Volontariste, Me Wade conduit une présidence pied au plancher en ne laissant à personne le soin de tenir le volant oubliant même de ralentir, « non pas pour renier vos promesses électorales et autres, mais pour vous assurer que les passagers, faute de savoir où tout cela les mène ne sont pas descendus en marche ». Selon ce dernier, la formule du marketing politique aujourd’hui en vogue, il y a un "récit" présidentiel à reconstituer. Il faut « Répondre aux inquiétudes des sénégalais tout en vous montrant le plus incolore possible, voilà donc à quoi vous devriez vous employer. Car faute de perspectives, les sénégalais seront décidés à se porter massivement sur des hommes qui, à l’incurie de votre pouvoir en place, opposeront l’efficacité d’un réseau associatif offrant au peuple santés, enseignements, transports, sécurités, logements etc... et coup de pouce pour boucler les fins de mois ». De même, il ajoute que : « sachez que les sénégalais sont en attente d’une autre manière de communiquer et de faire de la politique. Ils souhaitent une relation permanente et directe avec vous. Ils exigent que vous trouviez les solutions aux problèmes de base plutôt que de leur faire des promesses auxquelles plus personne ne croit. Ils aspirent à la simplicité et à la lisibilité dans l’action, contrairement à ce qui leur a été proposé par les politiciens depuis l’indépendance ».
Très remonté contre Wade, il pense qu’il sera toujours attendu sur le pouvoir d’achat, la situation scolaire, la santé, la crise énergétique, du logement etc.... »Tout un sandwich "big size"suffisant pour que vous fassiez cesser les pièces de théâtre qui se jouent à l’assemblée nationale, dans un Sénégal où tout même le pire peut arriver, les situations les plus invraisemblables finissent par être banales ».
Après le feuilleton Idrissa Seck celui de Macky Sall
Après le feuilleton "Idy Seck" dont le dénouement n’a fait qu’apporter un élément supplémentaire de mystère, voilà que s’est joué le feuilleton "Macky Sall" par des acteurs qui, par simple souci d’exister et pour entretenir leurs fonds de commerce racontent n’importe quoi, oubliant ces cris d’angoisses venus du fond des urnes de Mars 2000. Alors, dit-il, « beaucoup de bruit pour rien ? Tout ça pour ça ? Il est vrai que la situation du Sénégal ne s’est guère améliorée par rapport à votre premier mandat car privé de vent porteur et encalminé au coeur d’un décourageant "pot au noir économique", vous devriez chercher les moyens de tenir vos promesses sur le meilleur bien-être des sénégalais pour vous conformer à vos engagements électoraux ». Il poursuit en ces termes : « Dans un pays qui va mal, dirigé par un parti qui va mal, ne cherchez pas à masquer un instant les promesses non tenues pour cause de difficultés économiques par la relance du mouvement perpétuel qui vous tient lieu de style et de raison de vivre. L’opposition n’étant pas ennemie, mettez tout le monde autour de la table et que les responsabilités soient prises ; c’est ainsi dans tout pays qui vit des moments difficiles. Tous devraient savoir qu’il y a un Sénégal des bas-côté, celui qui trime, qui vivote, qui peine, un Sénégal des sans travail et sans perspectives, un Sénégal des démunis, des non installés, de la non vie, des discriminés, des oubliés etc.... C’est une partie de ce Sénégal qui ne sera point amnésique et qui s’exprimera du fond des urnes. Et il serait plus judicieux de recourir aux lumières de la raison pour faire un vrai bilan des politiques menées jusqu’à nos jours. Heureusement, monsieur le Président, que j’espère le réveil par vous d’un peu de bon sens avec des prises de décisions toutes azimut. Il fallait donc ça ??? »
Leral.net
Très remonté contre Wade, il pense qu’il sera toujours attendu sur le pouvoir d’achat, la situation scolaire, la santé, la crise énergétique, du logement etc.... »Tout un sandwich "big size"suffisant pour que vous fassiez cesser les pièces de théâtre qui se jouent à l’assemblée nationale, dans un Sénégal où tout même le pire peut arriver, les situations les plus invraisemblables finissent par être banales ».
Après le feuilleton Idrissa Seck celui de Macky Sall
Après le feuilleton "Idy Seck" dont le dénouement n’a fait qu’apporter un élément supplémentaire de mystère, voilà que s’est joué le feuilleton "Macky Sall" par des acteurs qui, par simple souci d’exister et pour entretenir leurs fonds de commerce racontent n’importe quoi, oubliant ces cris d’angoisses venus du fond des urnes de Mars 2000. Alors, dit-il, « beaucoup de bruit pour rien ? Tout ça pour ça ? Il est vrai que la situation du Sénégal ne s’est guère améliorée par rapport à votre premier mandat car privé de vent porteur et encalminé au coeur d’un décourageant "pot au noir économique", vous devriez chercher les moyens de tenir vos promesses sur le meilleur bien-être des sénégalais pour vous conformer à vos engagements électoraux ». Il poursuit en ces termes : « Dans un pays qui va mal, dirigé par un parti qui va mal, ne cherchez pas à masquer un instant les promesses non tenues pour cause de difficultés économiques par la relance du mouvement perpétuel qui vous tient lieu de style et de raison de vivre. L’opposition n’étant pas ennemie, mettez tout le monde autour de la table et que les responsabilités soient prises ; c’est ainsi dans tout pays qui vit des moments difficiles. Tous devraient savoir qu’il y a un Sénégal des bas-côté, celui qui trime, qui vivote, qui peine, un Sénégal des sans travail et sans perspectives, un Sénégal des démunis, des non installés, de la non vie, des discriminés, des oubliés etc.... C’est une partie de ce Sénégal qui ne sera point amnésique et qui s’exprimera du fond des urnes. Et il serait plus judicieux de recourir aux lumières de la raison pour faire un vrai bilan des politiques menées jusqu’à nos jours. Heureusement, monsieur le Président, que j’espère le réveil par vous d’un peu de bon sens avec des prises de décisions toutes azimut. Il fallait donc ça ??? »
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