Comment amener les populations des pays en développement à mieux bénéficier des financements internationaux ? Une des réponses à cette question se trouve dans la lutte contre les flux financiers illicites.
Afin de satisfaire cet objectif, les Nations-Unies ont lancé, en janvier 2020, une initiative destinée à aider les pays à travers le monde, à mieux combattre les flux financiers illicites, la corruption, le blanchiment de capitaux et l’évasion fiscale dans le cadre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Dénommée Panel de haut niveau sur la responsabilité financière internationale, la transparence et l'intégrité (Panel Facti), elle s’apprête à rendre public son premier rapport, le 25 février 2021.
A cet effet, nous dit « EnQuête », un atelier virtuel a été organisé avant-hier, afin de partager avec les représentants des médias les actions prioritaires pour générer une dynamique politique qui pourra promouvoir la responsabilité financière, la transparence et l'intégrité pour réaliser le Programme 2030 dans le monde et en particulier en Afrique. Cela a permis d’échanger sur le rôle des médias dans la promotion de la responsabilité financière dans chaque région et dans chaque pays. Mais aussi de suggérer des moyens de collaboration efficace entre le Panel Facti et les représentants des médias.
L’objectif principal est de maximiser la visibilité des travaux du groupe dans les capitales du monde entier et d’accroître l’adhésion des États membres et d’autres parties prenantes au processus et aux recommandations finales du groupe.
La participation des acteurs des médias est ainsi essentielle pour renforcer le message urgent adressé aux États membres de l'ONU et à toutes les autres parties prenantes. Celui-ci assure que “la transformation de l'architecture financière mondiale pour lutter contre les flux financiers illicites est nécessaire pour façonner notre avenir collectif pour le mieux’’.
Selon le journal, le groupe Facti est prêt à présenter son rapport final aux États membres des Nations-Unies et à toutes les autres parties prenantes. Cette publication fournira des recommandations fondées sur des données factuelles, s'appuyant sur les succès et les travaux en cours des mécanismes existants, ainsi que des actions prioritaires pour relever les défis identifiés en matière de coopération fiscale, de lutte contre la corruption et le blanchiment d'argent.
Lors de la présentation de cette initiative Facti devant les Etats membres, le président de l’Assemblée générale des Nations-Unies, Tijjani Muhammad-Bande, déclarait : “La mobilisation d'un financement suffisant est essentielle pour accélérer les progrès vers la réalisation du Programme 2030 et l'éradication de la pauvreté. Le manque d’intégrité financière a un impact sur la capacité de chaque pays à mobiliser des ressources au niveau national. Il s'agit d'un problème transfrontalier qui nécessite une action multilatérale inclusive.’’
D’après toujours « EnQuête », les travaux effectués par le groupe Facti devraient permettre à la communauté internationale, d’avoir d’autres pistes à explorer dans la lutte contre les transferts illicites d’argent. Ceci, en axant leurs efforts sur la transparence financière et la propriété effective, les questions fiscales, pots-de-vin et corruption, le blanchiment d’argent, la confiscation et disposition des produits du crime et la récupération et la restitution des avoirs volés.
La rencontre virtuelle n’était qu’une étape dans la préparation des activités de sensibilisation, afin d'inaugurer le terrain avant la publication du rapport. D’autres sont à prévoir, dont une série de réunions et d'événements avec toutes les parties prenantes, avant et après le lancement du rapport final du panel, fait savoir le Secrétariat du Panel Facti.
Enquête
Afin de satisfaire cet objectif, les Nations-Unies ont lancé, en janvier 2020, une initiative destinée à aider les pays à travers le monde, à mieux combattre les flux financiers illicites, la corruption, le blanchiment de capitaux et l’évasion fiscale dans le cadre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Dénommée Panel de haut niveau sur la responsabilité financière internationale, la transparence et l'intégrité (Panel Facti), elle s’apprête à rendre public son premier rapport, le 25 février 2021.
A cet effet, nous dit « EnQuête », un atelier virtuel a été organisé avant-hier, afin de partager avec les représentants des médias les actions prioritaires pour générer une dynamique politique qui pourra promouvoir la responsabilité financière, la transparence et l'intégrité pour réaliser le Programme 2030 dans le monde et en particulier en Afrique. Cela a permis d’échanger sur le rôle des médias dans la promotion de la responsabilité financière dans chaque région et dans chaque pays. Mais aussi de suggérer des moyens de collaboration efficace entre le Panel Facti et les représentants des médias.
L’objectif principal est de maximiser la visibilité des travaux du groupe dans les capitales du monde entier et d’accroître l’adhésion des États membres et d’autres parties prenantes au processus et aux recommandations finales du groupe.
La participation des acteurs des médias est ainsi essentielle pour renforcer le message urgent adressé aux États membres de l'ONU et à toutes les autres parties prenantes. Celui-ci assure que “la transformation de l'architecture financière mondiale pour lutter contre les flux financiers illicites est nécessaire pour façonner notre avenir collectif pour le mieux’’.
Selon le journal, le groupe Facti est prêt à présenter son rapport final aux États membres des Nations-Unies et à toutes les autres parties prenantes. Cette publication fournira des recommandations fondées sur des données factuelles, s'appuyant sur les succès et les travaux en cours des mécanismes existants, ainsi que des actions prioritaires pour relever les défis identifiés en matière de coopération fiscale, de lutte contre la corruption et le blanchiment d'argent.
Lors de la présentation de cette initiative Facti devant les Etats membres, le président de l’Assemblée générale des Nations-Unies, Tijjani Muhammad-Bande, déclarait : “La mobilisation d'un financement suffisant est essentielle pour accélérer les progrès vers la réalisation du Programme 2030 et l'éradication de la pauvreté. Le manque d’intégrité financière a un impact sur la capacité de chaque pays à mobiliser des ressources au niveau national. Il s'agit d'un problème transfrontalier qui nécessite une action multilatérale inclusive.’’
D’après toujours « EnQuête », les travaux effectués par le groupe Facti devraient permettre à la communauté internationale, d’avoir d’autres pistes à explorer dans la lutte contre les transferts illicites d’argent. Ceci, en axant leurs efforts sur la transparence financière et la propriété effective, les questions fiscales, pots-de-vin et corruption, le blanchiment d’argent, la confiscation et disposition des produits du crime et la récupération et la restitution des avoirs volés.
La rencontre virtuelle n’était qu’une étape dans la préparation des activités de sensibilisation, afin d'inaugurer le terrain avant la publication du rapport. D’autres sont à prévoir, dont une série de réunions et d'événements avec toutes les parties prenantes, avant et après le lancement du rapport final du panel, fait savoir le Secrétariat du Panel Facti.
Enquête