Le Sénégal est cité parmi un groupe de 25 pays à ’’faible performance’’ en matière de transparence budgétaire avec un score 3 pour cent, le score moyen étant de 39. Le pays d’Afrique de l’ouest le mieux placé est le Ghana avec 49 pour cent. Le Ghana qui fait partie du groupe ’’fournit quelques informations’’. Il est suivi respectivement du Nigéria (19 pour cent) et du Burkina Faso (14 pour cent).
L’Afrique du Sud domine le classement au plan continental (2-ème mondial), avec 87 pour cent. Il est dans le groupe le plus performant avec la Grande Bretagne (premier rang avec 88 pour cent), la France (2-ème ex æquo), la Nouvelle Zélande (4-ème, 86 pour cent) et les Etats-Unis (5-ème, 82 pour cent). Dans ces pays, le public a largement accès à l’information budgétaire pour pouvoir astreindre le gouvernement à l’obligation de rendre compte, indique un document remis aux participants.
Cinq pays – tous d’Afrique – ferment la marche avec zéro pour cent : Rwanda, Soudan, RD Congo, Guinée Equatoriale et Sao Tomé et Principe. Selon les enquêteurs, ce sont des pays où le gouvernement décident de l’usage des deniers publics ‘’à huis clos’’, sans aucune participation des populations à la prise de décision.
Quelque 123 questions ont été posées aux personnes et organisations par les chercheurs. Le questionnaire couvre les quatre phases du processus de mise en place du budget : la formulation, l’approbation par le pourvoir législatif, l’exécution et l’audit.
L’OBI est une évaluation du niveau de transparence du budget dans les pays participants au plan mondial. Le lancement au plan régional est la première opération du genre depuis son avènement en 2005.
Le Centre pour la coopération public- privé basé à Ibadan (Nigéria), en collaboration avec le Centre pour le développement social intégré (ISODEC) du Ghana et avec le Partenariat international pour le budget (IBP) basé à Washington, a initié l’Indice sur la transparence du budget.
L’OBI, qui bénéficie également du soutien du PNUD, est destiné à aider les chercheurs non gouvernementaux à comprendre et à appliquer les bonnes pratiques dont la transparence budgétaire et l’obligation de rendre compte.
En outre, il cherche à stimuler l’intérêt des organisations de la société civile dans la promotion de l’accès du public à l’information relative au budget durant toutes les phases de l’année budgétaire. Cette démarche est fondée sur le principe selon lequel la disponibilité d’une information compréhensive et opportune est essentielle pour la participation de la société civile dans le processus de budgétisation.
Le CPPC est membre du Réseau ouest africain de plaidoyer (WARBAN, en anglais), un réseau d’organisations de la société civile de la sous-région. Le WARBAN est composé d’organisations du Burkina Faso, du Ghana, du Mali, du Nigeria, du Sénégal et de la Sierra Léone.
En collaboration avec l’ISODEC et l’IBP, il a conduit une enquête pour le développement de l’OBI 2008 en Afrique de l’ouest. La recherche a été menée dans 7 pays de la sous région : Burkina Faso, Ghana, Libéria, Niger, Nigeria et Sénégal.
L’Afrique du Sud domine le classement au plan continental (2-ème mondial), avec 87 pour cent. Il est dans le groupe le plus performant avec la Grande Bretagne (premier rang avec 88 pour cent), la France (2-ème ex æquo), la Nouvelle Zélande (4-ème, 86 pour cent) et les Etats-Unis (5-ème, 82 pour cent). Dans ces pays, le public a largement accès à l’information budgétaire pour pouvoir astreindre le gouvernement à l’obligation de rendre compte, indique un document remis aux participants.
Cinq pays – tous d’Afrique – ferment la marche avec zéro pour cent : Rwanda, Soudan, RD Congo, Guinée Equatoriale et Sao Tomé et Principe. Selon les enquêteurs, ce sont des pays où le gouvernement décident de l’usage des deniers publics ‘’à huis clos’’, sans aucune participation des populations à la prise de décision.
Quelque 123 questions ont été posées aux personnes et organisations par les chercheurs. Le questionnaire couvre les quatre phases du processus de mise en place du budget : la formulation, l’approbation par le pourvoir législatif, l’exécution et l’audit.
L’OBI est une évaluation du niveau de transparence du budget dans les pays participants au plan mondial. Le lancement au plan régional est la première opération du genre depuis son avènement en 2005.
Le Centre pour la coopération public- privé basé à Ibadan (Nigéria), en collaboration avec le Centre pour le développement social intégré (ISODEC) du Ghana et avec le Partenariat international pour le budget (IBP) basé à Washington, a initié l’Indice sur la transparence du budget.
L’OBI, qui bénéficie également du soutien du PNUD, est destiné à aider les chercheurs non gouvernementaux à comprendre et à appliquer les bonnes pratiques dont la transparence budgétaire et l’obligation de rendre compte.
En outre, il cherche à stimuler l’intérêt des organisations de la société civile dans la promotion de l’accès du public à l’information relative au budget durant toutes les phases de l’année budgétaire. Cette démarche est fondée sur le principe selon lequel la disponibilité d’une information compréhensive et opportune est essentielle pour la participation de la société civile dans le processus de budgétisation.
Le CPPC est membre du Réseau ouest africain de plaidoyer (WARBAN, en anglais), un réseau d’organisations de la société civile de la sous-région. Le WARBAN est composé d’organisations du Burkina Faso, du Ghana, du Mali, du Nigeria, du Sénégal et de la Sierra Léone.
En collaboration avec l’ISODEC et l’IBP, il a conduit une enquête pour le développement de l’OBI 2008 en Afrique de l’ouest. La recherche a été menée dans 7 pays de la sous région : Burkina Faso, Ghana, Libéria, Niger, Nigeria et Sénégal.