Abdou Diouf a soutenu dans son livre qu'il n'y avait pas eu de détenus durant son magistère. Les cadres libéraux démentent et citent les arrestations de Me Abdoulaye Wade. "Le magistère suprême d'Abdou Diouf dauphin nommé par Senghor a été empreint de violations des droits de l'homme, d'emprisonnements de son principal adversaire politique d'alors, Me Abdoulaye Wade, de hold up électoraux suivis de violences (1983, 1988, 1993, 1996, 1998), de meurtres (assassinat de Me Babacar Sèye, morts de 16 policiers, des milliers de morts en Casamance), de scandales économiques", accusent-ils.
Les cadres du Pds n'oublient pas "la fameuse loi Niadiar Sène qui allait faire d'Abdou Diouf un chef d'Etat à vie si toutefois, il était réélu en 2000. C'est ce même Abdou Diouf , au service exclusif de la Françafrique et des intérêts des lobbies français, cité à tort ou à raison parmi les complices de Blaise Compaoré dans l'assassinat de Thomas Sankara, qui a été finalement récompensé par la France en le mettant à la tête de l'OIF".
Selon toujours les cadres libéraux, les "Mémoires" d'Abdou Diouf ne devraient pas certainement occulter la générosité légendaire et l'esprit de dépassement de son successeur Me Abdoulaye Wade qui lui a pardonné et sauvé ses hommes de la prison en 2000.
Ainsi, d'après eux, " sa sortie fortement médiatisée s'inscrit dans sa logique d'appuyer la servitude de Macky Sall à la France au détriment du Sénégal".
Les cadres du Pds n'oublient pas "la fameuse loi Niadiar Sène qui allait faire d'Abdou Diouf un chef d'Etat à vie si toutefois, il était réélu en 2000. C'est ce même Abdou Diouf , au service exclusif de la Françafrique et des intérêts des lobbies français, cité à tort ou à raison parmi les complices de Blaise Compaoré dans l'assassinat de Thomas Sankara, qui a été finalement récompensé par la France en le mettant à la tête de l'OIF".
Selon toujours les cadres libéraux, les "Mémoires" d'Abdou Diouf ne devraient pas certainement occulter la générosité légendaire et l'esprit de dépassement de son successeur Me Abdoulaye Wade qui lui a pardonné et sauvé ses hommes de la prison en 2000.
Ainsi, d'après eux, " sa sortie fortement médiatisée s'inscrit dans sa logique d'appuyer la servitude de Macky Sall à la France au détriment du Sénégal".