‘’La volonté politique des Etats reste insuffisante, or sans cette volonté politique, il sera difficile d’éradiquer ce fléau’’, a indiqué, le professeur Amsatou Sow Sidibé.
Elle s'exprimait à l’ouverture de l’atelier régional de sensibilisation à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme pour les organisations de la société civile organisé par le Groupe international d’action contre le blanchiment d’argent (GIABA).
‘’Les Etats doivent avoir plus de volonté politique afin de mettre en œuvre des stratégies pour lutter contre ce fléau qui est un cancer pour nos pays’’, a-t-elle ajouté.
C’est dans ce sillage que le professeur Sidibé a invité les organisations de la société civile conviées à cette rencontre de deux jours à jouer leur ''rôle d’observation, de contrôle, d’alerte précoce de pression’’ pour lutter contre le blanchiment des capitaux et d’autres phénomènes connexes comme le trafic de drogue, la criminalité transfrontalière et le terrorisme.
Dans cette recherche de ‘’stratégies de lutte et de communication agressives’’ suggérée par le ministre-conseiller, le directeur général du GIABA a souligné que l’objectif de cet atelier est ‘’de renforcer l’engagement des organisations de la société civile d’une part et d’autre part de les sensibiliser sur leurs rôles dans la lutte contre les fléaux du blanchiment et du financement du terrorisme’’.
Le docteur Abdullahi Shehu a ajouté que ‘’l’implication des organisations de la société civile dans la croisade servira de plateforme efficace, véritable et durable pour apporter des changements politiques’’.
Pour sa part, Demba Diallo, président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), a affirmé que ‘’la société civile dans son rôle éminent de réflexion et de diffusion de l’information utile, peut être un moyen très important de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme’’.
Dans sa communication sur ‘’le rôle des organisations de la société civile dans la lutte contre la corruption’’, le docteur Femi Falana, président du barreau du Nigéria, a dit que ‘’même si l’Afrique est la plus corrompue, des organisations comme Transparency International doivent jeter un regard sur les pays européens qui gardent les avoirs mal acquis’’.
Source:SKS/AD
Elle s'exprimait à l’ouverture de l’atelier régional de sensibilisation à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme pour les organisations de la société civile organisé par le Groupe international d’action contre le blanchiment d’argent (GIABA).
‘’Les Etats doivent avoir plus de volonté politique afin de mettre en œuvre des stratégies pour lutter contre ce fléau qui est un cancer pour nos pays’’, a-t-elle ajouté.
C’est dans ce sillage que le professeur Sidibé a invité les organisations de la société civile conviées à cette rencontre de deux jours à jouer leur ''rôle d’observation, de contrôle, d’alerte précoce de pression’’ pour lutter contre le blanchiment des capitaux et d’autres phénomènes connexes comme le trafic de drogue, la criminalité transfrontalière et le terrorisme.
Dans cette recherche de ‘’stratégies de lutte et de communication agressives’’ suggérée par le ministre-conseiller, le directeur général du GIABA a souligné que l’objectif de cet atelier est ‘’de renforcer l’engagement des organisations de la société civile d’une part et d’autre part de les sensibiliser sur leurs rôles dans la lutte contre les fléaux du blanchiment et du financement du terrorisme’’.
Le docteur Abdullahi Shehu a ajouté que ‘’l’implication des organisations de la société civile dans la croisade servira de plateforme efficace, véritable et durable pour apporter des changements politiques’’.
Pour sa part, Demba Diallo, président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), a affirmé que ‘’la société civile dans son rôle éminent de réflexion et de diffusion de l’information utile, peut être un moyen très important de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme’’.
Dans sa communication sur ‘’le rôle des organisations de la société civile dans la lutte contre la corruption’’, le docteur Femi Falana, président du barreau du Nigéria, a dit que ‘’même si l’Afrique est la plus corrompue, des organisations comme Transparency International doivent jeter un regard sur les pays européens qui gardent les avoirs mal acquis’’.
Source:SKS/AD