« Depuis des jours, je suis interpellé de tous bords sur l’actualité qui secoue le monde de la lutte, à savoir l’affaire Ama Baldé. C’est très compliqué d’aborder ce sujet très sensible. Certes, les avis divergent mais, en tant que président de l’Association nationale des lutteurs du Sénégal, il m’incombe de défendre les intérêts de tous les membres de notre association, mais aussi d’œuvrer pour la paix et la stabilité du secteur », a déclaré le Tigre de Fass.
Alors que le CNG a brandi des menaces à l’encontre d'Ama Baldé, Gris Bordeaux a tenu à rappeler les prérogatives du comité mais aussi les rôles des différentes parties autours du contrat de sponsoring qui encadre les face-to-face.
« En effet, je dois rappeler que le contrat sponsoring dépasse les compétences du CNG; il lie le promoteur et les lutteurs selon des termes bien définis. Les parties s’accordent sur des points n’impliquant pas forcément le CNG, même s’il est l’autorité suprême de régulation. Les termes dudit contrat peuvent concerner le nombre de face-à-face, les « open presse » sans compter la publicité.
Ce contrat a donc valeur juridique et, si contentieux il y a, en toute humilité, je pense que seule la justice est habilitée à trancher le différend. Ô combien de fois avons-nous entendu des lutteurs réclamer leur reliquat auprès d’un promoteur ? Aussi, avons-nous une fois vu une sanction du CNG contre un promoteur pour un engagement non honoré ?
Des lutteurs sont convoqués parfois à des heures indues et sans bruit. Par conséquent, la sanction brandie contre Ama Baldé, mon futur adversaire d’ailleurs, s’avère inopportune, car pour être juge, il faut être impliqué afin de maîtriser les clauses du contrat qui engagent les deux parties ».
Toutefois, le prochain adversaire d'Ama Baldé a bien invité le CNG à s’activer sur la question, pour essayer de trouver les moyens d’avoir la main sur ce genre de contentieux.
« Toutefois, j’invite le CNG à tenir des assises générales, qui permettront de statuer sur ces incidents malheureux et de décider de son implication en amont dans la signature de contrat sponsoring entre lutteurs et promoteurs. Vive la lutte ! », a conclu Gris Bordeaux, qui a servi un communiqué sur sa page Facebook, ce jeudi, pour répondre aux interpellations.
Wiwsport
Alors que le CNG a brandi des menaces à l’encontre d'Ama Baldé, Gris Bordeaux a tenu à rappeler les prérogatives du comité mais aussi les rôles des différentes parties autours du contrat de sponsoring qui encadre les face-to-face.
« En effet, je dois rappeler que le contrat sponsoring dépasse les compétences du CNG; il lie le promoteur et les lutteurs selon des termes bien définis. Les parties s’accordent sur des points n’impliquant pas forcément le CNG, même s’il est l’autorité suprême de régulation. Les termes dudit contrat peuvent concerner le nombre de face-à-face, les « open presse » sans compter la publicité.
Ce contrat a donc valeur juridique et, si contentieux il y a, en toute humilité, je pense que seule la justice est habilitée à trancher le différend. Ô combien de fois avons-nous entendu des lutteurs réclamer leur reliquat auprès d’un promoteur ? Aussi, avons-nous une fois vu une sanction du CNG contre un promoteur pour un engagement non honoré ?
Des lutteurs sont convoqués parfois à des heures indues et sans bruit. Par conséquent, la sanction brandie contre Ama Baldé, mon futur adversaire d’ailleurs, s’avère inopportune, car pour être juge, il faut être impliqué afin de maîtriser les clauses du contrat qui engagent les deux parties ».
Toutefois, le prochain adversaire d'Ama Baldé a bien invité le CNG à s’activer sur la question, pour essayer de trouver les moyens d’avoir la main sur ce genre de contentieux.
« Toutefois, j’invite le CNG à tenir des assises générales, qui permettront de statuer sur ces incidents malheureux et de décider de son implication en amont dans la signature de contrat sponsoring entre lutteurs et promoteurs. Vive la lutte ! », a conclu Gris Bordeaux, qui a servi un communiqué sur sa page Facebook, ce jeudi, pour répondre aux interpellations.
Wiwsport