Intervenant vendredi à la clôture de la réunion sur le financement durable de la lutte contre le paludisme organisée par le ‘’Partenariat Roll Back Malaria’’, Alain Court a souligné que malgré la hausse des investissements au cours de la dernière décennie et les énormes progrès réalisés, ‘’la collecte de fonds reste un défi important pour répondre aux besoins annuels nécessaires à une stratégie de lutte cohérente contre la maladie.
L’impact du paludisme sur la santé publique est aggravé par des coûts économiques élevés, à la fois directs et indirects, a- t-il affirmé. Il a estimé que l’Afrique dépense près de 40% de l’ensemble de son budget.
La réunion de trois jours qui a regroupé les représentants de 37 pays africains a identifiés les écarts financiers relatifs aux plans nationaux de lutte contre le paludisme. Les participants ont ainsi fait appel à leurs ministres des Finances pour l’utilisation des ressources nationales, ou autres sources innovantes.
‘’Les interventions contre le paludisme ont démontré leur impact à la fois sur la baisse de la mortalité infantile et sur le développement économique’’, a dit pour sa part le directeur de la Santé, le Dr Alioune Diack.
Représentant le ministre de la Santé et l’Action sociale, le Dr Diack a souligné que les efforts doivent être soutenus pour maintenir les progrès énormes jusqu’ici réalisés dans la lutte contre le paludisme.
La réunion a porté sur les principales interventions de lutte contre le paludisme, y compris des mesures préventives, telles que l’utilisation des moustiquaires imprégnées, d’insecticides à longue durée d’action (MILDA), la pulvérisation intra domiciliaire.
Les discussions ont également abordé les activités de soutien nécessaires au déploiement efficace et au suivi de ces interventions telles que la capacité de gestion, la formation, la communication pour le changement de comportement. Plus de 200 participants ont pris part à l’atelier.
Le partenariat Roll Back Malaria est en train d’étendre ses activités au-delà du continent africain et d’élargir ses structures en Asie.
SOURCE:ADL/ASG
(APS) –
L’impact du paludisme sur la santé publique est aggravé par des coûts économiques élevés, à la fois directs et indirects, a- t-il affirmé. Il a estimé que l’Afrique dépense près de 40% de l’ensemble de son budget.
La réunion de trois jours qui a regroupé les représentants de 37 pays africains a identifiés les écarts financiers relatifs aux plans nationaux de lutte contre le paludisme. Les participants ont ainsi fait appel à leurs ministres des Finances pour l’utilisation des ressources nationales, ou autres sources innovantes.
‘’Les interventions contre le paludisme ont démontré leur impact à la fois sur la baisse de la mortalité infantile et sur le développement économique’’, a dit pour sa part le directeur de la Santé, le Dr Alioune Diack.
Représentant le ministre de la Santé et l’Action sociale, le Dr Diack a souligné que les efforts doivent être soutenus pour maintenir les progrès énormes jusqu’ici réalisés dans la lutte contre le paludisme.
La réunion a porté sur les principales interventions de lutte contre le paludisme, y compris des mesures préventives, telles que l’utilisation des moustiquaires imprégnées, d’insecticides à longue durée d’action (MILDA), la pulvérisation intra domiciliaire.
Les discussions ont également abordé les activités de soutien nécessaires au déploiement efficace et au suivi de ces interventions telles que la capacité de gestion, la formation, la communication pour le changement de comportement. Plus de 200 participants ont pris part à l’atelier.
Le partenariat Roll Back Malaria est en train d’étendre ses activités au-delà du continent africain et d’élargir ses structures en Asie.
SOURCE:ADL/ASG
(APS) –