Pour rappel, le 15 février dernier, le collectif dit des Victimes de Daouda Diallo, a saisi d’une plainte le président de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac). La requête vise X pour corruption.
Il est rappelé dans la plainte, l’exposé des motifs de la loi N° 2013-30 portant création de l’Ofnac, qui dispose que «la corruption est l’une des plus graves entraves au développement économique et social.
Elle constitue, en effet, un frein à la croissance économique en même temps qu’elle décourage l’investissement privé surtout étranger, réduit les ressources disponibles pour le développement et menace les fondements de l'État de droit».
Plus loin, cette même loi mentionne la plainte : «il est rappelé que la mission de l‘Ofnac est la prévention et la lutte contre la fraude , la corruption, les pratiques assimilées et les infractions connexes, en vue de promouvoir l’intégrité et la probité des affaires publiques».
C’est pourquoi, écrit le collectif, «sentant un parfum de corruption et de concussion dans la gestion foncière de notre département, depuis l’avènement du Receveur Daouda Diallo au bureau des Domaines de Guédiawaye, nous avons jugé nécessaire de saisir votre noble institution pour une enquête sur les transactions foncières à Guédiawaye, notamment sur les lotissements dits «Extension UMS». «Wakhinane», «Sen foot»,«Sam Notaire», «Ndiobéne»...».
Toujours dans leur plainte, les victimes notent : «Fondant un grand espoir sur votre compétence et votre sens élevé de la responsabilité pour traquer des fonctionnaires véreux de l’administration domainiale qui s’éloignent de leurs missions de service public, pour se constituer en gang spécialisé en spoliation foncière, nous vous prions d’agréer notre entier dévouement».
C’est donc cette plainte qui est en train d’être diligentée par l’Ofnac, qui procède à l’audition des témoins.
Tribune
Il est rappelé dans la plainte, l’exposé des motifs de la loi N° 2013-30 portant création de l’Ofnac, qui dispose que «la corruption est l’une des plus graves entraves au développement économique et social.
Elle constitue, en effet, un frein à la croissance économique en même temps qu’elle décourage l’investissement privé surtout étranger, réduit les ressources disponibles pour le développement et menace les fondements de l'État de droit».
Plus loin, cette même loi mentionne la plainte : «il est rappelé que la mission de l‘Ofnac est la prévention et la lutte contre la fraude , la corruption, les pratiques assimilées et les infractions connexes, en vue de promouvoir l’intégrité et la probité des affaires publiques».
C’est pourquoi, écrit le collectif, «sentant un parfum de corruption et de concussion dans la gestion foncière de notre département, depuis l’avènement du Receveur Daouda Diallo au bureau des Domaines de Guédiawaye, nous avons jugé nécessaire de saisir votre noble institution pour une enquête sur les transactions foncières à Guédiawaye, notamment sur les lotissements dits «Extension UMS». «Wakhinane», «Sen foot»,«Sam Notaire», «Ndiobéne»...».
Toujours dans leur plainte, les victimes notent : «Fondant un grand espoir sur votre compétence et votre sens élevé de la responsabilité pour traquer des fonctionnaires véreux de l’administration domainiale qui s’éloignent de leurs missions de service public, pour se constituer en gang spécialisé en spoliation foncière, nous vous prions d’agréer notre entier dévouement».
C’est donc cette plainte qui est en train d’être diligentée par l’Ofnac, qui procède à l’audition des témoins.
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