Au Liban, les Sénégalais se disent persécutés. Ce, depuis quelques jours, pour des problèmes de cartes de séjour. Pis, trois (3) femmes ont été déjà arrêtées puis emprisonnées. En détresse, ils demandent l’intervention du Président Sall. Awa Niang qui porte leur parole de sonner l’alerte. « Depuis une semaine, tous les Sénégalais sont en train de pleurer. Ils sont entrés dans nos maisons, ont capturé trois (3) filles pour les amener en prison… Elles ont toutes été déplacées… Les gens ont tout fait mais rien. L’ambassadeur est venu mais ce n’était pas à cause du problème des filles car il nous a laissé avec tous nos problèmes et est reparti. Le gouvernement doit agir, c’est très urgent. Le Président Sall n’a qu’à envoyer quelqu’un pour régler la situation. C’est très difficile ».
Le président du Comité des droits de l’homme, qui vient de boucler une tournée en Angola, parle, pour sa part, de problèmes de rapatriement de dépouilles mortelles et de papiers. Selon Alioune Tine, l’ouverture d’une ambassade en Angola s’impose. « La première des difficultés, c’est le rapatriement d’un compatriote décédé le 11 mai dernier, si on ne le rapatrie pas, c’est le risque de la fosse commune.
"J’ai eu l’appel pathétique de ses parents qui demandent aux autorités publiques de bien vouloir les aider à rapatrier le corps, c’est un problème immédiat, urgent, en ce moment, en Angola. Maintenant, il y a des problèmes structurels, c’est-à-dire que pour avoir le certificat de résidence, c’est extrêmement difficile. Si vous avez un permis d’un an, au terme de ce permis, il vous faut quitter le pays et pour éviter de quitter ce pays, ils sont obligés de renoncer à leur nationalité pour se déclarer réfugiés… », lance-t-il sur les ondes de la Rfm.
Dié BA
Le président du Comité des droits de l’homme, qui vient de boucler une tournée en Angola, parle, pour sa part, de problèmes de rapatriement de dépouilles mortelles et de papiers. Selon Alioune Tine, l’ouverture d’une ambassade en Angola s’impose. « La première des difficultés, c’est le rapatriement d’un compatriote décédé le 11 mai dernier, si on ne le rapatrie pas, c’est le risque de la fosse commune.
"J’ai eu l’appel pathétique de ses parents qui demandent aux autorités publiques de bien vouloir les aider à rapatrier le corps, c’est un problème immédiat, urgent, en ce moment, en Angola. Maintenant, il y a des problèmes structurels, c’est-à-dire que pour avoir le certificat de résidence, c’est extrêmement difficile. Si vous avez un permis d’un an, au terme de ce permis, il vous faut quitter le pays et pour éviter de quitter ce pays, ils sont obligés de renoncer à leur nationalité pour se déclarer réfugiés… », lance-t-il sur les ondes de la Rfm.
Dié BA
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