Abdoulaye Wade avait tout planifié afin d’exploiter politiquement une victoire des Lions en Guinée équatoriale: Des maisons, des millions de Francs….Il avait compris que seule une réussite à cette compétition pourrait alléger la pression sociale. Le onze d’Amara Traoré a lamentablement échoué, sans pour autant que l’on puisse mettre le doigt sur une raison précise. Les uns parlent d’un système de jeu peu efficace, d’autres parlent d’un manque de patron (meneur de jeu) au sein de la tanière et certains parlent encore de l’incompétence de l’entraîneur ou de l’attitude de certains joueurs. On peut légitimement douter de la validité de ces arguments pour une raison simple. Amara a tourné, à peu près, le même effectif durant les éliminatoires. Il a empoché 16 points sur 18 possibles (+14). Les Lions ont gagné 5 matches et ont eu un match nul (sans défaite)! Parmi les onze groupes des éliminatoires de la coupe d’Afrique des nations, seule la Côte d’ivoire a légèrement fait mieux que le Sénégal avec 18 points (+15).
La question qu’il faut se poser est pourquoi l’équipe s’est inclinée trois fois, sur le même score et est rentrée bredouille avec 0 Point?
Il me semble que l’explication ne peut provenir ni des choix tactiques de l’entraîneur encore moins de l’encadrement technique, elle est plus profonde que cela: C’est Abdoulaye Wade!
Ceci n’est point une affirmation sarcastique. Au contraire, une lecture attentive des signes la corrobore.
En décidant de trahir son peuple, le Président Wade, par sa volonté de dérives monarchiques, a vu une malédiction s’abattre sur lui. C’est ce qui l’amène à porter la guigne et à émettre des vibrations négatives sur le pays.
Et pourtant, le Sénégal était loin de ces turbulences il y a encore quelques années. Le mariage d’Abdoulaye Wade avec le Sénégal a connu une phase faste qui a tout juste suivi son avènement à la tête de l’Etat Sénégalais. C’est la période où la bande d’El hadji Diouf nous a régalé durant la coupe d’Afrique des nations et la coupe du monde de football. C’est tout le Sénégal qui gagnait à cette époque formidable.
Cette réussite exemplaire s’expliquait par le fait que le Président avait la bénédiction de tout un peuple, qui a accepté de vivre en parfaite communion avec lui.
Ce dernier, qui pourtant exploitait politiquement ces victoires des Lions du football, avec son fameux slogan “le Sénégal qui gagne”, ne rencontrait aucune contestation dans ce sens. Il y avait une complicité entre les citoyens et leur Président dont le fondement était un contrat social . En vérité, il n y a pas de différence entre la fameuse théorie de Rousseau et le phénomène politique du Sénégal entre 2000 et 2004. C’est une période où les Sénégalais dans leur majorité ont volontairement confié leur destin à un souverain, dans une relation contractuelle.
Quelques années plus tard, Me Wade ayant unilatéralement rompu le pacte social a du coup préparé une potion maléfique contre lui-même.
A cause de ses calculs immoraux, le Président Wade, nous a précipité dans un Sénégal qui n’est plus celui qui gagne. On est plutôt dans l’ère du “Sénégal qui perd”!
Ceci nous peine énormément pour un pays qui, de par son rayonnement, a toujours forcé le respect en Afrique et à travers le monde. Mais la réalité du moment est que le Sénégal est en train de perdre au moins à trois niveaux.
Le Sénégal qui perd est d’abord une perte sur le terrain de la démocratie. Après la démission de feu Kéba Mbaye en 1992, on ne pensait plus que des juges constitutionnels violeraient le droit. Leur verdict est simplement un coup de frein porté contre la démocratie. Je m’inscris en faux contre l’idée selon laquelle le conseil constitutionnel ne pouvait pas délibérer autrement (comme l’aurait fait le conseil constitutionnel en France). Cette position est inacceptable parce qu’elle suggère l’idée d’un “ minimum” de démocratie pour les sénégalais. La démocratie est une et indivisible. Il n’y a pas de démocratie pour l’Europe et celle pour pays sous-développés comme le Sénégal.
Deuxièmement, le Sénégal qui perd est visible dans la perte de ses citoyens. En deux jours de manifestation, notre pays a perdu toutes les tranches d’âge de sa population: Un Jeune de 14 ans, un adulte de 31 ans et une femme de 60 ans. Aussi bien des hommes que des femmes ont été tués en moins d’une semaine…
Ces pertes sont lourdes et très chargées symboliquement. Abdoulaye Wade le démoniaque a créé un Sénégal qui a perdu des jeunes qui sont l’avenir du peuple, des étudiants qui sont l’espoir de demain et surtout des femmes qui sont les mères de la nation.
Enfin, c’est le Sénégal qui perd doublement son “ciment confrérique unitaire”.
Le Président dans ses manœuvres sataniques, a créé un sérieux malaise entre des frères et cousins à Kaolack Léona-Niassène, entre d’éminents membres de la famille de Touba . Et pour boucler la boucle, le candidat démoniaque a dressé Sergine Abdou Aziz Sy junior contre les manifestants : Le marabout n’a pas fait dans la dentelle en s’adressant aux manifestants.
