‘’Le secteur secondaire devrait croître de 3,3% en 2010, confirmant la poursuite de la reprise entamée en 2009 où une hausse de 1,8% de l’activité a été notée’’, indique la DPEE dans son rapport intitulée : ’’Situation économique du pays en 2009’’.
Selon le document transmis lundi à l’APS, ‘’ces projections s’appuient sur l’hypothèse de l’amélioration continue de la situation des ICS et le règlement des créances du secteur privé vis-à-vis de l’Etat, notamment les dépenses extrabudgétaires’’.
’’Les sous-secteurs des activités extractives et de la fabrication de produits chimiques devraient ainsi enregistrer respectivement des croissances projetées à 9,8% et à 10,0% à la faveur des opérations de réhabilitation des outils de production des ICS, engagées en 2009 et devant être bouclées vers la fin du premier trimestre de 2010’’, souligne la même source.
Le sous secteur des corps gras alimentaires devrait, pour sa part, ’’poursuivre son redressement entamé en 2009 avec une croissance de 5,0%, en liaison notamment avec la bonne campagne agricole de 2009/2010’’.
Les activités d’égrenage de coton et de fabrication de textile devraient bénéficier essentiellement de la bonne production de coton enregistrée à la précédente campagne agricole et du raffermissement des cours mondiaux de coton consécutif à la reprise de l’activité économique mondiale.
Elles devraient enregistrer une croissance de 4,0% après les baisses respectives de 23,7% et 51,9% enregistrées en 2008 et 2009, prévoit la DPEE.
Les activités de raffinage, pour leur part, devraient croître de 8,0% à la faveur des mesures d’assainissement prises par la Société africaine de raffinage (SAR), notamment le remboursement intégral de sa dette de 85 milliards de francs CFA contractée en 2007.
Partant de là, le processus de retour progressif à la normale de la production de la SAR serait en bonne voie, alors que le rebondissement des cours mondiaux du baril de pétrole pourrait à terme affecter l’activité de raffinage.
La DPEE mise par ailleurs sur une croissance de 1,0 % des activités du sous secteur de l’énergie, après la baisse de 2,4 % enregistrée en 2009, maintenant le rythme de progression de l’offre d’énergie en deçà de celle de la demande estimée à 7 % par an.
La DPEE recommande ainsi pour l’année 2010 une accélération des investissements dans le sous secteur énergétique, en particulier en matière de fourniture d’électricité, afin de pouvoir satisfaire la demande à moyen et long termes.
Les activités des Bâtiments et travaux publics (BTP) devraient être marquées par une progression de 2,0% en 2010, après les légers reculs de 0,7% et 0,3% relevés respectivement en 2009 et 2008, à la faveur du règlement des créances de l’Etat.
Elles devraient également bénéficier de la poursuite des travaux de l’autoroute à péage, du nouvel aéroport international Blaise Diagne et du redressement des transferts des émigrés, prédit la structures en charges des statistiques économiques au ministère de l’Economie et des Finances.
Selon le document transmis lundi à l’APS, ‘’ces projections s’appuient sur l’hypothèse de l’amélioration continue de la situation des ICS et le règlement des créances du secteur privé vis-à-vis de l’Etat, notamment les dépenses extrabudgétaires’’.
’’Les sous-secteurs des activités extractives et de la fabrication de produits chimiques devraient ainsi enregistrer respectivement des croissances projetées à 9,8% et à 10,0% à la faveur des opérations de réhabilitation des outils de production des ICS, engagées en 2009 et devant être bouclées vers la fin du premier trimestre de 2010’’, souligne la même source.
Le sous secteur des corps gras alimentaires devrait, pour sa part, ’’poursuivre son redressement entamé en 2009 avec une croissance de 5,0%, en liaison notamment avec la bonne campagne agricole de 2009/2010’’.
Les activités d’égrenage de coton et de fabrication de textile devraient bénéficier essentiellement de la bonne production de coton enregistrée à la précédente campagne agricole et du raffermissement des cours mondiaux de coton consécutif à la reprise de l’activité économique mondiale.
Elles devraient enregistrer une croissance de 4,0% après les baisses respectives de 23,7% et 51,9% enregistrées en 2008 et 2009, prévoit la DPEE.
Les activités de raffinage, pour leur part, devraient croître de 8,0% à la faveur des mesures d’assainissement prises par la Société africaine de raffinage (SAR), notamment le remboursement intégral de sa dette de 85 milliards de francs CFA contractée en 2007.
Partant de là, le processus de retour progressif à la normale de la production de la SAR serait en bonne voie, alors que le rebondissement des cours mondiaux du baril de pétrole pourrait à terme affecter l’activité de raffinage.
La DPEE mise par ailleurs sur une croissance de 1,0 % des activités du sous secteur de l’énergie, après la baisse de 2,4 % enregistrée en 2009, maintenant le rythme de progression de l’offre d’énergie en deçà de celle de la demande estimée à 7 % par an.
La DPEE recommande ainsi pour l’année 2010 une accélération des investissements dans le sous secteur énergétique, en particulier en matière de fourniture d’électricité, afin de pouvoir satisfaire la demande à moyen et long termes.
Les activités des Bâtiments et travaux publics (BTP) devraient être marquées par une progression de 2,0% en 2010, après les légers reculs de 0,7% et 0,3% relevés respectivement en 2009 et 2008, à la faveur du règlement des créances de l’Etat.
Elles devraient également bénéficier de la poursuite des travaux de l’autoroute à péage, du nouvel aéroport international Blaise Diagne et du redressement des transferts des émigrés, prédit la structures en charges des statistiques économiques au ministère de l’Economie et des Finances.
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