Elle est d’avis que «la trajectoire est bonne et on espère que si les réformes qui doivent accompagner cette croissance sont assez fortes on pourrait relever le taux de croissance dans les années à venir».
Au Sénégal, dit-elle, il y a eu une amélioration par rapport à la moyenne de 2004 et de 2008. Mme Valeria Fichera de révéler: «cela nous avait même un peu surpris mais la cause de cette amélioration par rapport aux années passées, c’est que la baisse des importations au Sénégal en 2009 a été beaucoup plus importante que la chute des exportations et contrairement aux attentes, la réduction des transferts des sénégalais vivants à l’extérieur a été stable. Ça nous a surpris et ça a surpris la Banque Centrale et on n’espère pas de voir un impact retardé en 2010 sur cet indicateur macro économique».
La représente résidente du FMI a fait comprendre que «le choc interne et externe que le Sénégal a subi en 2008 et en 2009 a contribué à une perte de production par rapport aux potentiels du pays. La croissance du PIB réel a été en moyenne de 2,7% en 2008 et 2009». Pour elle, il n’y a pas eu une croissance négative comme dans d’autres pays exportateurs de matières premières ou gros exportateurs de manufactures aux USA et en Europe. Mais quand même le taux de croissance de 2,7% que le Sénégal a eu implique la stabilité de la croissance du revenu par tête. Donc pas un très bon résultat mais quand même une certaine résilience.
Papa Mamadou Diéry Diallo
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Au Sénégal, dit-elle, il y a eu une amélioration par rapport à la moyenne de 2004 et de 2008. Mme Valeria Fichera de révéler: «cela nous avait même un peu surpris mais la cause de cette amélioration par rapport aux années passées, c’est que la baisse des importations au Sénégal en 2009 a été beaucoup plus importante que la chute des exportations et contrairement aux attentes, la réduction des transferts des sénégalais vivants à l’extérieur a été stable. Ça nous a surpris et ça a surpris la Banque Centrale et on n’espère pas de voir un impact retardé en 2010 sur cet indicateur macro économique».
La représente résidente du FMI a fait comprendre que «le choc interne et externe que le Sénégal a subi en 2008 et en 2009 a contribué à une perte de production par rapport aux potentiels du pays. La croissance du PIB réel a été en moyenne de 2,7% en 2008 et 2009». Pour elle, il n’y a pas eu une croissance négative comme dans d’autres pays exportateurs de matières premières ou gros exportateurs de manufactures aux USA et en Europe. Mais quand même le taux de croissance de 2,7% que le Sénégal a eu implique la stabilité de la croissance du revenu par tête. Donc pas un très bon résultat mais quand même une certaine résilience.
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