Des joueurs mais pas de jeu au milieu. L'entraîneur José Mourinho a clairement identifié l'un des maux actuels: "En ce moment, très peu pensent au fait que le football est prioritaire dans leur vie. Aujourd'hui (samedi), j'ai réussi à en compter deux ou trois", a rugi le Portugais à l'issue de la deuxième défaite des siens (1-0) après le revers subi à Getafe (2-1). Ce constat, juste en lui-même, aveugle peut-être "The Special One" sur un aspect encore plus préoccupant: le Real, aux combinaisons si rapides la saison dernière, se fait à lui-même le coup de la panne dans la production de jeu. Les joueurs chargés de la création comme Özil ou même Benzema étant quasiment au point mort, seule la recrue Modric paraît en mesure de relancer la machine.
. Le supplice des coups de pied arrêtés. Sur les quatre buts déjà encaissés par les Merengue, trois sont consécutifs à des coups de pied arrêtés (deux sur corner et un sur coup franc). La marque, effectivement, d'une déconcentration coupable de l'ensemble de l'équipe. Pourtant, Mourinho réfute le problème et assure qu'"il est impossible de travailler davantage la défense sur les coups de pied arrêtés. Tout le monde sait ce qu'il a à faire". L'attention et l'implication ont pourtant intérêt à revenir rapidement face à des Citizens pas maladroits avec leurs grands gabarits Lescott et Yaya Touré.
. En finir avec les simagrées de Ronaldo. Là encore, Mourinho est formel: "Il n'y a aucun lien entre les rumeurs (...) au sujet de Cristiano Ronaldo et notre mauvaise prestation. Nous étions déjà mauvais face à Getafe, et même face à Grenade" (victoire des Merengue 3-0). La "tristesse" évoquée par Ronaldo avant qu'il ne parte en sélection du Portugal pour deux matches de qualifications paraît, en effet, oubliée par le joueur lui-même malgré la vague d'émotions causée par ses aspirations financières dans un pays où la crise économique sévit durement. Samedi, sentant que son équipe s'acheminait à nouveau vers la défaite, le Portugais a laissé de côté ses simagrées. Il a au contraire essayé d'égaliser rapidement, tout en manquant de précision. "CR7" s'est ensuite étiolé en seconde période. Sans doute fait-il partie de "têtes qui pensent à autre chose", chères à Mourinho...
. Mourinho en appelle à l'esprit de la Supercoupe. Dans son analyse de l'entame de saison, le technicien madrilène a appelé ses joueurs à retrouver l'esprit de la Supercoupe d'Espagne, remportée mi-août contre le Barça (2-3; 2-1). Selon "Mou", ses Blancs devront faire preuve mardi de cette combativité contre Manchester City et sa puissance de feu nommée Nasri, Tevez, Agüero ou encore Balotelli. Dernier rempart contre la sinistrose ambiante: Le Real de Casillas, avec deux victoires et un nul, est toujours invaincu à Santiago-Bernabeu.
. Le supplice des coups de pied arrêtés. Sur les quatre buts déjà encaissés par les Merengue, trois sont consécutifs à des coups de pied arrêtés (deux sur corner et un sur coup franc). La marque, effectivement, d'une déconcentration coupable de l'ensemble de l'équipe. Pourtant, Mourinho réfute le problème et assure qu'"il est impossible de travailler davantage la défense sur les coups de pied arrêtés. Tout le monde sait ce qu'il a à faire". L'attention et l'implication ont pourtant intérêt à revenir rapidement face à des Citizens pas maladroits avec leurs grands gabarits Lescott et Yaya Touré.
. En finir avec les simagrées de Ronaldo. Là encore, Mourinho est formel: "Il n'y a aucun lien entre les rumeurs (...) au sujet de Cristiano Ronaldo et notre mauvaise prestation. Nous étions déjà mauvais face à Getafe, et même face à Grenade" (victoire des Merengue 3-0). La "tristesse" évoquée par Ronaldo avant qu'il ne parte en sélection du Portugal pour deux matches de qualifications paraît, en effet, oubliée par le joueur lui-même malgré la vague d'émotions causée par ses aspirations financières dans un pays où la crise économique sévit durement. Samedi, sentant que son équipe s'acheminait à nouveau vers la défaite, le Portugais a laissé de côté ses simagrées. Il a au contraire essayé d'égaliser rapidement, tout en manquant de précision. "CR7" s'est ensuite étiolé en seconde période. Sans doute fait-il partie de "têtes qui pensent à autre chose", chères à Mourinho...
. Mourinho en appelle à l'esprit de la Supercoupe. Dans son analyse de l'entame de saison, le technicien madrilène a appelé ses joueurs à retrouver l'esprit de la Supercoupe d'Espagne, remportée mi-août contre le Barça (2-3; 2-1). Selon "Mou", ses Blancs devront faire preuve mardi de cette combativité contre Manchester City et sa puissance de feu nommée Nasri, Tevez, Agüero ou encore Balotelli. Dernier rempart contre la sinistrose ambiante: Le Real de Casillas, avec deux victoires et un nul, est toujours invaincu à Santiago-Bernabeu.