La libération en vue Karim Wade n’aura pas finalement d’incidences sur les rapports entre socialistes et apéristes comme l’avaient prédit certains analystes. En dépit des tractations très avancées, le Ps minimise, en indiquant que de la même manière qu’il a le droit de discuter pour chercher à élargir ses bases, c’est de la même manière que toute autre formation politique a le droit de discuter avec d’autres. «(…) Il faut que tout le monde se le tienne pour dit. Nous ne considérons pas et nous ne saurions considérer, de quelque manière que ce soit, que cette question est faite pour des raisons politiciennes», a dit Abdoulaye Wilane sur le dialogue national qui est en train de déboucher sur la libération de Karim Wade.
Il ajoute d’ailleurs que par rapport à cette question, le Ps continue à faire preuve de sérénité et de confiance au chef de l’Etat et président de la coalition Benno bokk yakaar. «Nous tenons à notre souveraineté, à la souveraineté de notre parti, pour respecter la souveraineté des partis qui existent dans le paysage politique. Chaque parti politique a le droit de chercher à se massifier, à chercher à parler avec telle ou telle autre formation politique. « Pourquoi les gens voudraient-ils donc que quand deux formations politiques se voient que nous soyons contre ? », s’est interrogé le maire de Kaffrine. Wilane ajoute pour clore ce chapitre que le chef de l’Etat a le pouvoir de gracier qui il veut, au terme de l’article 47 de la constitution. « C’est son droit. On ne peut pas comprendre dans un pays, un Etat de droit qu’on s’en offusque. La grâce présidentielle appartient exclusivement au président de la République et il n’y a pas de conditions ou préalables ».
Madou Mbodj (jotay.net)
Il ajoute d’ailleurs que par rapport à cette question, le Ps continue à faire preuve de sérénité et de confiance au chef de l’Etat et président de la coalition Benno bokk yakaar. «Nous tenons à notre souveraineté, à la souveraineté de notre parti, pour respecter la souveraineté des partis qui existent dans le paysage politique. Chaque parti politique a le droit de chercher à se massifier, à chercher à parler avec telle ou telle autre formation politique. « Pourquoi les gens voudraient-ils donc que quand deux formations politiques se voient que nous soyons contre ? », s’est interrogé le maire de Kaffrine. Wilane ajoute pour clore ce chapitre que le chef de l’Etat a le pouvoir de gracier qui il veut, au terme de l’article 47 de la constitution. « C’est son droit. On ne peut pas comprendre dans un pays, un Etat de droit qu’on s’en offusque. La grâce présidentielle appartient exclusivement au président de la République et il n’y a pas de conditions ou préalables ».
Madou Mbodj (jotay.net)
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