Après les volontaires de la Jica, du Corps de la paix américain…, l’Afrique vient d’en avoir. Et c’est hier que la cérémonie de prestation de serment a été organisée à Dakar.
Première du genre, cette initiative du Corps Africa permet à 12 volontaires sénégalais et marocains de pouvoir habiter dans les collectivités les plus reculées du pays où ils vont s’intégrer en apprenant leurs coutumes et réalités.
Formés en connaissance du volontariat, en secourisme et en design thinking, ils auront comme mission de permettre aux populations d’identifier leurs besoins dans différents domaines comme la santé, l’éducation, le développement des petites entreprises, entre autres.
Le directeur de Corps Africa s’est dit optimiste quant à l’intégration de ces volontaires qui, pour lui, « le seul engagement de dire que l’on est prêt à être un volontaire fait 80% du travail ». Mamadou Sarr de préciser que ces derniers sont des volontaires et non des bénévoles. En effet, ajoute M. Sarr, « le volontariat, c’est une action mûrement réfléchie, des capacités que l’on met à la disposition des autres ».
Ndeye Marième Ndour, qui parlait au nom des volontaires, a montré toute la satisfaction du groupe à accomplir cette mission pour une année. « Nous sommes aujourd’hui, impatients de servir, apprendre et se développer », a-t-elle dit.
Pour sa part, le représentant de l’ambassadeur du Maroc a magnifié les relations séculaires entre son pays d’origine et le Sénégal avant de s’engager à accompagner ces jeunes dans leur mission.
Pour rappel, cet engagement africain, qui a commencé au Maroc, a enrôlé des jeunes dont les niveaux d’étude universitaire varient entre la licence et le doctorat. Ils seront dispatchés dans 4 régions du Sénégal que sont Diourbel, Fatick, Thiès et Ziguinchor.
Mariama Kobar Saleh
Première du genre, cette initiative du Corps Africa permet à 12 volontaires sénégalais et marocains de pouvoir habiter dans les collectivités les plus reculées du pays où ils vont s’intégrer en apprenant leurs coutumes et réalités.
Formés en connaissance du volontariat, en secourisme et en design thinking, ils auront comme mission de permettre aux populations d’identifier leurs besoins dans différents domaines comme la santé, l’éducation, le développement des petites entreprises, entre autres.
Le directeur de Corps Africa s’est dit optimiste quant à l’intégration de ces volontaires qui, pour lui, « le seul engagement de dire que l’on est prêt à être un volontaire fait 80% du travail ». Mamadou Sarr de préciser que ces derniers sont des volontaires et non des bénévoles. En effet, ajoute M. Sarr, « le volontariat, c’est une action mûrement réfléchie, des capacités que l’on met à la disposition des autres ».
Ndeye Marième Ndour, qui parlait au nom des volontaires, a montré toute la satisfaction du groupe à accomplir cette mission pour une année. « Nous sommes aujourd’hui, impatients de servir, apprendre et se développer », a-t-elle dit.
Pour sa part, le représentant de l’ambassadeur du Maroc a magnifié les relations séculaires entre son pays d’origine et le Sénégal avant de s’engager à accompagner ces jeunes dans leur mission.
Pour rappel, cet engagement africain, qui a commencé au Maroc, a enrôlé des jeunes dont les niveaux d’étude universitaire varient entre la licence et le doctorat. Ils seront dispatchés dans 4 régions du Sénégal que sont Diourbel, Fatick, Thiès et Ziguinchor.
Mariama Kobar Saleh