« Pour que le combat en faveur des musulmans birmans soit sincère, il faut exiger la libération de Alioune Ndao. Sinon, on va penser qu’il y a des groupes de francs-maçons, qui infiltrent les musulmans au Sénégal », a dit le sociologue.
Dans ce sens, il s’est voulu très clair par rapport à sa présence à la manifestation. « Je suis venu d’abord pour l’imam Alioune Ndao et les quarante imams qui sont emprisonnés ici », a-t-il explicité.
Il estime que pour éviter à « l’imam Alioune Ndao de subir le même sort que les Rohingyas, le Sénégal doit le libérer ». « Nous sommes d’accord avec ceux qui manifestent pour les Rohingyas, mais le Comité des intellectuels est ici, avant tout, pour la préservation de la vie de l’imam Ndao », a-t-il martelé. Il espère que le message sera entendu.
La rédaction de Leral.net
Dans ce sens, il s’est voulu très clair par rapport à sa présence à la manifestation. « Je suis venu d’abord pour l’imam Alioune Ndao et les quarante imams qui sont emprisonnés ici », a-t-il explicité.
Il estime que pour éviter à « l’imam Alioune Ndao de subir le même sort que les Rohingyas, le Sénégal doit le libérer ». « Nous sommes d’accord avec ceux qui manifestent pour les Rohingyas, mais le Comité des intellectuels est ici, avant tout, pour la préservation de la vie de l’imam Ndao », a-t-il martelé. Il espère que le message sera entendu.
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