra Kane, un brillantissime journaliste respectable et respecté.
Tenir en mince estime le rôle de Youssou Ndour et celui nos alliés dans l’alternance du 25 Mars, est une injure sanglante que le frère Macky Sall ne peut pas cautionner, pas plus que nous ne pouvons l’autoriser à notre nom . Et s’ils (Tous nos alliés) avaient fait du Wax Waxëëte entre les deux tours ? L’aventurier politique qui théorisait une telle perfidie a été désavoué par son camp politique. Ils ont fait ce qu’ils avaient promis de faire. Ils ne sont pas et ils ne seront jamais plus honnêtes que Macky Sall. Les Sénégalais ont pu constaté que le Président de la République est un homme de parole. « Gagnons ensemble ! Gouvernons ensemble ! »
Nous récusons avec un mépris sans borne ce salmigondis d’idées reçues, totalement anachroniques. Ces insinuations aux relents insupportables d’idéologies sombrées qui considèrent la politique comme une mise au pas par tous les moyens de toutes formes de contradictions, avec une bonne vieille Pravda pour anesthésier les consciences. On voudrait s’aliéner la sympathie de tous les démocrates de ce pays, on ne s’y prendrait pas autrement !
À peine sommes nous arrivés au pouvoir, peut on autoriser le culot, l’inélégance, l’ingratitude de stigmatiser nos alliés, forçant la note jusqu’à leur demander de nous jurer fidélité avant d’aller siéger à l’hémicycle au nom du Peuple? Quel affront !
Il faut avoir un aplomb ébouriffant, une impudence répugnante pour suggérer au Président de la République de maintenir la Loi scélérate confectionnée par ses bourreaux pour le liquider politiquement. Pire il faut être un aventurier politique sans nom, pour lui conseiller de faire du Wax Waxëëte sur sa promesse de réduire le mandat de 7 à 5 ans ! Et le comble du cynisme c’est de convoquer dans un débat démocratique les méthodes de vieille baderne à la ramasse, d’un vieil autocrate qui se nomme Abdoulaye Wade !
Est-ce qu’un juif peut citer des passage de « Mine Kampf » pour étayer ses propos ? Est-ce que Alioune Tine peut convoquer les méthodes de « Baby Doc » pour illustrer positivement ses propos dans un débat démocratique ?
Est-ce qu’un bon musulman peut dépenser des milliards pour se faire construire une statue de la déchéance? Ces choses sont définitivement divorcées. La république ne s’accommode pas avec ces idées d’un autre âge.
Non « Mister War » c’est tout simplement indécent ! Il y’a un fossé entre le caporalisme d’Abdoulaye Wade qui avait la fâcheuse habitude de déclarer la guerre aux journalistes, et la « Gouvernance exemplaire de rassemblement » initiée par Macky Sall. Nous avons sanctionné l’aventurisme le 25 Mars. « War is over ! ». Il avait des choses à cacher, il considérait les journalistes comme ses ennemis. Nous n’avons rien à cacher. Nous considérons q’une presse libre et responsable reste une composante cruciale de la gouvernance démocratique et vertueuse souhaitée par la majorité des sénégalais. L’existence d’une presse, indépendante et pluraliste est un impératif républicain et démocratique qui ne saurait se contenter de demi-mesures. Nous n’avons que faire de patrons de presse caniches qui ordonnent à des « journalistes-serviteurs » d’adopter une ligne éditoriale en cohérence avec leurs intérêts. Le président de la République a besoin d’être entouré d’hommes et de femmes intègres, intelligents, patriotes et inaccessibles aux influences politiciennes. Il n’a pas besoin de portes flingue, de roquets, de va-t-en guerres et de gribouilles encombrants, qui tiennent des propos incendiaires et irresponsables dans la presse. Ils ouvrent des brèches dans lesquelles vont s’engouffrer nos ennemis embusqués. Ces « bodyguards » autoproclamés du président déclarent vouloir protéger celui-ci contre les attaques malveillantes et contre les transhumants. Mais qui protège le président, qui nous protège contre ces dangereux politiciens gribouilles prompts à faire des sorties embarrassantes dans la presse ?
Vivement qu’on dépasse le cap des législatives pour s’atteler à l’organisation de notre parti qui ne peut plus continuer à traîner des tares et des insuffisances d’une extrême gravité. D’ici là le président reste aux manettes, les statuts et le règlement intérieur du parti sont en vigueur. Il y a des hommes désignés par le président pour s’occuper de la communication. Que chacun fasse son travail et les vaches seront très bien gardées !
