Ce Prix d’une valeur de 3 millions de dollars US créé en 2008 par le président Teodoro Obiang Nguema de la Guinée équatoriale est destiné à « faciliter le travail de la recherche fondamentale dans les sciences de la vie », selon la chaîne de télévision Africa 24. Le Prix est sensé ouvrir des perspectives pour les chercheurs dans le cadre des maladies qui déciment l’humanité telles que le paludisme, Vih sida, maladies génétiques, etc. Plus précisément, ce prix récompense les chercheurs en sciences de la vie, qui tendent à améliorer la qualité de la vie des êtres humains. Le premier Prix de l’enveloppe est de 250 000 dollars US.
Mais le Prix avait fait l’objet de vives contestations de la part des pays occidentaux notamment la France, les Etats Unis mais aussi les organisations de défense des droits de l'homme et de lutte contre la corruption demandaient son annulation au motifs que c’est faire trop d’honneur à un dictateur, non respectueux des droits de l’homme que d’accepter ce prix. Aussi, les protagonistes estiment que la source de financement n’était pas suffisamment identifiée. Mais ces détracteurs s’étaient heurtés à la résistance des pays d'Afrique et du Moyen-Orient.
Afin de trouver un compromis, le 5 novembre le président Obiang avait décidé de retirer du Prix le nom de sa fondation pour qu’il soit plutôt décerné au nom de la Guinée Equatoriale et de l’Afrique. Ce qui a été fait. Alors au lieu de Prix Unesco Fondation Obiang Nguema, le Prix est désormais dénommé Prix Guinée Equatoriale pour la vie et accepté par l’Unesco après une « vive bataille diplomatique et médiatique». Le processus est en cours pour que le Prix soit décerné à partir de cette année. Lors du vote à Paris, 33 Etats membres ont voté pour, 18 pays ont voté contre le Prix alors que 6 autres se sont abstenus.
Régissant à l’adoption du Prix, M. Obiang Nguema, a estimé que la polémique actuelle qui entoure ce don à l’Unesco n’a aucun sens puisque le plus important c’est de sauver les êtres humains et non pas le nom que porte le Prix. Encore que «L’Unesco ce n’est pas une institution politique, c’est culturelle».
En approuvant par une large majorité ce jour, les délégué de l’Unesco viennent de mettre fin à une longue bataille qui n’a pas honoré une institution fondée sur les valeurs universelle de culture, de tolérance et de partage estime Africa 24, chaîne de TV où le président équato-guinéen est un grand actionnaire. « Pour la Guinée Equatoriale et l’Afrique, ce vote éclatant est la victoire du respect et de solidarité».
Mais le Prix avait fait l’objet de vives contestations de la part des pays occidentaux notamment la France, les Etats Unis mais aussi les organisations de défense des droits de l'homme et de lutte contre la corruption demandaient son annulation au motifs que c’est faire trop d’honneur à un dictateur, non respectueux des droits de l’homme que d’accepter ce prix. Aussi, les protagonistes estiment que la source de financement n’était pas suffisamment identifiée. Mais ces détracteurs s’étaient heurtés à la résistance des pays d'Afrique et du Moyen-Orient.
Afin de trouver un compromis, le 5 novembre le président Obiang avait décidé de retirer du Prix le nom de sa fondation pour qu’il soit plutôt décerné au nom de la Guinée Equatoriale et de l’Afrique. Ce qui a été fait. Alors au lieu de Prix Unesco Fondation Obiang Nguema, le Prix est désormais dénommé Prix Guinée Equatoriale pour la vie et accepté par l’Unesco après une « vive bataille diplomatique et médiatique». Le processus est en cours pour que le Prix soit décerné à partir de cette année. Lors du vote à Paris, 33 Etats membres ont voté pour, 18 pays ont voté contre le Prix alors que 6 autres se sont abstenus.
Régissant à l’adoption du Prix, M. Obiang Nguema, a estimé que la polémique actuelle qui entoure ce don à l’Unesco n’a aucun sens puisque le plus important c’est de sauver les êtres humains et non pas le nom que porte le Prix. Encore que «L’Unesco ce n’est pas une institution politique, c’est culturelle».
En approuvant par une large majorité ce jour, les délégué de l’Unesco viennent de mettre fin à une longue bataille qui n’a pas honoré une institution fondée sur les valeurs universelle de culture, de tolérance et de partage estime Africa 24, chaîne de TV où le président équato-guinéen est un grand actionnaire. « Pour la Guinée Equatoriale et l’Afrique, ce vote éclatant est la victoire du respect et de solidarité».