Les organisations engagées dans la lutte pour la libération des détenus politiques, réunies au sein d'un cadre d'unité d'actions, ont soumis aujourd'hui, une lettre de protestation à la Direction de l'Administration Pénitentiaire.
Elles condamnent vigoureusement, les agressions violentes perpétrées à l'encontre des détenues politiques lors de leur grève de la faim à la Prison pour Femmes du Camp Pénal, ainsi que les détentions excessivement longues, l'absence d'auditions par des juges, même après des séjours prolongés à la prison de Rebeuss. Sans oublier le maintien en prison d'élèves, d'enseignants et d'étudiants, qui devraient être libérés, car leur place n'est pas en prison, mais dans les salles de classe.
De plus, elles exigent une enquête transparente et des mesures disciplinaires immédiates, pour mettre fin à ces pratiques inhumaines.
Elles condamnent vigoureusement, les agressions violentes perpétrées à l'encontre des détenues politiques lors de leur grève de la faim à la Prison pour Femmes du Camp Pénal, ainsi que les détentions excessivement longues, l'absence d'auditions par des juges, même après des séjours prolongés à la prison de Rebeuss. Sans oublier le maintien en prison d'élèves, d'enseignants et d'étudiants, qui devraient être libérés, car leur place n'est pas en prison, mais dans les salles de classe.
De plus, elles exigent une enquête transparente et des mesures disciplinaires immédiates, pour mettre fin à ces pratiques inhumaines.