!@#$%^&* Malick NDOYE
Chargé de Communication et des Elections de l’APR dans la Commune de Fass, Colobane, Gueule tapée !
malickndy@yahoo.com
malickndoye.blog4
C’est pourquoi nous prenons la plume, non sans amertume, pour condamner avec vigueur les propos malencontreux et inadmissibles d’un frère de parti, probablement grisé et fourvoyé par les effluves enivrants du pouvoir !
Au risque de vous ennuyer, voire même de vous rebuter, je suis dans l’obligation de reprendre ici certains de ses propos qui ont outré plus d’une âme républicaine. C’est barbant mais c’est important, pour mettre en relief ce qui a déclenché notre révolte! Retenez le souffle ! Républicains du Sénégal !
« Il faut que l’engagement de Youssou Ndour dans le Gouvernement se reflète également sur la ligne éditoriale de son groupe de presse. C’est s’aligner ou se démettre. »
« Il est incompréhensible de voir un groupe comme Futurs médias dont le patron a été bombardé ministre des Arts, de la Culture et du Tourisme, attaquer le président Macky Sall. »
« Que pèserait l’absence de Youssou Ndour sur l’élection de Macky Sall ? »
« Ce n’est ni le peuple des Assises nationales, ni le mouvement Fékké maci Bollé ou encore nos alliés de Benno Bokk Yaakaar qui ont élu Macky Sall. On ne pouvait pas arrêter la mer avec ses bras.»
« On devait demander aux futurs députés de Benno Bokk Yaakaar de faire une déclaration sur l’honneur pour nous dire quelle posture ils vont adopter. »
« Je profite de l’occasion pour dire également que cette loi qui avait ramené le mandat du président de l’Assemblée nationale à un an est toujours d’actualité. Donc il faut qu’on applique le principe de la rotation. Etant donné que les députés élisent chaque année un nouveau président de l’hémicycle, les choses deviendront plus faciles à gérer. Ce n’est pas l’Apr qui a été à l’origine de cette loi. Donc elle n’est pas négociable, il faut bien qu’on l’applique. »
« De la même manière j’invite Macky Sall à réfléchir sur le mandat de 7 ans. Je trouve que 5 ans, c’est insuffisant. Et le président Wade avait bien raison d’avoir ramené le mandat à 7 ans. » Et last but not least,
« Quand Wade avait intégré le gouvernement de Diouf, Cheikh Khoureïssi Bâ avait fait un éditorial dans le Sopi pour brocarder Diouf et son régime. Me Wade est venu lui demander d’enlever le papier pour être conséquent avec lui-même. Et c’était tout à fait normal. »
Tout cela dans la bouche de « Mister War! »
Nous étoffons d’indignation !
Ces salves embarrassantes qui ont déchiré le ciel du landerneau politique sénégalais, viennent hélas de la famille républicaine !
Nous ne pouvons pas feindre de pas avoir entendu.
Quel républicain, quel observateur averti de l’histoire politique de ce pays, quel acteur des péripéties tumultueuses ayant précédé l’élection présidentielle de Février-Mars 2012, aurait la folie de cautionner les propos de ce vaillant petit soldat qui défend si maladroitement son camp politique ?
« Une gouvernance sobre et vertueuse, une gouvernance exemplaire de rassemblement, une gouvernance qui place l’éthique au coeur du pacte républicain, une gouvernance qui fait dans la transparence, privilégie la concertation et la participation citoyenne pour rénover la démocratie. » Macky SALL !
Une telle gouvernance a-t-elle vraiment besoin d’entretenir accointances et copinage avec la presse? Des médias qui doivent accomplir librement leur mission citoyenne de vecteur du débat démocratique, de la libre expression des opinions divergentes, d’éducation et d’éclairage des citoyens sans compromission d’aucune sorte avec les pouvoirs établis ? Nous doutons profondément de la bonne sagesse d’une telle idylle!
« Sur proposition du Premier ministre, le Président de la République nomme les membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions. »
Youssou Ndour a été nommé, il n’a pas été bombardé !
Le goût prononcé de « Mister War » pour les armes à feu l’incite, probablement à user de ce langage guerrier. En court d’arguments dans une réunion politique houleuse, Il a sorti le pétard pour mettre un terme à une algarade qui l’opposait à un éminent membre du Directoire de campagne de Macky 2012 !
Dés sa nomination dans le Gouvernement de Monsieur Abdoul Mbaye, Youssou Ndour a officiellement démissionné de la direction du groupe : futurs Médias. Il est remplacé par un certain Mamoudou Ibra Kane, un brillantissime journaliste respectable et respecté.
