Le Réseau des Enseignants de l’APR doute de la « sincérité » d’Idrissa Seck.

Bonjour à tous! Votre nouveau site d'information est désormais en ligne: focusactu.com. Bienvenue à tous!

si tu crois que IDY va vous laisser pagailler dans ce pays, vous vous trompez. le seul opposant c'est lui et nous le soutenons.

il est dans la dynamique de coalition mais cela ne va pas dire qu'il ne doit â mener sa politique mais dans le bon sens. et il est bon que ceux qui sont au pouvoir sache que quequn les écoute. c'est de bonne guerre.

Mais qu'est ce qu'il croit ce Suzanne?que si on fait partie d'une coalition,on a pas à dire des vérités?il est fou s'il croit que Idrissa ne condamnera pas ce qui est blâmable.En allant demander au président Idrissa Seck savait qu'il aurait un soutien indéfectible auprès de lui;mais savait surtout que le président Idrissa Seck ne pourrait jamais passer sous silence des dérives.Pourtant,lors du fameux meeting de thiès,Idrissa a réaffirmé sans ambages qu'il soutiendrait macky tant qu'il tiendrait ses promesses faites au peuple sénégalais.Mais aussi et surtout,qu'il CONDAMNERAIT CE QUI L'EST ET APPROUVERAIT CE QUI EST CONVENABLE.Je me rappelle,ce jour là,ce même Suzanne exultait et disait que la victoire était acquise apès ce meeting.Et il doit savoir aussi que le Président Idrissa Seck ne donnerait jamais à macky ce qu'il a toujours refusé à wade;c'est à dire taire des vérités et rester toujours DEBOUT pour SERVIR LE SÉNÉGAL. Notre soutien à macky repose sur le fait qu'il satisfasse aux problèmes du Sénégal et des Sénégalais.Pour ce qui est de 2017,c'est Dieu seul qui en décidera.Ce ne sera pas le Président Idrissa Seck,ni vous encore moins macky.En attendant,nous serons comptable de tout ce le gouvernement fera de bon pour ce pays et décriera avec la dernière énergie toute dérive ou gâchis. La messe étant dite,Suzanne,ton macky sait ce qu'a dit le Président Idrissa Seck.Toi qui prèfère etre une ouaille et laisser ton macky s'enfoncer dans un précipice sans fin,continue et on verra.Et puis,cette sottise qui est sortie de ta bouche révèle aisément comment tu diriges ton syndicat et pourquoi vous arrivez à rien de bons.Je le dis à haute et intelligible voix:tous ceux qui sont dans BENNO BOKK YAKAR et qui se taisent sur certaines dérives et qui ne s'opposeront pas à certaines décisions qui ne vont pas dans l’intérêt des Sénégalais sont des hypocrites et des personnes qui ne sont omnibulées que par leurs intérêt crypto-personnels.Et le peuple sanctionnera le moment venu.

les enseignants APR et les REWMISTES qui leur repondent dans ce forum sont tous en train de se tromper de cible.Aidez vos leaders a developper ce pays au lieu de gesticuler betement.

" approuver le convenable et condamner le blamable" , bravo Idy je salue votre constance

Macky sait qu'il est un président par défaut et que le seul capable de redresser le pays c'est le Président Seck. C'est pour cela qu'il exige de ses ouailles d'apporter une réplique. La bonne réplique serait de prendre les propos d'Idy avec philosophie de savoir que c'est quelqu'un qui nous dira toujours la vérité qu'Il pleuve ou qu'Il neige.

Idrissa SECK n'est pas là pour consommer les incapacités produites par le gouvernement, tant qu'il n'y aura pas une bonne gouvernance et que tant que le panier ménager n'est pas allégé comme l'avait promi SE Macky SALL et son soit disant économiste, tant que les jeunes ne trouvent pas de possibilités d'emploi, le très constant et valeureux Idrissa SECK aura son mot à dire.

Merci Idy de vouloir rester au côté de la nation au lieu de chercher à fermer les yeux pour être récompensé comme certains qui se réclamaient leaders.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.

(sans universités performantes, point de développement).

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!)
qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.

A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.

Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.