Cette lettre est à la fois sujette d’interrogations à propos des comportements obscènes de certains parmi vous devenus circonstanciellement des figurants dans la vie politique à travers des combines, des conciliabules pour bénéficier les atouts et les atours de la République : qui est « la chose de tous » au détriment de miséreux jeunes sénégalais tentés d’emprunter le chemin du mouroir en l’occurrence la mer. Le palais de la République est confondus pour certains d’entre vous un mausolée ou repose cette quête paisible et facile de l’avoir, il me paraît pour certains d’entre vous, ce lieu où l’érudit fait accéder et élever le talibé, (marabout-politicien) ce monde intelligible comme dans le mythe de la caverne de Platon.
Je me confonds en excuses, pour cette caricature faite en l’encontre des autres marabouts-politiciens ou chefs religieux qui dénaturent ma lettre en pamphlet car ce qui se passe dans mon pays est causé en grande partie par vos partenaires.
Monsieur, le jeune chef religieux, si je rédige ainsi ma lettre, c’est par ce qu’on est de la même génération, certes la politique est l’affaire de tous les citoyens sans aucune distinction. Le marabout a l’obligation de faire la politique avec tous les supposés acquis ou résultats mais à la différence du prototype politicien il doit prioriser sur tout, la rectitude, la clarté et son exemplarité pour s’ériger en modèle.
J’ai un immense respect Serigne Mansour Sy Djamil et vous, car vous n’êtes pas comme les autres, les autres sont ceux qui radotent, fanfaronnent, vocifèrent, parfois deviennent le troubadour des Wade pour finalement s’agenouiller ou se prosterner devant celui qui ne symbolise que le pouvoir Satanique.
Pour finir, à travers votre personne l’heure de faire une introspection est arrivée, d’évaluer votre relation envers les sénégalais. Car certains méritent la déchéance de certains patronymes qui ne sont que des passe-droits pour compromettre l’œuvre de leurs illustres ancêtres.
khadimly@live.fr
Je me confonds en excuses, pour cette caricature faite en l’encontre des autres marabouts-politiciens ou chefs religieux qui dénaturent ma lettre en pamphlet car ce qui se passe dans mon pays est causé en grande partie par vos partenaires.
Monsieur, le jeune chef religieux, si je rédige ainsi ma lettre, c’est par ce qu’on est de la même génération, certes la politique est l’affaire de tous les citoyens sans aucune distinction. Le marabout a l’obligation de faire la politique avec tous les supposés acquis ou résultats mais à la différence du prototype politicien il doit prioriser sur tout, la rectitude, la clarté et son exemplarité pour s’ériger en modèle.
J’ai un immense respect Serigne Mansour Sy Djamil et vous, car vous n’êtes pas comme les autres, les autres sont ceux qui radotent, fanfaronnent, vocifèrent, parfois deviennent le troubadour des Wade pour finalement s’agenouiller ou se prosterner devant celui qui ne symbolise que le pouvoir Satanique.
Pour finir, à travers votre personne l’heure de faire une introspection est arrivée, d’évaluer votre relation envers les sénégalais. Car certains méritent la déchéance de certains patronymes qui ne sont que des passe-droits pour compromettre l’œuvre de leurs illustres ancêtres.
khadimly@live.fr