Suite aux fortes précipitations qui se sont abattues ces derniers jours dans la région de Tambacounda, plus précisément dans le département de Bakel, le fleuve Sénégal a quitté son lit pour engloutir toutes les cultures rencontrées sur son chemin. Au total, il s'agit d’une grande surface de terres inondées, nous dit le Journal "EnQuête".
Selon le directeur régional du Développement rural, c'est le fleuve qui est sorti de son lit et a inondé les champs riverains. “Cent trente-quatre hectares, c'est la surface totale des champs engloutis dans les eaux, toutes spéculations confondues", souligne Sada Ly, DRDR de Tambacounda.
Une situation qui ne manque pas d'inquiéter les nombreux paysans de cette localité, qui ne savent plus à quel saint se vouer. Ces derniers sont totalement désemparés et ne savent où donner de la tête. Et ils sont à peine rassurés par le DRDR qui déclare qu’il y aurait une chance que les cultures ne se détruisent pas, si le ciel arrête d'ouvrir ses vannes pendant un moment, pour que l'eau puisse se retirer. Les cultivateurs pourront, ainsi, récupérer leur production. Mais, pour ce faire, il ne faudrait pas que l'eau stagne trop longtemps, prévient M. Ly.
Il a ajouté selon toujours nos confrères, qu'au cas échéant, il faut penser au dragage. Or, cette option est vouée à l'échec, car s'il faut draguer, c'est pour évacuer l’eau vers le fleuve, alors que celui-ci est déjà plein, au point de sortir de son lit.
L'autre alternative, selon le DRDR, si la situation persiste, est de faire recours aux cultures de décrue. A ce stade, il faut qu'ils soient assistés par la tutelle pour qu’après le retrait des eaux, qu'ils puissent planter des patates, semer du sorgho, du maïs, entre autres.
Selon le directeur régional du Développement rural, c'est le fleuve qui est sorti de son lit et a inondé les champs riverains. “Cent trente-quatre hectares, c'est la surface totale des champs engloutis dans les eaux, toutes spéculations confondues", souligne Sada Ly, DRDR de Tambacounda.
Une situation qui ne manque pas d'inquiéter les nombreux paysans de cette localité, qui ne savent plus à quel saint se vouer. Ces derniers sont totalement désemparés et ne savent où donner de la tête. Et ils sont à peine rassurés par le DRDR qui déclare qu’il y aurait une chance que les cultures ne se détruisent pas, si le ciel arrête d'ouvrir ses vannes pendant un moment, pour que l'eau puisse se retirer. Les cultivateurs pourront, ainsi, récupérer leur production. Mais, pour ce faire, il ne faudrait pas que l'eau stagne trop longtemps, prévient M. Ly.
Il a ajouté selon toujours nos confrères, qu'au cas échéant, il faut penser au dragage. Or, cette option est vouée à l'échec, car s'il faut draguer, c'est pour évacuer l’eau vers le fleuve, alors que celui-ci est déjà plein, au point de sortir de son lit.
L'autre alternative, selon le DRDR, si la situation persiste, est de faire recours aux cultures de décrue. A ce stade, il faut qu'ils soient assistés par la tutelle pour qu’après le retrait des eaux, qu'ils puissent planter des patates, semer du sorgho, du maïs, entre autres.