Il est le plus gros transfert franco-français de l’été et au regard de l’apathie du mercato, ce n’est pas une mince affaire. Recruté pour près de 10 M€ par le LOSC, Marvin Martin représente le gros coup du club nordiste. Désigné comme la priorité du marché des transferts par Rudi Garcia, il n’a pas résisté longtemps à l’appel des Dogues. « C’est flatteur et sympa. Mais c’est vrai que le coach a beaucoup insisté. J’ai été sensible à sa persévérance, mais surtout à son projet, à sa personnalité. Il dégage quelque chose quand il parle, on sent qu’il croit en ce qu’il dit. Si j’étais parti à l’été 2011, je serais probablement venu à Lille. Mais je n’ai pas voulu aller au clash avec Sochaux à ce moment-là », raconte Martin dans les colonnes de France Football.
Pourtant, il était également suivi par des clubs étrangers, notamment en Espagne. Mais la perspective d’évoluer pour le LOSC a vite pris le pas sur la découverte d’un championnat étranger. « J’y ai un peu réfléchi avec mon agent et ma famille. Mais Lille m’offrait de belles garanties avec la possibilité de jouer le haut du tableau en France et la Ligue des Champions si on passe le barrage. C’est encore le jeu qui a fait pencher la balance, la possibilité de continuer à progresser dans mon pays et dans de bonnes conditions. Lille avait vraiment envie de moi, et moi aussi », avoue-t-il. Preuve de ce désir réciproque, le contrat longue durée (5 ans) qui unit les deux parties.
« Ça prouve que j’ai envie de m’investir au LOSC. À côté du PSG et de tout ce qui se passe à Paris, je pense que Lille est le club d’avenir en France. Il se passe beaucoup de choses positives autour du LOSC. C’est déjà un grand club et il peut encore prendre une autre dimension avec le nouveau stade. Il nous tarde tous d’être dedans et de l’inaugurer. Le centre d’entraînement de Luchin est aussi fabuleux. Toutes ces structures montrent l’ambition du club », affirme-t-il. Mais évidemment, sur le chemin de la gloire, il faudra se défaire du nouveau PSG et de ses stars. Cela ne fait pas peur à Marvin Martin, supporter déclaré du club de la capitale. « On va essayer d’aller les chatouiller. Je suis ambitieux. Ils ne me font pas peur. J’espère qu’on sera leur principal outsider. Ce Championnat sera en tout cas relevé. Les places vont être chères pour la Ligue des Champions », pense-t-il. Avec Martin dans ses rangs et un mercato estival rondement mené, Lille s’impose en tout cas comme un adversaire de taille pour le club parisien.
Aurélien Léger-Moëc
Pourtant, il était également suivi par des clubs étrangers, notamment en Espagne. Mais la perspective d’évoluer pour le LOSC a vite pris le pas sur la découverte d’un championnat étranger. « J’y ai un peu réfléchi avec mon agent et ma famille. Mais Lille m’offrait de belles garanties avec la possibilité de jouer le haut du tableau en France et la Ligue des Champions si on passe le barrage. C’est encore le jeu qui a fait pencher la balance, la possibilité de continuer à progresser dans mon pays et dans de bonnes conditions. Lille avait vraiment envie de moi, et moi aussi », avoue-t-il. Preuve de ce désir réciproque, le contrat longue durée (5 ans) qui unit les deux parties.
« Ça prouve que j’ai envie de m’investir au LOSC. À côté du PSG et de tout ce qui se passe à Paris, je pense que Lille est le club d’avenir en France. Il se passe beaucoup de choses positives autour du LOSC. C’est déjà un grand club et il peut encore prendre une autre dimension avec le nouveau stade. Il nous tarde tous d’être dedans et de l’inaugurer. Le centre d’entraînement de Luchin est aussi fabuleux. Toutes ces structures montrent l’ambition du club », affirme-t-il. Mais évidemment, sur le chemin de la gloire, il faudra se défaire du nouveau PSG et de ses stars. Cela ne fait pas peur à Marvin Martin, supporter déclaré du club de la capitale. « On va essayer d’aller les chatouiller. Je suis ambitieux. Ils ne me font pas peur. J’espère qu’on sera leur principal outsider. Ce Championnat sera en tout cas relevé. Les places vont être chères pour la Ligue des Champions », pense-t-il. Avec Martin dans ses rangs et un mercato estival rondement mené, Lille s’impose en tout cas comme un adversaire de taille pour le club parisien.
Aurélien Léger-Moëc