Tout est parti d'une altercation l'opposant aux éléments de la garde rapprochée du Premier ministre, Amadou Bâ. Dr. Marie Khémesse Ndiaye, ministre de la Santé, revenait du Centre de santé, flanquée de son garde du corps et faisait mouvement vers la tribune officielle. Son garde du corps qui voulait à tout prix l'installer, a été stoppé net par la garde rapprochée du Premier ministre.
Il s’en est suivi alors un échange de sourds. Aucune des parties n'a voulu lâcher prise. Finalement, le ton est monté d'un cran.
C'est dans ce méli-mélo que le garde du corps du ministre de la Santé, est tombé sur un de ses protagonistes. Encerclé par les éléments de la garde rapprochée du Premier ministre, qui ont commencé à le violenter, il a brandi son arme à feu pour tirer deux coups au sol.
De fortes détonations ont retenti. C'est la panique générale. Ébahi, le Premier ministre est resté figé sur sa position. Certains ont commencé à vider les lieux. Des blessés ont été enregistrés dans la bousculade.
Désarmé, l'auteur des coups de feu (le garde du corps du ministre de la Santé) a été maîtrisé par les éléments de la garde rapprochée du Premier ministre. Sans défense, il a passé un sale quart d'heure entre les mains de ses bourreaux, lesquels l'ont isolé dans une salle du Centre de santé.
Selon des sources de "L'Observateur", une enquête est ouverte par les autorités judiciaires. Cet incident serait pris très au sérieux par la hiérarchie.
Il s’en est suivi alors un échange de sourds. Aucune des parties n'a voulu lâcher prise. Finalement, le ton est monté d'un cran.
C'est dans ce méli-mélo que le garde du corps du ministre de la Santé, est tombé sur un de ses protagonistes. Encerclé par les éléments de la garde rapprochée du Premier ministre, qui ont commencé à le violenter, il a brandi son arme à feu pour tirer deux coups au sol.
De fortes détonations ont retenti. C'est la panique générale. Ébahi, le Premier ministre est resté figé sur sa position. Certains ont commencé à vider les lieux. Des blessés ont été enregistrés dans la bousculade.
Désarmé, l'auteur des coups de feu (le garde du corps du ministre de la Santé) a été maîtrisé par les éléments de la garde rapprochée du Premier ministre. Sans défense, il a passé un sale quart d'heure entre les mains de ses bourreaux, lesquels l'ont isolé dans une salle du Centre de santé.
Selon des sources de "L'Observateur", une enquête est ouverte par les autorités judiciaires. Cet incident serait pris très au sérieux par la hiérarchie.