En terre d’islam, comme en Iran ou au Pakistan, les autorités ont banni l’alcool, excepté pour les non-musulmans. L’intérêt de l’étude commandée par The Economist consiste à prouver que ni les non-musulmans ni les expatriés ne peuvent, à eux seuls, être la source de cette progression de la consommation d’alcool. Il s’avère que l’étude met les musulmans dans le même sac que ces non-musulmans et expatriés.
Entre 2001 et 2011, dans le Moyen-Orient, où il y a une population musulmane fortement majoritaire, le taux a augmenté de 72 % contre une moyenne mondiale de 30%.
A fortiori, les ventes et la fabrication d’alcool artisanal gagnent du terrain. « Le marché noir des spiritueux prospère en Libye, alors que les Iraniens sont connus pour fabriquer leurs bières à la maison », relate l’hebdomadaire britannique.
La question de la tolérance des autorités islamiques vis-à-vis de l’alcool se pose. The Economist y répond : certaines d'entre elles « permettent l’alcool tant qu’il n’est pas fabriqué à partir de raisins et de dattes, en vertu des termes coraniques. »
Entre 2001 et 2011, dans le Moyen-Orient, où il y a une population musulmane fortement majoritaire, le taux a augmenté de 72 % contre une moyenne mondiale de 30%.
A fortiori, les ventes et la fabrication d’alcool artisanal gagnent du terrain. « Le marché noir des spiritueux prospère en Libye, alors que les Iraniens sont connus pour fabriquer leurs bières à la maison », relate l’hebdomadaire britannique.
La question de la tolérance des autorités islamiques vis-à-vis de l’alcool se pose. The Economist y répond : certaines d'entre elles « permettent l’alcool tant qu’il n’est pas fabriqué à partir de raisins et de dattes, en vertu des termes coraniques. »