«On soupçonne le gouvernement d’utiliser ce subterfuge pour, éventuellement, retirer la date des élections», a alerté le chef de file des Socialiste qui n’entend pas laisser cette démarche prospérer.
«A partir du moment où on découpe une collectivité locale, la carte électorale va changer parce que sur la carte, on met le bureau et la localité où vous devez voter», a campé Ousmane Tanor Dieng au micro de Walf/Tv.
«Et si vous changez tout cela, vous allez utiliser de nouvelles cartes d’électeur. Et pour cela, il faut une nouvelle carte électorale», a-t-il justifié au cours d'une tournée qu'il effectuait hier dans la commune de Mbao (banlieue de Dakar).
Selon lui, il est impossible de faire autrement au vu du délai qui nous sépare des prochaines élections. «Pour le délai qui nous sépare des prochaines élections, apparemment, c’est impossible». C’est la raison pour laquelle il y voit un prétexte pour repousser les élections.
Selon lui, ce procédé ne sera pas accepté. «Nous, nous tenons à ce que les élections aient lieu le 26 février 2012. Cette date doit être intangible», a martelé Ousmane Tanor Dieng.
Par ailleurs, il a exigé que tous les Sénégalais désireux puissent avoir leurs cartes nationales d’identité et d’électeur. «Ce qu’il faut faire en réalité, c’est créer des rapports de force pour obliger Abdoulaye Wade à respecter les lois», a décrété Ousmane Tanor Dieng qui demande à ses camarades de confectionner une liste pour peser sur le Gouvernement.
«Je demande à mes camarades, d’abord ceux de Bennoo, du parti socialiste et les populations qui veulent avoir leurs cartes d’établir une liste. Une fois que cette liste est confectionnée, même si on arrive à la date limite du 10 juin, nous exigerons qu’on donne à ces Sénégalais déjà identifiés la possibilité d’avoir des cartes d’identité et d’électeur», a confié Ousmane Tanor Dieng. Selon lui, cette démarche «est indispensable et c’est la meilleure manière de venir à bout de ce que le gouvernement est en train de faire».
Selon le chef de file des Socialistes, un Gouvernement ne peut pas priver une partie des citoyens d’avoir une carte d’électeur et de voter. «On ne pourra pas l’accepter …», a averti l’ancien ministre d’Etat chargé des affaires et services présidentiels.
Papa Mamadou Diéry Diallo pressafrik.com
«A partir du moment où on découpe une collectivité locale, la carte électorale va changer parce que sur la carte, on met le bureau et la localité où vous devez voter», a campé Ousmane Tanor Dieng au micro de Walf/Tv.
«Et si vous changez tout cela, vous allez utiliser de nouvelles cartes d’électeur. Et pour cela, il faut une nouvelle carte électorale», a-t-il justifié au cours d'une tournée qu'il effectuait hier dans la commune de Mbao (banlieue de Dakar).
Selon lui, il est impossible de faire autrement au vu du délai qui nous sépare des prochaines élections. «Pour le délai qui nous sépare des prochaines élections, apparemment, c’est impossible». C’est la raison pour laquelle il y voit un prétexte pour repousser les élections.
Selon lui, ce procédé ne sera pas accepté. «Nous, nous tenons à ce que les élections aient lieu le 26 février 2012. Cette date doit être intangible», a martelé Ousmane Tanor Dieng.
Par ailleurs, il a exigé que tous les Sénégalais désireux puissent avoir leurs cartes nationales d’identité et d’électeur. «Ce qu’il faut faire en réalité, c’est créer des rapports de force pour obliger Abdoulaye Wade à respecter les lois», a décrété Ousmane Tanor Dieng qui demande à ses camarades de confectionner une liste pour peser sur le Gouvernement.
«Je demande à mes camarades, d’abord ceux de Bennoo, du parti socialiste et les populations qui veulent avoir leurs cartes d’établir une liste. Une fois que cette liste est confectionnée, même si on arrive à la date limite du 10 juin, nous exigerons qu’on donne à ces Sénégalais déjà identifiés la possibilité d’avoir des cartes d’identité et d’électeur», a confié Ousmane Tanor Dieng. Selon lui, cette démarche «est indispensable et c’est la meilleure manière de venir à bout de ce que le gouvernement est en train de faire».
Selon le chef de file des Socialistes, un Gouvernement ne peut pas priver une partie des citoyens d’avoir une carte d’électeur et de voter. «On ne pourra pas l’accepter …», a averti l’ancien ministre d’Etat chargé des affaires et services présidentiels.
Papa Mamadou Diéry Diallo pressafrik.com
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