Cet atelier initié par le Centre d’énergie solaire, d’hygiène et de formation professionnelle (CESHFP), en collaboration avec l’Inspection d’académie régionale, vise à recueillir les besoins de formation et à les adapter au milieu industriel. Cela, à travers un programme de formation qui sera enseigné, avant la fin de l’année, a expliqué, mercredi, Ibrahima Guèye, animateur de ce séminaire.
Seul un des participants sur les 10, a affirmé avoir reçu une formation en bonne et due forme au solaire.
Après des travaux de groupe, sept principales fonctions ont été identifiées dans les métiers du solaire, tels que pratiqués à Tambacounda : le conseil, le dimensionnement, la vente, le montage, le suivi, la maintenance et la réparation.
Ces travaux ont permis également de se rendre compte du caractère informel dans les techniciens exercent leurs métiers dans la région, ce qui se traduit par une absence de catégories formelles, pour mesurer le degré de maîtrise de ses praticiens. Le passage d’un niveau à un autre passe par l’expérience et la formation acquises en travaillant avec une entreprise.
Dans leur majorité, ils travaillent de manière individuelle et font des prestations chez des particuliers et des entreprises, même s’il y en a qui sont dans des unités semi-industrielles.
L’objectif de ce projet de formation est de ‘’décentraliser l’offre de formation et d’offrir l’opportunité aux jeunes de faire études afin de faciliter leur insertion’’, a dit M. Guèye.
Plusieurs applications sont possibles avec l’énergie solaire : l’électrification des maisons, le pompage des forages, qui a commencé, et ‘’quelque chose peu connu dans la région mais qui pourrait être utile’’, à savoir les séchoirs solaires pour le conditionnement de fruits et légumes et la cuisine avec cette même énergie, a expliqué M. Guèye.
‘’Nous avons tout intérêt à développer des choses dans le solaire, puisque nous sommes, de ce point de vue-là, très bien servis’’, a-t-il fait remarquer, relevant cependant que la ‘’sous-exploitation’’ du solaire n’est pas spécifique à la région de Tambacounda, mais au fait que la recherche-développement n’est pas avancée dans le pays.
‘’La cherté du matériel est un gros obstacle aujourd’hui pour le développement du solaire, mais dans le long terme ça peut être intéressant’’, a-t-il poursuivi, notant que même si ‘’au départ, il y a un investissement assez lourd’’ à consentir, il ‘’s’amortit au fil des ans’’.
SOURCE:ADI/SAB
Seul un des participants sur les 10, a affirmé avoir reçu une formation en bonne et due forme au solaire.
Après des travaux de groupe, sept principales fonctions ont été identifiées dans les métiers du solaire, tels que pratiqués à Tambacounda : le conseil, le dimensionnement, la vente, le montage, le suivi, la maintenance et la réparation.
Ces travaux ont permis également de se rendre compte du caractère informel dans les techniciens exercent leurs métiers dans la région, ce qui se traduit par une absence de catégories formelles, pour mesurer le degré de maîtrise de ses praticiens. Le passage d’un niveau à un autre passe par l’expérience et la formation acquises en travaillant avec une entreprise.
Dans leur majorité, ils travaillent de manière individuelle et font des prestations chez des particuliers et des entreprises, même s’il y en a qui sont dans des unités semi-industrielles.
L’objectif de ce projet de formation est de ‘’décentraliser l’offre de formation et d’offrir l’opportunité aux jeunes de faire études afin de faciliter leur insertion’’, a dit M. Guèye.
Plusieurs applications sont possibles avec l’énergie solaire : l’électrification des maisons, le pompage des forages, qui a commencé, et ‘’quelque chose peu connu dans la région mais qui pourrait être utile’’, à savoir les séchoirs solaires pour le conditionnement de fruits et légumes et la cuisine avec cette même énergie, a expliqué M. Guèye.
‘’Nous avons tout intérêt à développer des choses dans le solaire, puisque nous sommes, de ce point de vue-là, très bien servis’’, a-t-il fait remarquer, relevant cependant que la ‘’sous-exploitation’’ du solaire n’est pas spécifique à la région de Tambacounda, mais au fait que la recherche-développement n’est pas avancée dans le pays.
‘’La cherté du matériel est un gros obstacle aujourd’hui pour le développement du solaire, mais dans le long terme ça peut être intéressant’’, a-t-il poursuivi, notant que même si ‘’au départ, il y a un investissement assez lourd’’ à consentir, il ‘’s’amortit au fil des ans’’.
SOURCE:ADI/SAB