Reporters sans frontières (RSF) a profité de la campagne électorale, pour formuler un plaidoyer à l’endroit des candidats. Le Directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF, Sadibou Marone, demande aux futurs députés de supprimer les peines privatives de liberté pour les délits de presse et de s’engager à restaurer une liberté de la presse pleine et entière dans le pays. Ainsi, l’organisation les appelle à adopter, dès leur entrée en fonction, quatre réformes prioritaires afin de protéger les journalistes et de favoriser le droit à l’information.
D'après "L'As", l’organisation constate que les journalistes sont toujours convoqués, les difficultés économiques persistent en plus de l’absence de dialogue entre les autorités et les acteurs des médias. Malgré une amélioration notable, relève Sadibou Marone, depuis l’arrivée des nouvelles autorités en avril dernier, la situation des médias au Sénégal reste difficile. Ainsi, RSF appelle les futurs députés à voter des lois historiques, pour restaurer la liberté de la presse au Sénégal. « Il est urgent que les parlementaires prennent toutes les mesures ouvrant à la population, un véritable droit à l’information. RSF appelle les députés à procéder, dès leur entrée en fonction, à quatre réformes prioritaires et en premier lieu, le vote de la suppression des peines privatives de liberté pour les infractions de presse et celui de la loi d'accès à l’information d’intérêt public », plaide RSF.
D'après "L'As", l’organisation constate que les journalistes sont toujours convoqués, les difficultés économiques persistent en plus de l’absence de dialogue entre les autorités et les acteurs des médias. Malgré une amélioration notable, relève Sadibou Marone, depuis l’arrivée des nouvelles autorités en avril dernier, la situation des médias au Sénégal reste difficile. Ainsi, RSF appelle les futurs députés à voter des lois historiques, pour restaurer la liberté de la presse au Sénégal. « Il est urgent que les parlementaires prennent toutes les mesures ouvrant à la population, un véritable droit à l’information. RSF appelle les députés à procéder, dès leur entrée en fonction, à quatre réformes prioritaires et en premier lieu, le vote de la suppression des peines privatives de liberté pour les infractions de presse et celui de la loi d'accès à l’information d’intérêt public », plaide RSF.