Il est de coutume pour donner du crédit ou de l’importance à une déclaration, de demander, l’auteur de la plume ou des propos. Ceci
pour dire que la plume ou la parole d’une personne n’a de poids que lorsqu’elle est autorisée et motivée de la façon la plus juste.
Ce poids de la parole face à l’opinion publique, s’apprécie en vertu de l’expertise, de l’expérience et des connaissances avérées et reconnues
par ses pairs du privé et du public.
C’est dans ce contexte, que je m’adresse à Monsieur Youssou Ndour, artiste chanteur, en lui posant ces quelques questions, comme si nous
étions dans un débat d’idées et face à notre conscience.
Monsieur Youssou Ndour, est-ce que vous avez le sentiment du devoir accompli, dans votre métier la musique ?
Pensez vous, que vous n’avez plus rien à y faire ? Où pensez-vous plutôt, que vous ne pouvez plus rien lui apporter, sauf si vous êtes à
l’intérieur du système politique, ou d’un gouvernement ?
Dites-moi où se situe votre combat Monsieur Ndour ?
Avez-vous le sentiment d’avoir tourné le dos à la musique et à son industrie, qui pouvait encore profiter de votre expertise dans ce
domaine ?
Maintenant que la musique vous a propulsé au rang de ceux qui comptent dans ce monde, ne pensez vous pas, que tout ce que la
musique vous a donné, doit retourner et servir plus à la musique qu’à autre chose ?
N’êtes vous pas en train de mettre du sable dans le réservoir de reconnaissances que vous devez à la musique et au créateur suprême
qui vous à gratifié de cette belle voix ?
Vous annonciez, l’ouverture d’une télévision culturelle, mais malheureusement, nous avons à la place une télévision plurielle, où
la culture et l’art ont très peu d’antenne, et ou les acteurs culturels ont peu de place pour développer des espaces de convergences et de
partage.
N’était-il pas plus courageux et plus responsable de vous occuper de cet espace et de cette entreprise ! Si telle votre volonté est de servir le
Sénégal ?
Je vais vous dire une chose Monsieur le Ministre, seuls les créateurs d’emplois et de richesses, restent et demeurent les plus méritants et
les plus patriotes. C’est ceux là qui sont généreux dans le partage et la prise en compte des priorités des minorités qui font la fierté. Ce n’est
pas être ministre !
Vous devez votre popularité grâce à la musique et au soutien de vos fans ! Ne pensez vous pas que votre combat devait s’inscrire dans la
droite ligne de ce que vous savez faire ?
Ne pourriez-vous pas combattre les injustices dans le secteur de la musique et les problèmes de façon générale.
Les injustices qui se posent dans votre secteur de la musique, liées à la promotion, à la production, au label, aux circuits de ventes, au
management, aux écoles de formation qui doivent assurer une bonne relève des artistes en âge de se reposer.
Et le piratage, quelles solutions ! Ce fléau empêche les artistes de vivre de leur art !
Ne pensez vous pas que jouer les sentinelles et protecteur dans l’équilibre et le rassemblement de tous les acteurs, jeunes et anciens
autour d’un idéal, n’est pas plus important, plus patriotique, que d’assumer les fonctions politiques, trop faciles d’un ministre qui reste
lié aux programmes du chef de l’Etat, et qui bénéfice d’avantages et de pouvoirs trop exagérés ?
Un sentiment d’accomplissement démesuré dans la musique, vous aurait-il amené à plus de prétentions, pour vouloir devenir ministre ?
Est-ce une ambition personnelle par rapport à votre égo, puisqu’il se dit que votre niveau d’étude est très bas ?
Résultat de la course, vous êtes aujourd’hui nommé ministre de la culture et du tourisme, dont je suis un acteur et pas des moindres.
Jusqu’à ce jour, je conteste avec la dernière énergie et par conviction cette faveur qui n’est pas un mérite.
Nous sommes plus de douze millions de sénégalais et pour des postes à responsabilités publique, j’ai toujours milité pour un appel
à compétition. Comme vous l’exigez du reste, pour la gestion du méridien, car je suppose que nous sommes tous égaux devant l’offre
publique.
Maintenant que vous êtes Ministre de la République, après cent jours, le secteur du tourisme est en grogne.
Tout le monde déchante, certaines voix vous demandent de retourner d’où vous veniez avant qu’il ne soit trop tard. D’autres indexent votre
manque d’expertise et d’expériences dans un domaine très technique. D’autres accusent votre verbe pas très éloquent et qui n’est pas à la
hauteur. D’autres accusent votre façon de gérer, votre entourage d’hommes de musique trop présents dans l’espace du tourisme.
