
Le groupe Walf Fadjri estime avoir été victime de décisions arbitraires sous l’ancien régime. Parmi les faits évoqués : la coupure prolongée de leur signal, validée a posteriori comme injuste par la Cour suprême, le retrait des contrats publicitaires publics, des factures impayées malgré services rendus, et l’absence de versement de l’aide à la presse prévue dans les budgets 2024 et 2025.
À cela s’ajoute un sinistre majeur : un incendie ayant détruit leur principal studio de production, dont la rénovation reste en suspens faute de moyens.
Face à ces épreuves, Me Cheikh Niass sollicite du président Faye :
• Une indemnisation juste pour les dommages subis
• Le déblocage des aides à la presse
• Le paiement des créances dues
Saluant l’ouverture et la posture républicaine du nouveau président, le Groupe Walf Fadjri espère que cette lettre ne restera pas lettre morte, et que justice sera enfin rendue dans un esprit d’équité et de redressement.
À cela s’ajoute un sinistre majeur : un incendie ayant détruit leur principal studio de production, dont la rénovation reste en suspens faute de moyens.
Face à ces épreuves, Me Cheikh Niass sollicite du président Faye :
• Une indemnisation juste pour les dommages subis
• Le déblocage des aides à la presse
• Le paiement des créances dues
Saluant l’ouverture et la posture républicaine du nouveau président, le Groupe Walf Fadjri espère que cette lettre ne restera pas lettre morte, et que justice sera enfin rendue dans un esprit d’équité et de redressement.