Les élections législatives du 30 juillet dont les résultats définitifs ont été proclamés hier, par le Conseil constitutionnel jouent ses prolongations. En effet, le mouvement Y en a marre et plusieurs autres organisations citoyennes ( Raddho, Amnesty, etc.), ont pris l’initiative d’engager une plainte contre l’Etat du Sénégal auprès de la Cour de justice de la CEDEAO.
Dans un communiqué dont nous avons reçu copie, le mouvement dirigé par Fadel Barro explique : «pendant tout le processus des élections législatives du 30 juillet 2017, les citoyens sénégalais ont dénoncé la faillite de l’Etat du Sénégal dans sa mission de leur assurer le DROIT constitutionnel de vote, en leur garantissant l’obtention dans les délais de cartes d’identité biométriques.
Malheureusement, près d’un million de citoyens se sont vus privés du DROIT de vote, soit pour non émission de leur carte d’identité, soit pour omission de leurs noms sur les listes. Ceci, malgré toutes les interpellations faites à l’autorité pour la prise de mesures fortes ».
«Aucune excuse ni explication valable pouvant permettre de situer les responsabilités, n’ont été fournis par l’Etat », poursuit le communiqué. Qui annonce qu’une "action sera lancée lors d’une conférence de presse prévue le jeudi 17 août 2017 à 11H au restaurant Le Relais, route de Ouakam".
Dans un communiqué dont nous avons reçu copie, le mouvement dirigé par Fadel Barro explique : «pendant tout le processus des élections législatives du 30 juillet 2017, les citoyens sénégalais ont dénoncé la faillite de l’Etat du Sénégal dans sa mission de leur assurer le DROIT constitutionnel de vote, en leur garantissant l’obtention dans les délais de cartes d’identité biométriques.
Malheureusement, près d’un million de citoyens se sont vus privés du DROIT de vote, soit pour non émission de leur carte d’identité, soit pour omission de leurs noms sur les listes. Ceci, malgré toutes les interpellations faites à l’autorité pour la prise de mesures fortes ».
«Aucune excuse ni explication valable pouvant permettre de situer les responsabilités, n’ont été fournis par l’Etat », poursuit le communiqué. Qui annonce qu’une "action sera lancée lors d’une conférence de presse prévue le jeudi 17 août 2017 à 11H au restaurant Le Relais, route de Ouakam".