La mise à l’écart de beaucoup de cadres et de compétences, la manière désordonnée avec laquelle se tiennent les visites et les prises de
contacts….
Bref la liste est longue, monsieur le Ministre et s’y ajoute un conseil interministériel avorté, auquel vous teniez plus que tout. Un autre
est prévu en septembre, mais à mon avis, je penche pour un conseil présidentiel sur le tourisme, afin d’impliquer son excellence le chef
de l’Etat, Macky Sall et de le voir s’exprimer publiquement sur ses ambitions pour le tourisme.
Il y a aussi Monsieur le Ministre, vos voyages de prises de contacts à l’étranger qui ont été mal apprécié, puisque le secteur privé principal
bénéficiaire des accords n’a pas été associé à ces déplacements…..
Ne pensez-vous pas que cela fait trop Monsieur le Ministre ?
En plus les mesures urgentes tardent à venir, parmi les plus importantes, celle de la promotion et de la gestion du fonds de
promotion et de ces orientations.
La question que je me pose Monsieur le Ministre : Qui va être l’ordonnateur des dépenses ? Je sens un bras de fer musclé entre la
tutelle et le secteur privé dans cette affaire.
De même que le bureau d’information touristique prévu dans les locaux de l’aéroport LSS qui devrait être géré par le syndicat d’initiative et non
pas par le ministère.
Quelle direction ou structure va devoir se charger de la promotion ? Que vont devenir les contractuels de la défunte agence ?
Quelle est la feuille de route que vous proposez aux acteurs à quelques semaines de l’ouverture de la saison touristique 2012/2013 ?
En faisant le tour de toutes ces questions, et avant de revenir sur la question du méridien que vous avez soulevé, au moment où vous
devriez être le plus, tourné vers un benchmarking pour consolider, l’existant et permettre une ouverture aux acteurs.
Ouverture qui va donner du tonus aux hôteliers, et leur permette de remplir leur espace, en lieu et place vous leur créez des problèmes
inutiles, injustifiés et inacceptables Monsieur le Ministre.
De mon point de vue, ce n’est pas une priorité le problème du méridien, bien que ce ne soit pas moi d’en décider.
Ce problème, s’il en existe devrait normalement se résoudre, dans le secret de votre bureau, entouré de vos meilleurs conseillers, et
ou autour du patronat qui a déjà prévenu et apporter, son soutien à monsieur Sy pour vous sensibiliser sur la question.
En faisant du méridien un problème qui n’en est pas un, vous secouez le tronc du tourisme sur lequel vous êtes assis.
Et vous vous créez des ennemis pour rien, car le tourisme est une famille et une seule. Elle est solidement soudée autour d’un enjeu et de
l’intérêt national. Et cela vous ne l’auriez pas compris !
Une seule chose me traverse l’esprit, Monsieur Youssou Ndour, Monsieur le Ministre, rendez votre tablier, car la colère déferlante du
tourisme emportera tout sur son chemin.
Laissez nous notre tourisme, et occupez vous de votre musique, chacun ne s’en portera que mieux.
J’en appel à la raison et à la clairvoyance du chef de l’Etat, Monsieur Macky Sall, ampliataire de cette lettre ouverte, qui a du recevoir lors
des élections le mémorandum sur le tourisme, que j’avais adressé à
tous les candidats.
D’ailleurs le porte parole du gouvernement Monsieur Serigne Mbaye Thiam s’en rappel parfaitement.
Je me réjouis aussi de la communication de Monsieur le Ministre porte parole du gouvernement, lors du dernier conseil des ministres tenu à
Diourbel, où le chef de l’Etat a demandé à ce que soient levées toutesles contraintes qui empêchent au tourisme de retrouver son lustre
d’antan.
J’ose espérer que les instructions du chef de l’Etat seront respectées en concertation avec le secteur privé et avec diligence.
Je voudrais également vous dire Monsieur le Ministre que je me bats pour un idéal, pour des principes, et pour le respect, pas pour votre
personne, ni pour ma personne, ni pour Monsieur Racine Sy.
Il se trouve que Monsieur Racine Sy dans cette affaire est combattu pour des raisons inavouées, et je ne suis pas d’accord.
Qui ne connait pas Mouhamed Faouzou DEME dans le secteur du tourisme, demandez le alors à Google !
Maintenant, si vous pensez que je suis contre vous, Monsieur le Ministre, alors, je dirai que vous méconnaissez Allah, car c’est lui seul
qui donne, qui guide, qui connaît ce qui est dans les cœurs et ce qui va se passer demain.
Seulement mon devoir est de manifester au grand jour mes idées, mes positions, et mes convictions, sans trop me soucier de celui qui n’est
pas content où pas.
