"Aujourd'hui, on a des résultats probants. Vous savez que sur 2013, on est arrivé à un résultat positif de 5, 6 pour la croissance des exportations, ce qui fait qu'on commence à avoir une baisse du déficit de la balance commerciale qui est passée de 1.447 milliards à 1.397 milliards", a-t-il dit à la presse, en marge de la conférence des ambassadeurs.
Malgré ce bon résultat qui nourrit "beaucoup d'espoir", il a affirmé qu'un travail d'amélioration s'impose pour un meilleur impact sur le déficit de la balance commerciale.
Il a expliqué qu'au moment où les exportations sont en train d'augmenter, les importations connaissent elles aussi une hausse. Selon lui, cette situation n'est pas de nature à favoriser une plus grande baisse du déficit commercial.
Pour cette raison, l'ASEPEX travaille avec la Direction du commerce intérieur pour que "certains produits qui sont exportés aujourd'hui dans le cadre de l'amélioration de l'offre exportable", soient également vendus sur le marché national.
Ce qui, dit-il, devrait se traduire par une baisse du déficit commercial "plus conséquente". Il a révélé que de bonnes perspectives s'offrent aux produits sénégalais sur le marché asiatique.
"Aujourd'hui, on a de très, très bonnes perspectives sur le marché de l'Asie : la Chine, la Corée, le Japon, les pays du Golfe, les Emirats, quasiment toute la zone du Golf qui, surtout sur le plan agricole, commence à être importatrice des produits made in Sénégal".
Le Directeur de l'ASEPEX a toutefois reconnu qu'il n'était pas toujours aisé de satisfaire toute la demande, en raison parfois de l'insuffisance de la production.
"Il y a beaucoup de demandes, mais satisfaire ces demandes-là, c'est autre chose. Il y a des demandes qu'on est en train de satisfaire comme vous le voyez sur la filière oignon. On est allé quasiment jusqu'à tout écouler via l'exportation, avec 250.000 tonnes de production. Malgré les 120.000 tonnes importées, nous sommes arrivés à écouler la production vers l'exportation", a-t-il expliqué.
"Sur le marché américain, le travail commence à se faire. Pour le pagne tissé, il y a beaucoup de commandes, mais sur le plan de la production, nous ne sommes pas encore très compétitifs. Donc, c'est un travail qui est inclus dans la stratégie nationale de développement des exportations", a-t-il ajouté.
APS
Malgré ce bon résultat qui nourrit "beaucoup d'espoir", il a affirmé qu'un travail d'amélioration s'impose pour un meilleur impact sur le déficit de la balance commerciale.
Il a expliqué qu'au moment où les exportations sont en train d'augmenter, les importations connaissent elles aussi une hausse. Selon lui, cette situation n'est pas de nature à favoriser une plus grande baisse du déficit commercial.
Pour cette raison, l'ASEPEX travaille avec la Direction du commerce intérieur pour que "certains produits qui sont exportés aujourd'hui dans le cadre de l'amélioration de l'offre exportable", soient également vendus sur le marché national.
Ce qui, dit-il, devrait se traduire par une baisse du déficit commercial "plus conséquente". Il a révélé que de bonnes perspectives s'offrent aux produits sénégalais sur le marché asiatique.
"Aujourd'hui, on a de très, très bonnes perspectives sur le marché de l'Asie : la Chine, la Corée, le Japon, les pays du Golfe, les Emirats, quasiment toute la zone du Golf qui, surtout sur le plan agricole, commence à être importatrice des produits made in Sénégal".
Le Directeur de l'ASEPEX a toutefois reconnu qu'il n'était pas toujours aisé de satisfaire toute la demande, en raison parfois de l'insuffisance de la production.
"Il y a beaucoup de demandes, mais satisfaire ces demandes-là, c'est autre chose. Il y a des demandes qu'on est en train de satisfaire comme vous le voyez sur la filière oignon. On est allé quasiment jusqu'à tout écouler via l'exportation, avec 250.000 tonnes de production. Malgré les 120.000 tonnes importées, nous sommes arrivés à écouler la production vers l'exportation", a-t-il expliqué.
"Sur le marché américain, le travail commence à se faire. Pour le pagne tissé, il y a beaucoup de commandes, mais sur le plan de la production, nous ne sommes pas encore très compétitifs. Donc, c'est un travail qui est inclus dans la stratégie nationale de développement des exportations", a-t-il ajouté.
APS