Tenir en mince estime le rôle de Youssou Ndour et celui nos alliés dans l’alternance du 25 Mars, est une injure sanglante que le frère Macky Sall ne peut pas cautionner, pas plus que nous ne pouvons l’autoriser à notre nom . Et s’ils (Tous nos alliés) avaient fait du Wax Waxëëte entre les deux tours ? L’aventurier politique qui théorisait une telle perfidie a été désavoué par son camp politique. Ils ont fait ce qu’ils avaient promis de faire. Ils ne sont pas et ils ne seront jamais plus honnêtes que Macky Sall. Les Sénégalais ont pu constaté que le Président de la République est un homme de parole. « Gagnons ensemble ! Gouvernons ensemble ! »
Nous récusons avec un mépris sans borne ce salmigondis d’idées reçues, totalement anachroniques. Ces insinuations aux relents insupportables d’idéologies sombrées qui considèrent la politique comme une mise au pas par tous les moyens de toutes formes de contradictions, avec une bonne vieille Pravda pour anesthésier les consciences. On voudrait s’aliéner la sympathie de tous les démocrates de ce pays, on ne s’y prendrait pas autrement !
À peine sommes nous arrivés au pouvoir, peut on autoriser le culot, l’inélégance, l’ingratitude de stigmatiser nos alliés, forçant la note jusqu’à leur demander de nous jurer fidélité avant d’aller siéger à l’hémicycle au nom du Peuple? Quel affront !
Il faut avoir un aplomb ébouriffant, une impudence répugnante pour suggérer au Président de la République de maintenir la Loi scélérate confectionnée par ses bourreaux pour le liquider politiquement. Pire il faut être un aventurier politique sans nom, pour lui conseiller de faire du Wax Waxëëte sur sa promesse de réduire le mandat de 7 à 5 ans ! Et le comble du cynisme c’est de convoquer dans un débat démocratique les méthodes de vieille baderne à la ramasse, d’un vieil autocrate qui se nomme Abdoulaye Wade !
Est-ce qu’un juif peut citer des passage de « Mine Kampf » pour étayer ses propos ? Est-ce que Alioune Tine peut convoquer les méthodes de « Baby Doc » pour illustrer positivement ses propos dans un débat démocratique ?
Est-ce qu’un bon musulman peut dépenser des milliards pour se faire construire une statue de la déchéance? Ces choses sont définitivement divorcées. La république ne s’accommode pas avec ces idées d’un autre âge.
Non « Mister War » c’est tout simplement indécent ! Il y’a un fossé entre le caporalisme d’Abdoulaye Wade qui avait la fâcheuse habitude de déclarer la guerre aux journalistes, et la « Gouvernance exemplaire de rassemblement » initiée par Macky Sall. Nous avons sanctionné l’aventurisme le 25 Mars. « War is over ! ». Il avait des choses à cacher, il considérait les journalistes comme ses ennemis. Nous n’avons rien à cacher. Nous considérons q’une presse libre et responsable reste une composante cruciale de la gouvernance démocratique et vertueuse souhaitée par la majorité des sénégalais. L’existence d’une presse, indépendante et pluraliste est un impératif républicain et démocratique qui ne saurait se contenter de demi-mesures. Nous n’avons que faire de patrons de presse caniches qui ordonnent à des « journalistes-serviteurs » d’adopter une ligne éditoriale en cohérence avec leurs intérêts. Le président de la République a besoin d’être entouré d’hommes et de femmes intègres, intelligents, patriotes et inaccessibles aux influences politiciennes. Il n’a pas besoin de portes flingue, de roquets, de va-t-en guerres et de gribouilles encombrants, qui tiennent des propos incendiaires et irresponsables dans la presse. Ils ouvrent des brèches dans lesquelles vont s’engouffrer nos ennemis embusqués. Ces « bodyguards » autoproclamés du président déclarent vouloir protéger celui-ci contre les attaques malveillantes et contre les transhumants. Mais qui protège le président, qui nous protège contre ces dangereux politiciens gribouilles prompts à faire des sorties embarrassantes dans la presse ?
Vivement qu’on dépasse le cap des législatives pour s’atteler à l’organisation de notre parti qui ne peut plus continuer à traîner des tares et des insuffisances d’une extrême gravité. D’ici là le président reste aux manettes, les statuts et le règlement intérieur du parti sont en vigueur. Il y a des hommes désignés par le président pour s’occuper de la communication. Que chacun fasse son travail et les vaches seront très bien gardées !
!@#$%^&* Malick NDOYE
Chargé de Communication et des Elections de l’APR dans la Commune de Fass, Colobane, Gueule tapée !
malickndy@yahoo.com
malickndoye.blog4