« En 2010, les quantités d’or exportées par le Sénégal ont atteint 8 tonnes 343 kg, pour une valeur de 101,4 milliards de F CFA, contre 8 tonnes 321 kg en 2009, soit 85,4 milliards de F CFA», explique la BCEAO soulignant qu’en 2008, la production du pays en métal jaune était d’une tonne 861 kg, rapportant 9,5 milliards de F CFA.
Sur cette base, l’institution bancaire indique que le secteur aurifère, dont le processus d’exploitation des mines découvertes dans les années 60 à l’Est du Sénégal a été entamé au début des années 2000, commence à jouer un rôle important dans l’économie sénégalaise avec la création notamment d’emplois et le développement d’infrastructures socio-économiques.
Avec des achats qui atteignent 75,3% des exportations, la Suisse se place en tête des pays destinataires de l’or sénégalais suivi par les Emirats Arabes Unis avec 15,3% et la Belgique qui achète les 1,2%.
«Avec les travaux intenses qui se sont déroulés à Sabodala (où se trouve la principale mine d’or) entre 2005 et maintenant (2012), on a vu les réserves passées d'un potentiel de réserve de 500 mille onces (1 once d’or égale à 30 g) puis 1million 500 mille onces, puis 2 millions d'onces», confiait en 2011 à un quotidien dakarois, le Directeur des mines et de la géologie de l’époque, Moussa Sylla.
Sur cette base, l’institution bancaire indique que le secteur aurifère, dont le processus d’exploitation des mines découvertes dans les années 60 à l’Est du Sénégal a été entamé au début des années 2000, commence à jouer un rôle important dans l’économie sénégalaise avec la création notamment d’emplois et le développement d’infrastructures socio-économiques.
Avec des achats qui atteignent 75,3% des exportations, la Suisse se place en tête des pays destinataires de l’or sénégalais suivi par les Emirats Arabes Unis avec 15,3% et la Belgique qui achète les 1,2%.
«Avec les travaux intenses qui se sont déroulés à Sabodala (où se trouve la principale mine d’or) entre 2005 et maintenant (2012), on a vu les réserves passées d'un potentiel de réserve de 500 mille onces (1 once d’or égale à 30 g) puis 1million 500 mille onces, puis 2 millions d'onces», confiait en 2011 à un quotidien dakarois, le Directeur des mines et de la géologie de l’époque, Moussa Sylla.