Pour bon nombre d’observateurs, Farba Senghor était dans un profond sommeil. Il s’est toujours conduit en aveugle politique ne faisant jamais la part des choses. Ce qui explique la brutalité de ses sorties contre les pourfendeurs de son maitre. Sidy Lamine Niasse n’a pas été raté lui qui a eu le toupet d’initier une journée (le 19 mars 2011) de protestation contre le régime de Wade. Farba Senghor a convié la presse à la permanence du parti démocratique sénégalais pour faire des révélations qui sont toujours restées en travers de la gorge du président directeur général du groupe Walfadjri. Une psychose s’installa dans le camp des pourfendeurs de Wade qui craignent d’être salis de la même façon par Farba. Il fallait un stoppeur, comme disent les footballeurs, à cette peur qu’a installée Farba Senghor dans le camp de l’opposition. Pas seulement de l'opposition car quelques années plus tôt, les sièges des organes de presse l'As et 24 heures Chrono se faisaient attaquer par des nervis qui sont envoyés par Farba Senghor.
Ainsi arriva le 23 juin. Comme à son habitude, l’ancien ministre de la Solidarité nationale pense avoir affaire à des enfants de chœur. Le tour qu’il a voulu effectuer à la place Sowéto déjà prise d’assauts par des milliers d’opposants se verra écourté. Farba Senghor est contraint de lever l’encre. Pis, des opposants au ticket présidentiel de Wade s’en prennent au domicile du chargé de la propagande du parti libéral qu’ils saccagèrent avant d'incendier ses véhicules. Les images d’un Farba détalant, encadrés par des éléments de la police restent gravés dans les mémoires. C’est au commissariat de Plateau où il s'est réfugié pour échapper au lynchage. Depuis ce jour, il est comme dans un « coma politique ». Cependant, il a tenu à se signaler le 23 juillet dernier mais c’était pour faire le…micro central du méga meeting du Pds qui selon les libéraux à mobiliser plus de deux millions de militants acquis à la cause de Wade. Mais c’est à croire que Farba Senghor n’existe plus. Pourtant des attaques contre son maitre ne manquent pas. Il faut même dire qu’elles se font de plus en plus acerbes. Mais ça ne suffit plus pour faire sortir le belliqueux de sa cage. Il semble qu’il ne veut plus aller au front, la tête baissée. Il a adopté le profil bas et ne défend plus son maitre qui se retrouve du coup orphelin. La dernière fois qu'il a donné de ses nouvelles, c'est quand il failli en venir aux mains avec un gendarme à la Présidence. Il doit certainement avoir la nostalgie des face-à-face houleux.
Ainsi arriva le 23 juin. Comme à son habitude, l’ancien ministre de la Solidarité nationale pense avoir affaire à des enfants de chœur. Le tour qu’il a voulu effectuer à la place Sowéto déjà prise d’assauts par des milliers d’opposants se verra écourté. Farba Senghor est contraint de lever l’encre. Pis, des opposants au ticket présidentiel de Wade s’en prennent au domicile du chargé de la propagande du parti libéral qu’ils saccagèrent avant d'incendier ses véhicules. Les images d’un Farba détalant, encadrés par des éléments de la police restent gravés dans les mémoires. C’est au commissariat de Plateau où il s'est réfugié pour échapper au lynchage. Depuis ce jour, il est comme dans un « coma politique ». Cependant, il a tenu à se signaler le 23 juillet dernier mais c’était pour faire le…micro central du méga meeting du Pds qui selon les libéraux à mobiliser plus de deux millions de militants acquis à la cause de Wade. Mais c’est à croire que Farba Senghor n’existe plus. Pourtant des attaques contre son maitre ne manquent pas. Il faut même dire qu’elles se font de plus en plus acerbes. Mais ça ne suffit plus pour faire sortir le belliqueux de sa cage. Il semble qu’il ne veut plus aller au front, la tête baissée. Il a adopté le profil bas et ne défend plus son maitre qui se retrouve du coup orphelin. La dernière fois qu'il a donné de ses nouvelles, c'est quand il failli en venir aux mains avec un gendarme à la Présidence. Il doit certainement avoir la nostalgie des face-à-face houleux.