‘’On ne peut plus faire du bricolage au risque de devoir faire face à des difficultés capables d’imploser un groupe’’, a soutenu l’ancien attaquant des Lions aux Jeux de l’Amitié de 1963 dans un entretien avec l’APS.
Evoquant les difficultés récurrentes dans les sélections africaines, ‘’Souris’’ rappelle que le Sénégal a réussi à faire table rase des problèmes lors de la coupe du monde 2002.
‘’Cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas existé mais nous avons réussi à mettre sur pied une certaine organisation pour anticiper’’, a dit M. Sy rappelant que ce n’est pas les fortes têtes qui manquaient dans la délégation en générale et chez les Lions en particulier à l’époque.
Parlant »d’osmose » entre le staff technique et les dirigeants, l’inspecteur des impôts de classe exceptionnelle à la retraite a indiqué que ‘’cela a permis de parler d’une seule voix’’.
‘’Tout le monde tirait dans le même sens, il y a jamais eu de faiblesse coupable mais aussi on n’a pas eu besoin de mettre sur pied une rigueur militaire’’, s’est-il souvenu.
Contrairement à ce que certains ont laissé penser, le staff de l’époque a été regardant sur le comportement des joueurs mais aussi de l’ensemble de la délégation, a dit »Souris » qui en appelle à une »responsabilisation des acteurs » dans les équipes nationales.
‘’On n’a pas besoin de faire le gendarme parce que les dirigeants doivent savoir qu’ils ont de responsables devant eux’’, a-t-il par ailleurs ajouté.
De plus en plus, des capacités de management ne seraient pas trop pour diriger les Fédérations sportives, a-t-il dit soulignant que les grandes compétitions sportives ne tolèrent aucune approximation sur le plan de l’organisation.
Visit
Evoquant les difficultés récurrentes dans les sélections africaines, ‘’Souris’’ rappelle que le Sénégal a réussi à faire table rase des problèmes lors de la coupe du monde 2002.
‘’Cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas existé mais nous avons réussi à mettre sur pied une certaine organisation pour anticiper’’, a dit M. Sy rappelant que ce n’est pas les fortes têtes qui manquaient dans la délégation en générale et chez les Lions en particulier à l’époque.
Parlant »d’osmose » entre le staff technique et les dirigeants, l’inspecteur des impôts de classe exceptionnelle à la retraite a indiqué que ‘’cela a permis de parler d’une seule voix’’.
‘’Tout le monde tirait dans le même sens, il y a jamais eu de faiblesse coupable mais aussi on n’a pas eu besoin de mettre sur pied une rigueur militaire’’, s’est-il souvenu.
Contrairement à ce que certains ont laissé penser, le staff de l’époque a été regardant sur le comportement des joueurs mais aussi de l’ensemble de la délégation, a dit »Souris » qui en appelle à une »responsabilisation des acteurs » dans les équipes nationales.
‘’On n’a pas besoin de faire le gendarme parce que les dirigeants doivent savoir qu’ils ont de responsables devant eux’’, a-t-il par ailleurs ajouté.
De plus en plus, des capacités de management ne seraient pas trop pour diriger les Fédérations sportives, a-t-il dit soulignant que les grandes compétitions sportives ne tolèrent aucune approximation sur le plan de l’organisation.
Visit