Al hamdou lilah
Mouhamed Faouzou DEME
pour dire que la plume ou la parole d’une personne n’a de poids que lorsqu’elle est autorisée et motivée de la façon la plus juste.
Ce poids de la parole face à l’opinion publique, s’apprécie en vertu de l’expertise, de l’expérience et des connaissances avérées et reconnues
par ses pairs du privé et du public.
C’est dans ce contexte, que je m’adresse à Monsieur Youssou Ndour, artiste chanteur, en lui posant ces quelques questions, comme si nous
étions dans un débat d’idées et face à notre conscience.
Monsieur Youssou Ndour, est-ce que vous avez le sentiment du devoir accompli, dans votre métier la musique ?
Pensez vous, que vous n’avez plus rien à y faire ? Où pensez-vous plutôt, que vous ne pouvez plus rien lui apporter, sauf si vous êtes à
l’intérieur du système politique, ou d’un gouvernement ?
Dites-moi où se situe votre combat Monsieur Ndour ?
Avez-vous le sentiment d’avoir tourné le dos à la musique et à son industrie, qui pouvait encore profiter de votre expertise dans ce
domaine ?
Maintenant que la musique vous a propulsé au rang de ceux qui comptent dans ce monde, ne pensez vous pas, que tout ce que la
musique vous a donné, doit retourner et servir plus à la musique qu’à autre chose ?
N’êtes vous pas en train de mettre du sable dans le réservoir de reconnaissances que vous devez à la musique et au créateur suprême
qui vous à gratifié de cette belle voix ?
Vous annonciez, l’ouverture d’une télévision culturelle, mais malheureusement, nous avons à la place une télévision plurielle, où
la culture et l’art ont très peu d’antenne, et ou les acteurs culturels ont peu de place pour développer des espaces de convergences et de
partage.
N’était-il pas plus courageux et plus responsable de vous occuper de cet espace et de cette entreprise ! Si telle votre volonté est de servir le
Sénégal ?
Je vais vous dire une chose Monsieur le Ministre, seuls les créateurs d’emplois et de richesses, restent et demeurent les plus méritants et
les plus patriotes. C’est ceux là qui sont généreux dans le partage et la prise en compte des priorités des minorités qui font la fierté. Ce n’est
pas être ministre !
Vous devez votre popularité grâce à la musique et au soutien de vos fans ! Ne pensez vous pas que votre combat devait s’inscrire dans la
droite ligne de ce que vous savez faire ?
Ne pourriez-vous pas combattre les injustices dans le secteur de la musique et les problèmes de façon générale.
Les injustices qui se posent dans votre secteur de la musique, liées à la promotion, à la production, au label, aux circuits de ventes, au
management, aux écoles de formation qui doivent assurer une bonne relève des artistes en âge de se reposer.
Et le piratage, quelles solutions ! Ce fléau empêche les artistes de vivre de leur art !
Ne pensez vous pas que jouer les sentinelles et protecteur dans l’équilibre et le rassemblement de tous les acteurs, jeunes et anciens
autour d’un idéal, n’est pas plus important, plus patriotique, que d’assumer les fonctions politiques, trop faciles d’un ministre qui reste
lié aux programmes du chef de l’Etat, et qui bénéfice d’avantages et de pouvoirs trop exagérés ?
Un sentiment d’accomplissement démesuré dans la musique, vous aurait-il amené à plus de prétentions, pour vouloir devenir ministre ?
Est-ce une ambition personnelle par rapport à votre égo, puisqu’il se dit que votre niveau d’étude est très bas ?
Résultat de la course, vous êtes aujourd’hui nommé ministre de la culture et du tourisme, dont je suis un acteur et pas des moindres.
Jusqu’à ce jour, je conteste avec la dernière énergie et par conviction cette faveur qui n’est pas un mérite.
Nous sommes plus de douze millions de sénégalais et pour des postes à responsabilités publique, j’ai toujours milité pour un appel
à compétition. Comme vous l’exigez du reste, pour la gestion du méridien, car je suppose que nous sommes tous égaux devant l’offre
publique.
Maintenant que vous êtes Ministre de la République, après cent jours, le secteur du tourisme est en grogne.
Tout le monde déchante, certaines voix vous demandent de retourner d’où vous veniez avant qu’il ne soit trop tard. D’autres indexent votre
manque d’expertise et d’expériences dans un domaine très technique. D’autres accusent votre verbe pas très éloquent et qui n’est pas à la
hauteur. D’autres accusent votre façon de gérer, votre entourage d’hommes de musique trop présents dans l’espace du tourisme.
La mise à l’écart de beaucoup de cadres et de compétences, la manière désordonnée avec laquelle se tiennent les visites et les prises de
contacts….
