Tous les intellectuels et acteurs culturels de notre pays ont été outrés par les propos maladroits de M. Lebras Directeur de l’Institut Français qui, au lieu de se taire toute honte bue et de présenter les excuses des autorités françaises à la suite de cette forfaiture perpétrée par le Consulat de France à l’endroit du Professeur Sankharé et des Sénégalais, a cru devoir donner des explications fantaisistes, sans fondement et manifestement opportunistes, certainement pour plaire à ses chefs fautifs à tout point de vue !
Voilà un Monsieur qui vient de trahir lamentablement sa mission de promotion de la culture franco-sénégalaise. Nous l’allons démontrer tout à l’heure !
Ainsi, dans une tentative désespérée de défendre ses chefs pour leur faire plaisir et garder son poste dans ce beau pays qu’est le Sénégal, Monsieur Lebras n’a pas hésité à armer son bras partisan pour salir la dignité du Professeur Sankharé. Faisant feu de tout bois, le Directeur de l’Institut français affirme que M. Sankharé n’était nullement en colère contre la France, avant de charger l’éminent agrégé en grammaire en déclarant : « M. Sankharé s’est soigné en France est revenu au Sénégal en laissant une facture de 45 ou 47 000 euros (environ 30 000 000 F CFA) à payer ». M. Lebras voudrait-il insinuer que le Professeur Sankharé serait un vulgaire « resquilleur » ou un « escroc », il ne s’y prendrait pas autrement. Après avoir vigoureusement contesté cette allégation, nous devons ajouter que non seulement le Professeur Sankharé est en légitime colère, mais il a refusé de recevoir la fameuse décoration dans les Palmes académiques françaises. Sa consœur Fama Diagne Sène a fait de même par solidarité et par patriotisme!
La réalité est très loin des affabulations du Directeur de l’Institut français. En effet, M. Sankharé, bien avant son voyage en France, était régulièrement couvert par une police d’assurance maladie en cours de validité et régulièrement souscrit à CNART Assurances depuis 2007. Arrivé en France et contre toute attente, il a eu un malaise cardiaque et a été secouru par hélicoptère par les services de soins d’urgence français.
À la fin d’un long traitement médical, les hôpitaux français concernés, au lieu d’installer la compagnie d’assurance dans la procédure d’assignation pour garantir le paiement de leurs prestations, se sont servis sournoisement du Consulat de France au Sénégal, pour exercer des mesures de coercition injustifiées et arbitraires sur la personne du Professeur Sankharé. Un homme qui a consacré toute sa vie au rayonnement de la France, de sa langue et de sa civilisation, comme l’a si bien dit le Président Abdou Diouf, Secrétaire général de l’OIF. Voilà pourquoi, la communauté culturelle et artistique du Sénégal était en droit de s’attendre à un exceptionnel acte de générosité, à travers une prise en charge totale de cette facture par les autorités françaises. Le Professeur Sankharé mériterait bien cette marque de reconnaissance pour « service rendu à la France ».
M. Lebras, s'il vous plaît, arrêtez de prendre les Sénégalais pour des demeurés ! La nature de votre mission ne vous autorise pas à vous ériger en Vice-consul en prétendant pouvoir intervenir pour faciliter la délivrance des visas ! Votre rôle essentiellement culturel, devrait vous interdire de vous immiscer dans la diplomatie qui n’est ni votre spécialité, ni votre mandat. Vous ne devriez surtout pas vous ranger du côté des autorités consulaires qui ont manifestement violé la loi et ont sanctionné un innocent qui pourtant est votre partenaire naturel en ses qualités d’écrivain et de Professeur doublement agrégé. Un homme qui en plus, a tout fait pour la France votre pays.
M. le Directeur de l’Institut français, nous vous confirmons formellement que le Pr. Sankharé est bel et bien en colère contre les auteurs et les instigateurs de cette forfaiture ! Nous vous confirmons que les écrivains, les cinéastes, les musiciens, les artistes plasticiens, les acteurs du théâtre et les chorégraphes de notre pays sont véritablement en colère contre les comportements, irrespectueux, injustes et arbitraires affichés par le Consulat de France et certains de ses employés anonymes. Nous vous confirmons que le peuple sénégalais est ulcéré par les agissements de certains de vos compatriotes travaillant dans les consulats.
Voilà pourquoi, la communauté artistique et littéraire après sa grande manifestation de la Maison de la Culture Douta Seck, fera tout pour faire appliquer la réciprocité dans la procédure de délivrance des visas sénégalais. Nous mènerons un farouche combat pour amener les autorités sénégalaises à faire comme votre pays, qui au demeurant, amasse chaque année, des milliards de pauvres francs CFA au titre des frais de demande de visa.
Quant à vous M. Lebras, nous pensons que votre rôle ce n’est pas de faire de l’activisme ou de justifier des forfaitures commises par d’autres, fussent-ils vos chefs. Votre rôle consiste à promouvoir la culture française en collaboration avec les intellectuels, les artistes et les acteurs culturels de notre pays. Si vous ne le comprenez pas, le peuple sénégalais vous montre la direction de l’aéroport de Yoff et vous enjoint de prendre un vol direct aller simple Dakar – Paris et à ne plus mettre le pied chez nous!
