Abordant le projet 2018 du Ministère, les Commissaires ont précisé que la diplomatie du pays avait besoin d'un nouveau souffle, après l'échec de leur candidat à l'élection du Président de la Commission de l'Union africaine. La cause de cette défaite devrait être éclaircie, car même certains pays de la zone UEMOA n'ont pas voté pour leur candidat. Ils estiment que le Sénégall devrait mieux s'entendre avec lses voisins et bâtir avec eux un partenariat fort.
Différents thèmes ont été abordés, tels que les problèmes administratifs et de transport que rencontrent les Sénégalais qui vivent dans les pays voisins, lors des grandes migrations liées aux cérémonies religieuses. En effet, sur la question du pèlerinage à la Mecque, les commissions ont estimé qu'ils faudrait veiller davantage à la crédibilité des voyagistes sélectionnés, car certains d'entre eux méritent qu'on leur retire leur agrément.
La question des Sénégalais vivant à l'étranger et ne possédant pas de carte consulaire, a été aussi abordée. Une sensibilisation selon eux est nécessaire à ce sujet, car sans ce document, l'action des services diplomatiques de notre pays en faveur de nos concitoyens, devient compliquée.
Il en est de même des allocations familiales et des pensions de retraite. Ces questions-là méritent une attention particulière.
Par ailleurs, la situation en LIbye n'a pas été en reste. Une question lancinante et tragique se pose avec la souffrance et la mort des jeunes compatriotes en Libye, au Tchad, dans le désert du Sahara et en mer Méditerranéenne. Le Gouvernement devrait se pencher sérieusement sur cette situation, selon les Commissaires.
S'agissant du Yémen, le ministre des Affaires étrangères, Sidiki Kaba a tenu à rassurer les Commissaires, en précisant que le Sénégal est conséquent avec lui-même. Là-bas, comme au Mali et dans les différents théâtres d'opération, notre pays est au service de la paix.
La question du conflit entre l’Arabie Saoudite et le Qatar a également été soulevée. Les commissaires pensent que le Sénégal devrait avoir une position médiane au lieu de prendre position pour une des parties.
Concluant son propos, le ministre a dit « toute sa disponibilité à collaborer avec toutes les bonnes volontés et à préciser que le budget du Département n'a pas, à proprement parler, diminué. Il se trouve simplement que les montants relatifs aux contributions aux Organisations internationales, qui concernent les ministères techniques, ont été transférés à ces derniers.
Ndeye Safietou Nam
Différents thèmes ont été abordés, tels que les problèmes administratifs et de transport que rencontrent les Sénégalais qui vivent dans les pays voisins, lors des grandes migrations liées aux cérémonies religieuses. En effet, sur la question du pèlerinage à la Mecque, les commissions ont estimé qu'ils faudrait veiller davantage à la crédibilité des voyagistes sélectionnés, car certains d'entre eux méritent qu'on leur retire leur agrément.
La question des Sénégalais vivant à l'étranger et ne possédant pas de carte consulaire, a été aussi abordée. Une sensibilisation selon eux est nécessaire à ce sujet, car sans ce document, l'action des services diplomatiques de notre pays en faveur de nos concitoyens, devient compliquée.
Il en est de même des allocations familiales et des pensions de retraite. Ces questions-là méritent une attention particulière.
Par ailleurs, la situation en LIbye n'a pas été en reste. Une question lancinante et tragique se pose avec la souffrance et la mort des jeunes compatriotes en Libye, au Tchad, dans le désert du Sahara et en mer Méditerranéenne. Le Gouvernement devrait se pencher sérieusement sur cette situation, selon les Commissaires.
S'agissant du Yémen, le ministre des Affaires étrangères, Sidiki Kaba a tenu à rassurer les Commissaires, en précisant que le Sénégal est conséquent avec lui-même. Là-bas, comme au Mali et dans les différents théâtres d'opération, notre pays est au service de la paix.
La question du conflit entre l’Arabie Saoudite et le Qatar a également été soulevée. Les commissaires pensent que le Sénégal devrait avoir une position médiane au lieu de prendre position pour une des parties.
Concluant son propos, le ministre a dit « toute sa disponibilité à collaborer avec toutes les bonnes volontés et à préciser que le budget du Département n'a pas, à proprement parler, diminué. Il se trouve simplement que les montants relatifs aux contributions aux Organisations internationales, qui concernent les ministères techniques, ont été transférés à ces derniers.
Ndeye Safietou Nam