« Que vous appréciez ou non le président Barrow, la paix prévaudra ici. Votre haine envers le président Barrow ne signifie pas que vous devriez insulter ceux qui travaillent dans son gouvernement. Nous n’acceptons pas cela. Je parlerai à l’inspecteur général de la police, pour réprimer ceux qui veulent inciter à la violence. La démocratie devient désormais incontrôlable » a-t-il déclaré, devant ses partisans, selon le média en ligne « Fatu ».
« The Standard » informe que le président gambien s’en est également pris au chef de l’opposition, Ousainu Darboe. Il a laissé entendre que le patron de Parti Démocratique Unifié (UDP) manquait de sagesse.
« Darboe est peut-être plus âgé que moi, mais certainement pas plus sage que moi, car avoir de la sagesse et de l’éducation sont complètement différents. Je reconnais qu’il est plus instruit que moi, mais pendant 20 ans, malgré son éducation, ses capacités et son âge, il a été impitoyablement battu par Yahya Jammeh, qui a été à son tour battu par le président Barrow qu’il sous-estime.
Je suis également d’accord qu’il parle mieux anglais que moi, mais je parle aussi mieux que lui le mandingue, le peul, le sarahule et le wolof. Je parle mieux que lui les langues maternelles. Alors, où est son éducation ? », s’est interrogé Barrow.
Pour lui, la plus « grande menace pour la sécurité nationale de la Gambie », est l’UDP d’Ousainu Darboe.
« Vous n’entendrez aucun parti politique parler, à part eux. Sont-ils plus Gambiens que nous tous ? Nous savons tous que les choses que vous aviez peur de faire ou de dire hier, sont celles que vous faites aujourd'hui. Vous voulez faire croire que le président de ce pays est un mauvais fils, mais cette absurdité prendra fin », a-t-il menacé. Désormais, quiconque osera l’insulter, n’en sortira pas indemne.
« Je tiens à annoncer aujourd'hui, que désormais, personne ne m’insultera dans ce pays et s’en sortira indemne. Même si quelqu’un appelle une station de radio pour m’insulter, nous arrêterons le propriétaire de la radio. Nous poursuivrons également ceux qui insultent les gens sur les réseaux sociaux et même si un juge vous libère, nous vous arrêterons de nouveau. Nous voulons que ce pays avance…Nous avons des lois dans ce pays que tout le monde devra respecter par la force. Quelle que soit votre puissance, si vous vivez dans ce pays, vous êtes sous la direction du président Barrow. Je suis le commandant en chef », a encore menacé le président gambien.
Contacté par « The Standard », le porte-parole de l’UDP, AlmamyTaal a refusé de répondre au chef de l’Etat. Pour lui, son parti a mieux à faire, que d’entrer dans le jeu du président Barrow.
Le Grand Panel
« The Standard » informe que le président gambien s’en est également pris au chef de l’opposition, Ousainu Darboe. Il a laissé entendre que le patron de Parti Démocratique Unifié (UDP) manquait de sagesse.
« Darboe est peut-être plus âgé que moi, mais certainement pas plus sage que moi, car avoir de la sagesse et de l’éducation sont complètement différents. Je reconnais qu’il est plus instruit que moi, mais pendant 20 ans, malgré son éducation, ses capacités et son âge, il a été impitoyablement battu par Yahya Jammeh, qui a été à son tour battu par le président Barrow qu’il sous-estime.
Je suis également d’accord qu’il parle mieux anglais que moi, mais je parle aussi mieux que lui le mandingue, le peul, le sarahule et le wolof. Je parle mieux que lui les langues maternelles. Alors, où est son éducation ? », s’est interrogé Barrow.
Pour lui, la plus « grande menace pour la sécurité nationale de la Gambie », est l’UDP d’Ousainu Darboe.
« Vous n’entendrez aucun parti politique parler, à part eux. Sont-ils plus Gambiens que nous tous ? Nous savons tous que les choses que vous aviez peur de faire ou de dire hier, sont celles que vous faites aujourd'hui. Vous voulez faire croire que le président de ce pays est un mauvais fils, mais cette absurdité prendra fin », a-t-il menacé. Désormais, quiconque osera l’insulter, n’en sortira pas indemne.
« Je tiens à annoncer aujourd'hui, que désormais, personne ne m’insultera dans ce pays et s’en sortira indemne. Même si quelqu’un appelle une station de radio pour m’insulter, nous arrêterons le propriétaire de la radio. Nous poursuivrons également ceux qui insultent les gens sur les réseaux sociaux et même si un juge vous libère, nous vous arrêterons de nouveau. Nous voulons que ce pays avance…Nous avons des lois dans ce pays que tout le monde devra respecter par la force. Quelle que soit votre puissance, si vous vivez dans ce pays, vous êtes sous la direction du président Barrow. Je suis le commandant en chef », a encore menacé le président gambien.
Contacté par « The Standard », le porte-parole de l’UDP, AlmamyTaal a refusé de répondre au chef de l’Etat. Pour lui, son parti a mieux à faire, que d’entrer dans le jeu du président Barrow.
Le Grand Panel