Nous avons tous des ambitions légitimes, motivées par une volonté ou se cachent un engagement, et un amour profond pour le Sénégal.
Servir son pays sans se servir, le protéger sans le nuire, lui parler sans lui mentir, ni le tromper, c’est cela le nouveau type de Sénégalais, j’y travaille pour être le meilleur.
Le Sénégal en a besoin à travers ces citoyens, comment y parvenir ? That’s the question.
Il faut sortir de son ego et s’appliquer les mêmes règles, que vous souhaitez appliquer aux autres.
Le débat sur le tourisme à travers mes contributions, parues ces dernières semaines, dans les journaux et le Web sont au cœur de deux sujets préoccupants, il s’agit : du conseil interministériel sur le tourisme, que j’ai qualifié d’avorté et la polémique autour du contrat de gestion de l’ex méridien qui à mon avis, ne doit pas être un débat public.
Je suis touché par les réactions positives de bon nombre d’entre vous et me félicite des critiques des autres, qui bien que d’accord avec mon analyse dans son contenu, émettent des réserves du point de vue de la forme par voie de presse pour dénoncer cette mal gouvernance.
Je prends en compte vos réserves et me réjouis de vos encouragements.
Chers amis, je voudrais vous dire, que personne n’appartient à personne, que c’est une grande chance que nous avons d’être ensemble, pour mutualiser nos connaissances et nos expériences sans pour autant détenir ou posséder tout seul la vérité.
Il faut être en mouvement, libre dans sa conscience, pour mener des batailles avec un sentiment de complétude qui emplit le cœur de satisfaction du devoir accompli.
Sachez que je ne livre pas une bataille contre la République, encore moins contre un ministre. Mon objectif de veille des consciences a porté ses fruits puisque la majorité des professionnels du secteur du tourisme sont d’avis, que le signal tant attendu depuis la mise en place du gouvernement tarde à venir ,et que le chemin emprunter par notre ministre du tourisme n’est pas le bon, qu’il y a lieu de changer de stratégie, de prendre en compte les exigences et les priorités du secteur privé touristique en tout état de cause et quelqu’un soit la situation.
Je suis un citoyen libre, au service de mon pays et du secteur du tourisme, qui reste disponible et attentif à toutes sollicitations d’où qu’elles viennent.
Je termine pour dire qu’il y aura toujours de beaux jours pour ceux qui ont de la beauté dans le cœur, car Dieu aime le beau, en cela je m’inspire pour vous proposer, et vous offrir tout ce que j’ai de beau à partager avec le secteur du tourisme.
En définitif nos faiblesses doivent être le point de départ d’une nouvelle force devant affronter nos menaces pour les transformer en opportunités.
Tous ensembles debout pour un secteur du tourisme prospère et pour un Sénégal émergent. Le succès est au bout de l’effort…
Ô Dieu éclaire la voie du Sénégal qui m’est si cher, empli sa vie de bonheur, son cœur de quiétude, guide le sur le chemin de ton agrément, de santé enveloppe le corps de ses habitants et fortifie son savoir et ses avoirs. Amen
Mouhamed Faouzou Dème
Servir son pays sans se servir, le protéger sans le nuire, lui parler sans lui mentir, ni le tromper, c’est cela le nouveau type de Sénégalais, j’y travaille pour être le meilleur.
Le Sénégal en a besoin à travers ces citoyens, comment y parvenir ? That’s the question.
Il faut sortir de son ego et s’appliquer les mêmes règles, que vous souhaitez appliquer aux autres.
Le débat sur le tourisme à travers mes contributions, parues ces dernières semaines, dans les journaux et le Web sont au cœur de deux sujets préoccupants, il s’agit : du conseil interministériel sur le tourisme, que j’ai qualifié d’avorté et la polémique autour du contrat de gestion de l’ex méridien qui à mon avis, ne doit pas être un débat public.
Je suis touché par les réactions positives de bon nombre d’entre vous et me félicite des critiques des autres, qui bien que d’accord avec mon analyse dans son contenu, émettent des réserves du point de vue de la forme par voie de presse pour dénoncer cette mal gouvernance.
Je prends en compte vos réserves et me réjouis de vos encouragements.
Chers amis, je voudrais vous dire, que personne n’appartient à personne, que c’est une grande chance que nous avons d’être ensemble, pour mutualiser nos connaissances et nos expériences sans pour autant détenir ou posséder tout seul la vérité.
Il faut être en mouvement, libre dans sa conscience, pour mener des batailles avec un sentiment de complétude qui emplit le cœur de satisfaction du devoir accompli.
Sachez que je ne livre pas une bataille contre la République, encore moins contre un ministre. Mon objectif de veille des consciences a porté ses fruits puisque la majorité des professionnels du secteur du tourisme sont d’avis, que le signal tant attendu depuis la mise en place du gouvernement tarde à venir ,et que le chemin emprunter par notre ministre du tourisme n’est pas le bon, qu’il y a lieu de changer de stratégie, de prendre en compte les exigences et les priorités du secteur privé touristique en tout état de cause et quelqu’un soit la situation.
Je suis un citoyen libre, au service de mon pays et du secteur du tourisme, qui reste disponible et attentif à toutes sollicitations d’où qu’elles viennent.
Je termine pour dire qu’il y aura toujours de beaux jours pour ceux qui ont de la beauté dans le cœur, car Dieu aime le beau, en cela je m’inspire pour vous proposer, et vous offrir tout ce que j’ai de beau à partager avec le secteur du tourisme.
En définitif nos faiblesses doivent être le point de départ d’une nouvelle force devant affronter nos menaces pour les transformer en opportunités.
Tous ensembles debout pour un secteur du tourisme prospère et pour un Sénégal émergent. Le succès est au bout de l’effort…
Ô Dieu éclaire la voie du Sénégal qui m’est si cher, empli sa vie de bonheur, son cœur de quiétude, guide le sur le chemin de ton agrément, de santé enveloppe le corps de ses habitants et fortifie son savoir et ses avoirs. Amen
Mouhamed Faouzou Dème