L’attitude de Wade est extrêmement dangereuse pour un pays qui compte 90% de musulmans dont l’écrasante majorité est tijane et mouride. N’eût été la maturité des acteurs religieux, « ce régulateur social confrérique » allait être transformé en « étincelle sociale » .
L’ère du Sénégal qui perd est presque close. Abdoulaye Wade partira et emportera avec lui sa poisse ….Un Sénégal gagnant installera une équipe jeune, honnête et compétente.
Nous de la coalition Idy4President pensons que notre candidat a le profil de l’emploi.
Chouaib Coulibaly (Jacob)
La question qu’il faut se poser est pourquoi l’équipe s’est inclinée trois fois, sur le même score et est rentrée bredouille avec 0 Point?
Il me semble que l’explication ne peut provenir ni des choix tactiques de l’entraîneur encore moins de l’encadrement technique, elle est plus profonde que cela: C’est Abdoulaye Wade!
Ceci n’est point une affirmation sarcastique. Au contraire, une lecture attentive des signes la corrobore.
En décidant de trahir son peuple, le Président Wade, par sa volonté de dérives monarchiques, a vu une malédiction s’abattre sur lui. C’est ce qui l’amène à porter la guigne et à émettre des vibrations négatives sur le pays.
Et pourtant, le Sénégal était loin de ces turbulences il y a encore quelques années. Le mariage d’Abdoulaye Wade avec le Sénégal a connu une phase faste qui a tout juste suivi son avènement à la tête de l’Etat Sénégalais. C’est la période où la bande d’El hadji Diouf nous a régalé durant la coupe d’Afrique des nations et la coupe du monde de football. C’est tout le Sénégal qui gagnait à cette époque formidable.
Cette réussite exemplaire s’expliquait par le fait que le Président avait la bénédiction de tout un peuple, qui a accepté de vivre en parfaite communion avec lui.
Ce dernier, qui pourtant exploitait politiquement ces victoires des Lions du football, avec son fameux slogan “le Sénégal qui gagne”, ne rencontrait aucune contestation dans ce sens. Il y avait une complicité entre les citoyens et leur Président dont le fondement était un contrat social . En vérité, il n y a pas de différence entre la fameuse théorie de Rousseau et le phénomène politique du Sénégal entre 2000 et 2004. C’est une période où les Sénégalais dans leur majorité ont volontairement confié leur destin à un souverain, dans une relation contractuelle.
Quelques années plus tard, Me Wade ayant unilatéralement rompu le pacte social a du coup préparé une potion maléfique contre lui-même.
A cause de ses calculs immoraux, le Président Wade, nous a précipité dans un Sénégal qui n’est plus celui qui gagne. On est plutôt dans l’ère du “Sénégal qui perd”!
Ceci nous peine énormément pour un pays qui, de par son rayonnement, a toujours forcé le respect en Afrique et à travers le monde. Mais la réalité du moment est que le Sénégal est en train de perdre au moins à trois niveaux.
Le Sénégal qui perd est d’abord une perte sur le terrain de la démocratie. Après la démission de feu Kéba Mbaye en 1992, on ne pensait plus que des juges constitutionnels violeraient le droit. Leur verdict est simplement un coup de frein porté contre la démocratie. Je m’inscris en faux contre l’idée selon laquelle le conseil constitutionnel ne pouvait pas délibérer autrement (comme l’aurait fait le conseil constitutionnel en France). Cette position est inacceptable parce qu’elle suggère l’idée d’un “ minimum” de démocratie pour les sénégalais. La démocratie est une et indivisible. Il n’y a pas de démocratie pour l’Europe et celle pour pays sous-développés comme le Sénégal.
Deuxièmement, le Sénégal qui perd est visible dans la perte de ses citoyens. En deux jours de manifestation, notre pays a perdu toutes les tranches d’âge de sa population: Un Jeune de 14 ans, un adulte de 31 ans et une femme de 60 ans. Aussi bien des hommes que des femmes ont été tués en moins d’une semaine…
Ces pertes sont lourdes et très chargées symboliquement. Abdoulaye Wade le démoniaque a créé un Sénégal qui a perdu des jeunes qui sont l’avenir du peuple, des étudiants qui sont l’espoir de demain et surtout des femmes qui sont les mères de la nation.
Enfin, c’est le Sénégal qui perd doublement son “ciment confrérique unitaire”.
Le Président dans ses manœuvres sataniques, a créé un sérieux malaise entre des frères et cousins à Kaolack Léona-Niassène, entre d’éminents membres de la famille de Touba . Et pour boucler la boucle, le candidat démoniaque a dressé Sergine Abdou Aziz Sy junior contre les manifestants : Le marabout n’a pas fait dans la dentelle en s’adressant aux manifestants.
L’attitude de Wade est extrêmement dangereuse pour un pays qui compte 90% de musulmans dont l’écrasante majorité est tijane et mouride. N’eût été la maturité des acteurs religieux, « ce régulateur social confrérique » allait être transformé en « étincelle sociale » .
L’ère du Sénégal qui perd est presque close. Abdoulaye Wade partira et emportera avec lui sa poisse ….Un Sénégal gagnant installera une équipe jeune, honnête et compétente.
Nous de la coalition Idy4President pensons que notre candidat a le profil de l’emploi.
Chouaib Coulibaly (Jacob)