Forte d’un titre foncier et d’un décret présidentiel qui lui accordent les terres qu’elle exploite, la société assure qu’elle ne va plus laisser prospérer des contre-vérités sur son compte et se dit prête à ester en justice.
La société Peacock investments ne veut plus se laisser faire. En butte à des difficultés de toutes sortes pour entrer en possession des terres qu’elle estime avoir acquises en toute légalité entre Diamniadio et Dougar, l’entreprise sénégalo-maroco- américaine ne veut plus laisser dire des contrevérités à son égard.
Son directeur général, M. Adil Dbilij, a affirmé qu’ils n’hésiteraient plus à traîner en justice quiconque proférerait des faussetés à l’égard de l’entreprise.
Cette nouvelle posture, différente de l’attitude adoptée jusqu’ici et qui pouvait laisser croire que la société immobilière avait des choses à se reprocher ou à cacher, vient en fait de la certitude des dirigeants de la compagnie d’être dans leur bon droit.
Et M. Dbilij l’a répété plusieurs fois : «Nous savons que le Sénégal est un pays de droit, qui respecte les libertés de chacun, et qui encourage les investisseurs.»
Elle vient également à la suite de l’entrée dans le dossier de Dougar des mouvements activistes comme Y’en a marre et Frapp France dégage, qui déclarent vouloir défendre les populations de Dougar qui seraient, selon eux, spoliées.
Avec « Le quotidien »
La société Peacock investments ne veut plus se laisser faire. En butte à des difficultés de toutes sortes pour entrer en possession des terres qu’elle estime avoir acquises en toute légalité entre Diamniadio et Dougar, l’entreprise sénégalo-maroco- américaine ne veut plus laisser dire des contrevérités à son égard.
Son directeur général, M. Adil Dbilij, a affirmé qu’ils n’hésiteraient plus à traîner en justice quiconque proférerait des faussetés à l’égard de l’entreprise.
Cette nouvelle posture, différente de l’attitude adoptée jusqu’ici et qui pouvait laisser croire que la société immobilière avait des choses à se reprocher ou à cacher, vient en fait de la certitude des dirigeants de la compagnie d’être dans leur bon droit.
Et M. Dbilij l’a répété plusieurs fois : «Nous savons que le Sénégal est un pays de droit, qui respecte les libertés de chacun, et qui encourage les investisseurs.»
Elle vient également à la suite de l’entrée dans le dossier de Dougar des mouvements activistes comme Y’en a marre et Frapp France dégage, qui déclarent vouloir défendre les populations de Dougar qui seraient, selon eux, spoliées.
Avec « Le quotidien »