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Le test pour savoir précisément ce que Google sait de vous

Rédigé par leral.net le Vendredi 13 Novembre 2015 à 09:48 | | 0 commentaire(s)|

Voici quelques astuces pour reprendre le contrôle des données collectées par Google.


 

Google sait beaucoup de choses sur vous, ce n'est pas une nouveauté. En naviguant sur votre ordinateur, sur votre téléphone ou votre tablette, vous laissez des traces que Google collecte par défaut. Mais, avant de prendre peur, sachez qu'il est possible de reprendre (en partie) le contrôle de vos données, de désactiver l'historique de navigation ou, au moins, de les rendre invisibles aux yeux des autres internautes.

 

Pour voir tout ce que Google sait de vous, le site Archimag a mis en ligne un guide simple, rapide et efficace. En cinq étapes, il vous permet de survoler les paramètres de sécurité de vos historiques de navigation, de localisation ou de recherche. À Slate.fr, nous avons décidé faire le test afin d'évaluer la sécurité de nos comptes Google respectifs. Une expédition dans les entrailles des paramètres de confidentialité de Google qui nous a réservé quelques surprises. 

Les centres d'intérêt

Votre activité sur internet permet à Google de savoir quels sont vos centres d'intérêt. Pour déterminer les sujets qui vous intéressent, Google se fie à vos recherches ou aux sites et vidéos que vous consultez, notamment sur YouTube.

Une identification pas vraiment précise de centres d'intérêt.

Au-delà des centres d'intérêt, Google semble être capable de déterminer votre âge et votre sexe afin de vous soumettre des annonces publicitaires ciblées. Au moment du test dans la rédaction de Slate.fr, trois cas de figure se sont présentés: ceux qui avaient déjà tout désactivé, ceux qui n'avaient rien désactivé mais sur qui Google ne savait pas grand-chose et ceux qui ont remarqué que Google les traquait de manière imprécise. 

Le golf, les soins capillaires et le reggaeton figurent soi-disant, par exemple, parmi les centres d'intérêt de Boris, éditeur à Slate.fr. Des (...) Lire la suite sur Slate.fr