
La Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) a défendu, selon le journal Libération, qu’au moment de la modification de l’actionnariat, le régime de Wade était en train de réfléchir et de proposer une autre alternative quand le premier avenant fût signé par Macky Sall alors ministre de l’Hydraulique, à l’insu du président Wade, contre l’avis de la Sones et de ses avocats.