Nous avons certes opté pour la démocratie mais surtout pas anarchiste mais plutôt raisonnée de manière juste et logique. On définirait bien le principal but de la presse comme étant le fait de mettre au courant d'événements ou le fait d'informer les masses en masse. Il faut que les organes de presse et de média sachent qu'une information dont tout le monde doit être au courant pour s'en servir, la cacher est un crime (en loi humaine), j'irai même jusqu'à affirmer un péché ou un tort même dans l'haut-delà en m'adressant aux monothéistes. Mais toute information, dont sa publication ou diffusion sous quelque forme que ce soit est plus nuisible que serviable au monde auquel elle est destinée, se doit d'être maitrisée et son évolution à surveiller comme du lait sur le feu avant toute éventuelle diffusion en public.
A la S28.V51, le coran nous apprend par ses termes "
وَلَقَدْ وَصَّلْنَا لَهُمُ ٱلْقَوْلَ لَعَلَّهُمْ يَتَذَكَّرُونَ" qui signifierait littéralement au sens académique "Nous leur avons déjà exposé la Parole (le Coran) afin qu'ils se souviennent". Ce qui devrait nous rappeler que le fait que les journalistes exposent avec beaucoup de liberté d'ailleurs des faits, paroles, actes et gestes de tout le monde à de grands publics est pour le fait que dans les règles de l'art ils puissent s'en servir, qu'elle qu'en soit la couche et le degré de sensibilité. Cela est aussi bien comparables aux prophètes qui exposaient la Parole du Tout-Puissant suite à son commandement aux peuples avec lesquelles ils exercent sa mission. Il n'y avait pourtant pas à l'époque prophétique d'organe de presse pour informer par exemple que tel prophète a dit ceci ou cela afin que les gens puissent s'en servir par infirmation ou acceptation d'ailleurs en toute liberté certaines fois et selon beaucoup de paramètres. Cette même liberté que devrait d'ailleurs avoir la génération actuelle vis à vis des éléments que lui distille toute presse. Sauf que les populations gobent généralement tout ce que la presse leur met sous les dents comme si un décret divin ordonnait toute conscience à la croire.
Les livres monothéistes remplis d'informations, de signes, de témoignages divins, de tout comme les ayaates dans le Coran ou psaumes dans la bible ou les versets du Tohrat se transmettaient toujours de bouche-à-oreille et cela même jusqu'après le décès du saut des prophètes.
Tout cet ensemble, comparé à celui de nos jours où presque tout le monde cherche tous les jours à savoir ce qui se passe dans le monde à travers la presse nationale comme internationale pour se faire une idée sur chaque chose ou événement faisant la chronique pour éventuellement l'assimiler par des expressions verbales quand des opportunités le permettent et cela même en actes dans la vie de tous les jours. Ainsi les répercussions et impacts des éléments de la presse et des médias sur les populations qui les reçoivent sont psycho-sociologiques et cela même malgré eux.
Seulement les prophètes ne mentaient pas puisque leur âme ne le leur permettait point, ainsi toutes les informations transmises aux populations qu'elles émanent du divin ou de leur propres gestation intellectuelle étaient justes. Et cela ne s'arrête pas à cela parce que certaines fois, IL leur était même demandé souvent d'en avoir la maitrise idoine et l'entendement certain qu'il faut avant de transmettre Sa Parole aux peuples dont elle était destinée, s'agissant surtout du prophète de l'Islam.
Le métier de journalisme devrait être l'un des métiers les plus enviés du monde ainsi. Les hommes et femmes l'exerçant à travers la presse et les médias se doivent alors d'être à la hauteur de cette noblesse mais surtout pas participer à semer la zizanie, déséduquer, pervertir, mentir, déstabiliser un pays, etc. en se voyant comme un "prophète" : Informer en étant sûr de la véracité de ses informations, Informer en analysant l'impact de son information sur tous les plans, Informer tout en éduquant, Informer tout en participation à la cohésion nationale, Informer rien que pour dire la vérité sachant que toute vérité n'est pas bonne â diffuser en public surtout lorsqu'on est convaincu de son degré de nuisance.
SOURCE:Aboubakrine Ndiaye
A la S28.V51, le coran nous apprend par ses termes "
وَلَقَدْ وَصَّلْنَا لَهُمُ ٱلْقَوْلَ لَعَلَّهُمْ يَتَذَكَّرُونَ" qui signifierait littéralement au sens académique "Nous leur avons déjà exposé la Parole (le Coran) afin qu'ils se souviennent". Ce qui devrait nous rappeler que le fait que les journalistes exposent avec beaucoup de liberté d'ailleurs des faits, paroles, actes et gestes de tout le monde à de grands publics est pour le fait que dans les règles de l'art ils puissent s'en servir, qu'elle qu'en soit la couche et le degré de sensibilité. Cela est aussi bien comparables aux prophètes qui exposaient la Parole du Tout-Puissant suite à son commandement aux peuples avec lesquelles ils exercent sa mission. Il n'y avait pourtant pas à l'époque prophétique d'organe de presse pour informer par exemple que tel prophète a dit ceci ou cela afin que les gens puissent s'en servir par infirmation ou acceptation d'ailleurs en toute liberté certaines fois et selon beaucoup de paramètres. Cette même liberté que devrait d'ailleurs avoir la génération actuelle vis à vis des éléments que lui distille toute presse. Sauf que les populations gobent généralement tout ce que la presse leur met sous les dents comme si un décret divin ordonnait toute conscience à la croire.
Les livres monothéistes remplis d'informations, de signes, de témoignages divins, de tout comme les ayaates dans le Coran ou psaumes dans la bible ou les versets du Tohrat se transmettaient toujours de bouche-à-oreille et cela même jusqu'après le décès du saut des prophètes.
Tout cet ensemble, comparé à celui de nos jours où presque tout le monde cherche tous les jours à savoir ce qui se passe dans le monde à travers la presse nationale comme internationale pour se faire une idée sur chaque chose ou événement faisant la chronique pour éventuellement l'assimiler par des expressions verbales quand des opportunités le permettent et cela même en actes dans la vie de tous les jours. Ainsi les répercussions et impacts des éléments de la presse et des médias sur les populations qui les reçoivent sont psycho-sociologiques et cela même malgré eux.
Seulement les prophètes ne mentaient pas puisque leur âme ne le leur permettait point, ainsi toutes les informations transmises aux populations qu'elles émanent du divin ou de leur propres gestation intellectuelle étaient justes. Et cela ne s'arrête pas à cela parce que certaines fois, IL leur était même demandé souvent d'en avoir la maitrise idoine et l'entendement certain qu'il faut avant de transmettre Sa Parole aux peuples dont elle était destinée, s'agissant surtout du prophète de l'Islam.
Le métier de journalisme devrait être l'un des métiers les plus enviés du monde ainsi. Les hommes et femmes l'exerçant à travers la presse et les médias se doivent alors d'être à la hauteur de cette noblesse mais surtout pas participer à semer la zizanie, déséduquer, pervertir, mentir, déstabiliser un pays, etc. en se voyant comme un "prophète" : Informer en étant sûr de la véracité de ses informations, Informer en analysant l'impact de son information sur tous les plans, Informer tout en éduquant, Informer tout en participation à la cohésion nationale, Informer rien que pour dire la vérité sachant que toute vérité n'est pas bonne â diffuser en public surtout lorsqu'on est convaincu de son degré de nuisance.
SOURCE:Aboubakrine Ndiaye