Le Comité d ’Initiative
Pour la protestation contre le refus de visa au Pr. O. Sankharé
aesbig@yahoo.fr
Voilà un Monsieur qui vient de trahir lamentablement sa mission de promotion de la culture franco-sénégalaise. Nous l’allons démontrer tout à l’heure !
Ainsi, dans une tentative désespérée de défendre ses chefs pour leur faire plaisir et garder son poste dans ce beau pays qu’est le Sénégal, Monsieur Lebras n’a pas hésité à armer son bras partisan pour salir la dignité du Professeur Sankharé. Faisant feu de tout bois, le Directeur de l’Institut français affirme que M. Sankharé n’était nullement en colère contre la France, avant de charger l’éminent agrégé en grammaire en déclarant : « M. Sankharé s’est soigné en France est revenu au Sénégal en laissant une facture de 45 ou 47 000 euros (environ 30 000 000 F CFA) à payer ». M. Lebras voudrait-il insinuer que le Professeur Sankharé serait un vulgaire « resquilleur » ou un « escroc », il ne s’y prendrait pas autrement. Après avoir vigoureusement contesté cette allégation, nous devons ajouter que non seulement le Professeur Sankharé est en légitime colère, mais il a refusé de recevoir la fameuse décoration dans les Palmes académiques françaises. Sa consœur Fama Diagne Sène a fait de même par solidarité et par patriotisme!
La réalité est très loin des affabulations du Directeur de l’Institut français. En effet, M. Sankharé, bien avant son voyage en France, était régulièrement couvert par une police d’assurance maladie en cours de validité et régulièrement souscrit à CNART Assurances depuis 2007. Arrivé en France et contre toute attente, il a eu un malaise cardiaque et a été secouru par hélicoptère par les services de soins d’urgence français.
À la fin d’un long traitement médical, les hôpitaux français concernés, au lieu d’installer la compagnie d’assurance dans la procédure d’assignation pour garantir le paiement de leurs prestations, se sont servis sournoisement du Consulat de France au Sénégal, pour exercer des mesures de coercition injustifiées et arbitraires sur la personne du Professeur Sankharé. Un homme qui a consacré toute sa vie au rayonnement de la France, de sa langue et de sa civilisation, comme l’a si bien dit le Président Abdou Diouf, Secrétaire général de l’OIF. Voilà pourquoi, la communauté culturelle et artistique du Sénégal était en droit de s’attendre à un exceptionnel acte de générosité, à travers une prise en charge totale de cette facture par les autorités françaises. Le Professeur Sankharé mériterait bien cette marque de reconnaissance pour « service rendu à la France ».
M. Lebras, s'il vous plaît, arrêtez de prendre les Sénégalais pour des demeurés ! La nature de votre mission ne vous autorise pas à vous ériger en Vice-consul en prétendant pouvoir intervenir pour faciliter la délivrance des visas ! Votre rôle essentiellement culturel, devrait vous interdire de vous immiscer dans la diplomatie qui n’est ni votre spécialité, ni votre mandat. Vous ne devriez surtout pas vous ranger du côté des autorités consulaires qui ont manifestement violé la loi et ont sanctionné un innocent qui pourtant est votre partenaire naturel en ses qualités d’écrivain et de Professeur doublement agrégé. Un homme qui en plus, a tout fait pour la France votre pays.
M. le Directeur de l’Institut français, nous vous confirmons formellement que le Pr. Sankharé est bel et bien en colère contre les auteurs et les instigateurs de cette forfaiture ! Nous vous confirmons que les écrivains, les cinéastes, les musiciens, les artistes plasticiens, les acteurs du théâtre et les chorégraphes de notre pays sont véritablement en colère contre les comportements, irrespectueux, injustes et arbitraires affichés par le Consulat de France et certains de ses employés anonymes. Nous vous confirmons que le peuple sénégalais est ulcéré par les agissements de certains de vos compatriotes travaillant dans les consulats.
Voilà pourquoi, la communauté artistique et littéraire après sa grande manifestation de la Maison de la Culture Douta Seck, fera tout pour faire appliquer la réciprocité dans la procédure de délivrance des visas sénégalais. Nous mènerons un farouche combat pour amener les autorités sénégalaises à faire comme votre pays, qui au demeurant, amasse chaque année, des milliards de pauvres francs CFA au titre des frais de demande de visa.
Quant à vous M. Lebras, nous pensons que votre rôle ce n’est pas de faire de l’activisme ou de justifier des forfaitures commises par d’autres, fussent-ils vos chefs. Votre rôle consiste à promouvoir la culture française en collaboration avec les intellectuels, les artistes et les acteurs culturels de notre pays. Si vous ne le comprenez pas, le peuple sénégalais vous montre la direction de l’aéroport de Yoff et vous enjoint de prendre un vol direct aller simple Dakar – Paris et à ne plus mettre le pied chez nous!
Le Comité d ’Initiative
Pour la protestation contre le refus de visa au Pr. O. Sankharé
aesbig@yahoo.fr