Cette session a pour objet l'examen d’un projet de loi constitutionnelle visant à supprimer deux institutions publiques : le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE). L'utilité de ces deux organismes a été questionnée à plusieurs reprises, notamment par l'ADHA, qui a longtemps plaidé pour leur suppression dans le cadre d'une gestion plus rigoureuse des finances publiques.
Selon les estimations, cette réforme pourrait générer une économie annuelle de près de 15 milliards de francs CFA, soit un total de 75 milliards sur la durée d’un mandat de cinq ans. Ces fonds seraient réorientés vers des secteurs prioritaires tels que l’éducation, avec l’ambition d'éradiquer les écoles en abris provisoires dans le pays, un projet dont le coût total est évalué à 66 milliards de francs CFA. Cette redistribution des ressources offrirait ainsi une opportunité unique d'améliorer le cadre éducatif national et de renforcer les infrastructures de base.
L’ADHA applaudit cette démarche et exhorte le gouvernement à persévérer sur cette voie de rationalisation. Le président de l'organisation, M. Adama Mbengue, a réitéré le soutien sans réserve de son association à cette réforme, qu’il considère comme un pas décisif vers une meilleure utilisation des ressources publiques pour répondre aux besoins pressants de la population sénégalaise.
L'ADHA lance par ailleurs un appel à l’ensemble des députés pour qu’ils fassent preuve de responsabilité et de patriotisme en votant en faveur de cette réforme. L'adoption de ce projet de loi permettrait, selon l’organisation, de réorienter les finances publiques vers des projets ayant un impact tangible sur la vie des citoyens.
En conclusion, l’ADHA assure qu’elle continuera de suivre de près la mise en œuvre de cette réforme tout en militant pour une gouvernance transparente et efficace, au service de tous les Sénégalais.
Selon les estimations, cette réforme pourrait générer une économie annuelle de près de 15 milliards de francs CFA, soit un total de 75 milliards sur la durée d’un mandat de cinq ans. Ces fonds seraient réorientés vers des secteurs prioritaires tels que l’éducation, avec l’ambition d'éradiquer les écoles en abris provisoires dans le pays, un projet dont le coût total est évalué à 66 milliards de francs CFA. Cette redistribution des ressources offrirait ainsi une opportunité unique d'améliorer le cadre éducatif national et de renforcer les infrastructures de base.
L’ADHA applaudit cette démarche et exhorte le gouvernement à persévérer sur cette voie de rationalisation. Le président de l'organisation, M. Adama Mbengue, a réitéré le soutien sans réserve de son association à cette réforme, qu’il considère comme un pas décisif vers une meilleure utilisation des ressources publiques pour répondre aux besoins pressants de la population sénégalaise.
L'ADHA lance par ailleurs un appel à l’ensemble des députés pour qu’ils fassent preuve de responsabilité et de patriotisme en votant en faveur de cette réforme. L'adoption de ce projet de loi permettrait, selon l’organisation, de réorienter les finances publiques vers des projets ayant un impact tangible sur la vie des citoyens.
En conclusion, l’ADHA assure qu’elle continuera de suivre de près la mise en œuvre de cette réforme tout en militant pour une gouvernance transparente et efficace, au service de tous les Sénégalais.