
« L’activisme sur cette tentative de remise en question provient de politiciens qui n’osent pas s’assumer comme tels, qui fuient les rigueurs de l’arène politique, qui passent leur temps à jouer les moralistes et les censeurs de la vie politique quand ça les arrange - ce qui leur permet de se mettre en lumière socialement- mais dont l’objectif final reste d’accéder aux fonctions publiques par les voies obliques de la prétendue société civile, vocable inconnu de la Constitution », martèlent les camarades de Jean Paul Dias. Selon le Bcg, « si l’on revenait dessus, l’on verrait fleurir une pagaille indescriptible avec des listes d’Asc ou d’Écuries de lutte à chaque coin de rue sans parler du risque d’accaparement de certaines collectivités locales par des groupes sociaux dont la vocation n’est pas d’administrer des collectivités locales. Ce serait ingérable ! ».