Bref la liste est longue, monsieur le Ministre et s’y ajoute un conseil interministériel avorté, auquel vous teniez plus que tout. Un autre
est prévu en septembre, mais à mon avis, je penche pour un conseil présidentiel sur le tourisme, afin d’impliquer son excellence le chef
de l’Etat, Macky Sall et de le voir s’exprimer publiquement sur ses ambitions pour le tourisme.
Il y a aussi Monsieur le Ministre, vos voyages de prises de contacts à l’étranger qui ont été mal apprécié, puisque le secteur privé principal
bénéficiaire des accords n’a pas été associé à ces déplacements…..
Ne pensez-vous pas que cela fait trop Monsieur le Ministre ?
En plus les mesures urgentes tardent à venir, parmi les plus importantes, celle de la promotion et de la gestion du fonds de
promotion et de ces orientations.
La question que je me pose Monsieur le Ministre : Qui va être l’ordonnateur des dépenses ? Je sens un bras de fer musclé entre la
tutelle et le secteur privé dans cette affaire.
De même que le bureau d’information touristique prévu dans les locaux de l’aéroport LSS qui devrait être géré par le syndicat d’initiative et non
pas par le ministère.
Quelle direction ou structure va devoir se charger de la promotion ? Que vont devenir les contractuels de la défunte agence ?
Quelle est la feuille de route que vous proposez aux acteurs à quelques semaines de l’ouverture de la saison touristique 2012/2013 ?
En faisant le tour de toutes ces questions, et avant de revenir sur la question du méridien que vous avez soulevé, au moment où vous
devriez être le plus, tourné vers un benchmarking pour consolider, l’existant et permettre une ouverture aux acteurs.
Ouverture qui va donner du tonus aux hôteliers, et leur permette de remplir leur espace, en lieu et place vous leur créez des problèmes
inutiles, injustifiés et inacceptables Monsieur le Ministre.
De mon point de vue, ce n’est pas une priorité le problème du méridien, bien que ce ne soit pas moi d’en décider.
Ce problème, s’il en existe devrait normalement se résoudre, dans le secret de votre bureau, entouré de vos meilleurs conseillers, et
ou autour du patronat qui a déjà prévenu et apporter, son soutien à monsieur Sy pour vous sensibiliser sur la question.
En faisant du méridien un problème qui n’en est pas un, vous secouez le tronc du tourisme sur lequel vous êtes assis.
Et vous vous créez des ennemis pour rien, car le tourisme est une famille et une seule. Elle est solidement soudée autour d’un enjeu et de
l’intérêt national. Et cela vous ne l’auriez pas compris !
Une seule chose me traverse l’esprit, Monsieur Youssou Ndour, Monsieur le Ministre, rendez votre tablier, car la colère déferlante du
tourisme emportera tout sur son chemin.
Laissez nous notre tourisme, et occupez vous de votre musique, chacun ne s’en portera que mieux.
J’en appel à la raison et à la clairvoyance du chef de l’Etat, Monsieur Macky Sall, ampliataire de cette lettre ouverte, qui a du recevoir lors
des élections le mémorandum sur le tourisme, que j’avais adressé à
tous les candidats.
D’ailleurs le porte parole du gouvernement Monsieur Serigne Mbaye Thiam s’en rappel parfaitement.
Je me réjouis aussi de la communication de Monsieur le Ministre porte parole du gouvernement, lors du dernier conseil des ministres tenu à
Diourbel, où le chef de l’Etat a demandé à ce que soient levées toutesles contraintes qui empêchent au tourisme de retrouver son lustre
d’antan.
J’ose espérer que les instructions du chef de l’Etat seront respectées en concertation avec le secteur privé et avec diligence.
Je voudrais également vous dire Monsieur le Ministre que je me bats pour un idéal, pour des principes, et pour le respect, pas pour votre
personne, ni pour ma personne, ni pour Monsieur Racine Sy.
Il se trouve que Monsieur Racine Sy dans cette affaire est combattu pour des raisons inavouées, et je ne suis pas d’accord.
Qui ne connait pas Mouhamed Faouzou DEME dans le secteur du tourisme, demandez le alors à Google !
Maintenant, si vous pensez que je suis contre vous, Monsieur le Ministre, alors, je dirai que vous méconnaissez Allah, car c’est lui seul
qui donne, qui guide, qui connaît ce qui est dans les cœurs et ce qui va se passer demain.
Seulement mon devoir est de manifester au grand jour mes idées, mes positions, et mes convictions, sans trop me soucier de celui qui n’est
pas content où pas.
Al hamdou lilah
Mouhamed Faouzou DEME