‘’Nous voulons créer le Grand balai du pays bassari", a affirmé Mme Siby, en marge d’un atelier organisé à Kédougou par le Projet des industries culturelles au Sine-Saloum et en pays bassari.
‘’Il est très possible de monter un ballet culturel, qui sera la fierté de la région voire de tout le Sénégal et de l’Afrique, parce que Kédougou regorge de richesses dans le domaine culturel’’, a-t-elle récemment souligné.
"Au vu des prestations culturelles auxquelles nous avons eu droit depuis, a encore dit Mme Siby, nous devons être optimistes et voir l’avenir de la culture en rose.’’
Le Projet des industrielles culturelles au Sine-Saloum (Fatick et Kaolack) et en pays bassari est un cadre de plaidoyer pour l’inscription de ces deux entités au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Il doit être mis à profit pour créer ‘’le grand balai du pays bassari’’, a affirmé Mme Siby.
‘’Ce ballet, a-t-elle indiqué, se composera de toute la mosaïque ethnico-culturelle qui existe à Kédougou’’. Selon, elle, dans ce ballet, doivent être représentés ‘’les Bassaris, les Bédiks, les Dialonkés, les Coniaguis, les Peuls, les Malinkés, bref tout ce que la région de Kédougou compte comme richesses culturelles’’.
La directrice du BSDA dit compter sur des personnalités culturelles de la région de Kédougou pour réussir ce pari. C’est ainsi qu’elle collabore avec le metteur en scène Saiba Lamine Traoré, un habitant de la région. Elle sollicite aussi les services d’un chorégraphe du terroir.
‘’Les artistes de Kédougou ont su, malgré les multiples agressions de la modernité, conserver avec ingéniosité’’ leur culture, a-t-elle souligné.
‘’Pas de crainte à se faire. Leur objectif n’est pas d’altérer ce qui existe, mais plutôt bien conserver le patrimoine actuel pour qu’au ‘rendez-vous du donner et du recevoir’ dont parlait le président-poète Senghor, Kédougou ne parte pas en tant que spectateur.’’
"Kédougou a une richesse bien plus forte que son or : la culture", a affirmé Traoré. Grâce à ce ballet, "non seulement les artistes de Kédougou pourront vivre de leur art, mais aussi la culture reprendra la place qui est la sienne, le Projet des industries culturelles aidant’’, a-t-il poursuivi.
Ce projet est financé par la Coopération espagnole, pour une durée de trois ans.
CC/ESF/AD
‘’Il est très possible de monter un ballet culturel, qui sera la fierté de la région voire de tout le Sénégal et de l’Afrique, parce que Kédougou regorge de richesses dans le domaine culturel’’, a-t-elle récemment souligné.
"Au vu des prestations culturelles auxquelles nous avons eu droit depuis, a encore dit Mme Siby, nous devons être optimistes et voir l’avenir de la culture en rose.’’
Le Projet des industrielles culturelles au Sine-Saloum (Fatick et Kaolack) et en pays bassari est un cadre de plaidoyer pour l’inscription de ces deux entités au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Il doit être mis à profit pour créer ‘’le grand balai du pays bassari’’, a affirmé Mme Siby.
‘’Ce ballet, a-t-elle indiqué, se composera de toute la mosaïque ethnico-culturelle qui existe à Kédougou’’. Selon, elle, dans ce ballet, doivent être représentés ‘’les Bassaris, les Bédiks, les Dialonkés, les Coniaguis, les Peuls, les Malinkés, bref tout ce que la région de Kédougou compte comme richesses culturelles’’.
La directrice du BSDA dit compter sur des personnalités culturelles de la région de Kédougou pour réussir ce pari. C’est ainsi qu’elle collabore avec le metteur en scène Saiba Lamine Traoré, un habitant de la région. Elle sollicite aussi les services d’un chorégraphe du terroir.
‘’Les artistes de Kédougou ont su, malgré les multiples agressions de la modernité, conserver avec ingéniosité’’ leur culture, a-t-elle souligné.
‘’Pas de crainte à se faire. Leur objectif n’est pas d’altérer ce qui existe, mais plutôt bien conserver le patrimoine actuel pour qu’au ‘rendez-vous du donner et du recevoir’ dont parlait le président-poète Senghor, Kédougou ne parte pas en tant que spectateur.’’
"Kédougou a une richesse bien plus forte que son or : la culture", a affirmé Traoré. Grâce à ce ballet, "non seulement les artistes de Kédougou pourront vivre de leur art, mais aussi la culture reprendra la place qui est la sienne, le Projet des industries culturelles aidant’’, a-t-il poursuivi.
Ce projet est financé par la Coopération espagnole, pour une durée de trois ans.
CC/ESF/AD