Entretien
Malick, quel est le sentiment qui vous anime ce soir après avoir effectué votre première séance d’entraînement à l’écurie Yoff ?
Je suis très heureux de revenir chez moi. Cela veut dire que je vais multiplier par 10 tout ce que je faisais auparavant pour honorer ma localité. Défendre les couleurs de sa localité, cela vaut tous les sacrifices du monde. Les gens sont contents quand tu gagnes ton combat, ceci même si tu évolues ailleurs. Ils ne veulent que la victoire et c’est ce qu’il faut leur offrir pour les satisfaire et les libérer. Je sais que la tâche ne sera pas facile, mais Dieu est grand.
On a écouté les discours des uns et des autres, ils soutiennent que désormais votre combat contre Sa Thiès est celui de tous les Lébous, les Yoffois et autres. Est-ce que cela ne va pas alourdir le fardeau que vous portez ?
Je peux ne pas me prononcer sur mon combat, parce que j’avais tout simplement envie de dire que je suis revenu chez moi à Yoff. Je précise tout de même que je ne vais pas dire du mal de l’écurie Ndakaru ou de ses responsables pour l’avoir quittée. Je ne vais jamais tenir des propos discourtois ou inélégants à l’endroit de Ndakaru. Lorsque je débarquais à Ndakaru, je savais déjà lutter et j’étais également bon en bagarre. Mais, il s’est trouvé qu’il n’y avait pas ici beaucoup de jeunes athlètes comme c’est le cas aujourd’hui. Ce sont des responsables (ay Kilifa) qui m’avaient pris pour m’amener à l’écurie Ndakaru. Maintenant, je suis revenu au bercail parce que les lutteurs de Yoff ont fait bloc commun pour évoluer dans une même écurie. Je suis venu les renforcer, car le fait de faire des contacts avec quelqu’un de physiquement fort te permet d’être aussi puissant. Je suis tenu d’être à leurs côtés, parce que la vie est courte, et en plus de cela, tous les Lébous sont les mêmes.
De ABDOULEYE DEMBELE ( SUNULAMB)
Malick, quel est le sentiment qui vous anime ce soir après avoir effectué votre première séance d’entraînement à l’écurie Yoff ?
Je suis très heureux de revenir chez moi. Cela veut dire que je vais multiplier par 10 tout ce que je faisais auparavant pour honorer ma localité. Défendre les couleurs de sa localité, cela vaut tous les sacrifices du monde. Les gens sont contents quand tu gagnes ton combat, ceci même si tu évolues ailleurs. Ils ne veulent que la victoire et c’est ce qu’il faut leur offrir pour les satisfaire et les libérer. Je sais que la tâche ne sera pas facile, mais Dieu est grand.
On a écouté les discours des uns et des autres, ils soutiennent que désormais votre combat contre Sa Thiès est celui de tous les Lébous, les Yoffois et autres. Est-ce que cela ne va pas alourdir le fardeau que vous portez ?
Je peux ne pas me prononcer sur mon combat, parce que j’avais tout simplement envie de dire que je suis revenu chez moi à Yoff. Je précise tout de même que je ne vais pas dire du mal de l’écurie Ndakaru ou de ses responsables pour l’avoir quittée. Je ne vais jamais tenir des propos discourtois ou inélégants à l’endroit de Ndakaru. Lorsque je débarquais à Ndakaru, je savais déjà lutter et j’étais également bon en bagarre. Mais, il s’est trouvé qu’il n’y avait pas ici beaucoup de jeunes athlètes comme c’est le cas aujourd’hui. Ce sont des responsables (ay Kilifa) qui m’avaient pris pour m’amener à l’écurie Ndakaru. Maintenant, je suis revenu au bercail parce que les lutteurs de Yoff ont fait bloc commun pour évoluer dans une même écurie. Je suis venu les renforcer, car le fait de faire des contacts avec quelqu’un de physiquement fort te permet d’être aussi puissant. Je suis tenu d’être à leurs côtés, parce que la vie est courte, et en plus de cela, tous les Lébous sont les mêmes.
De ABDOULEYE DEMBELE ( SUNULAMB)