En sus des explications du ministre de la justice qui a fait savoir que Karim Wade a bénéficié d’une grâce présidentielle comme tout citoyen sénégalais l’aurait dû et que d’autre part le Président Macky Sall a posé un acte humanitaire en accordant la grâce à Karim Wade, les conditions de sa libération sont voulues et demandées par sa famille.
Abdou Latif Coulibaly qui en a fait la révélation soutient que cette libération a été voulue par le Président Macky Sall et demandée par la famille de Karim Wade. « Les gens qui ont connu tout le processus par lequel Karim Wade est sorti de prison, savent et je le certifie sur l’honneur, que sa sortie de prison était voulue par le Président de la République mais assise également sur la demande et la démarche de sa famille et d’autres personnalités de ce pays », révèle l’invité du 20 Heures de la Tfm.
Même si l’avocat de Karim Wade affirme que son client n’a jamais été demandeur d’une grâce, ce qui avait un peu retardé sa libération, le Secrétaire général du gouvernement soutient pour sa part que n’importe qui dans la famille du mis en cause peut avoir formulé la demande de grâce qui est parvenue à qui de droit.
En outre, selon l’ancien journaliste, « c’est une liberté que le Président Sall a exercé en vertu de l’article 47 et sur demande de certaines personnalités précises. Et l’histoire se chargera de révéler ces personnalités », a fait savoir Abdou Latif Coulibaly
IGFM
Abdou Latif Coulibaly qui en a fait la révélation soutient que cette libération a été voulue par le Président Macky Sall et demandée par la famille de Karim Wade. « Les gens qui ont connu tout le processus par lequel Karim Wade est sorti de prison, savent et je le certifie sur l’honneur, que sa sortie de prison était voulue par le Président de la République mais assise également sur la demande et la démarche de sa famille et d’autres personnalités de ce pays », révèle l’invité du 20 Heures de la Tfm.
Même si l’avocat de Karim Wade affirme que son client n’a jamais été demandeur d’une grâce, ce qui avait un peu retardé sa libération, le Secrétaire général du gouvernement soutient pour sa part que n’importe qui dans la famille du mis en cause peut avoir formulé la demande de grâce qui est parvenue à qui de droit.
En outre, selon l’ancien journaliste, « c’est une liberté que le Président Sall a exercé en vertu de l’article 47 et sur demande de certaines personnalités précises. Et l’histoire se chargera de révéler ces personnalités », a fait savoir Abdou Latif Coulibaly
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