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Le père de Mbaye Niang calme le jeu, « les critiques ont été oubliées »

Le footballeur Mbaye Niang et sa famille ont oublié les incompréhensions et les vives critiques qui ont entouré la première sélection de l’attaquant franco-sénégalais, a assuré le père du joueur, Oumar Niang, dans un entretien téléphonique avec l’APS.


Rédigé par leral.net le Mardi 10 Octobre 2017 à 09:12 | | 0 commentaire(s)|

"Franchement, c’est oublié. Quand on veut avancer, on ne doit pas se permettre de ressasser", a rappelé M. Niang interrogé sur la performance de son fils pour son premier match avec les "Lions" du Sénégal, samedi contre le Cap Vert (2-0).

"Nous avons suivi le match à la maison (région parisienne) en famille", a-t-il dit, reconnaissant que ce n’était pas un "match banal".

"Il est vrai que nous avons toujours été supporteurs du Sénégal mais il y avait un plus autour de cette rencontre avec l’enfant de la maison qui faisait ses débuts", a-t-il relevé.

"C’est stressant, mais grâce à Dieu, il y a eu une belle victoire des "Lions" au bout", a-t-il ajouté.

"C’est une belle victoire collective et Mbaye (Niang) a joué sa partition", a-t-il insisté, refusant de tirer la couverture à son fils.

"Il a fait une belle entrée mais ça a été une victoire collective", a-t-il rappelé, soulignant que le plus important, "il s’est bien intégré".

Oumar Niang qui a accueilli dimanche son fils à Paris (France), avant que ce dernier ne rejoigne Turin (Italie), a dit n’avoir jamais douté de l’intégration de Mbaye Niang.

"Mbaye (Niang) comme sa famille, tout le monde est supporteur de l’équipe nationale et nous avons été très heureux quand il a été appelé par l’entraîneur national", a-t-il dit.

"Notre joie a été immense en le voyant entrer avec le maillot national et jouer sa partition", a-t-il ajouté, rappelant que le plus dur reste à faire.

"C’est un footballeur professionnel et il sait que ça va très vite", a-t-il indiqué, soulignant que l’objectif est commun : "assurer la qualification à la Coupe du monde le plus tôt possible".




Le quotidien