De son séjour carcéral, il aura retenu cet épisode dans lequel les détenus se donnent en spectacle pour une femme qui étend le linge non loin de la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss.
Il raconte : « par jour, on avait deux à trois heures de détente dans la cour, de 09 h à midi, ou de 15 à 18 h. ll y’avait une femme qui étendait souvent son linge sur la terrasse d’un immeuble, on l’aperçoit de la cour. Les prisonniers qui sont restés des mois, voire des années sans voir une silhouette féminine, adorent ce rituel. C’est à peine s’ils ne tombent pas en transe devant les dandinements de la dame qui s’en donne à cœur joie. Les gardes pénitentiaires sont obligés d’intervenir devant ce vacarme ».
Ces dandinements ont atteint des proportions telles que Pape Diop a promis de se rendre chez la femme en question pour lui révéler les dégâts qu’elle est en train de causer dans la prison. Où l’homosexualité étend ses tentacules à une vitesse exponentielle.
Il raconte : « par jour, on avait deux à trois heures de détente dans la cour, de 09 h à midi, ou de 15 à 18 h. ll y’avait une femme qui étendait souvent son linge sur la terrasse d’un immeuble, on l’aperçoit de la cour. Les prisonniers qui sont restés des mois, voire des années sans voir une silhouette féminine, adorent ce rituel. C’est à peine s’ils ne tombent pas en transe devant les dandinements de la dame qui s’en donne à cœur joie. Les gardes pénitentiaires sont obligés d’intervenir devant ce vacarme ».
Ces dandinements ont atteint des proportions telles que Pape Diop a promis de se rendre chez la femme en question pour lui révéler les dégâts qu’elle est en train de causer dans la prison. Où l’homosexualité étend ses tentacules à une vitesse exponentielle.